Mercredi 31 décembre 3 31 /12 /Déc 17:08

 

Suite de mon nouveau roman. Edwige a accepté de se rendre, vêtue d'une robe sans sous-vêtements, à une soirée coquine dans la villa de Denis Stevenot.

 

 

Devant la maison de Denis, j’eus la surprise de trouver deux voitures. Une soirée intime avec des invités, à quoi cela pouvait bien ressembler ? L’un de ces véhicules était une Mercedes de gamme moyenne, l’autre était comparable au mien, sans doute acheté d’occasion. Cette fois, je dus sonner à la porte.

Denis m’ouvrit, vêtu comme dans l’après-midi. Un sourire de satisfaction fendit son visage.

« Je vois que tu t’es fait une beauté, constata-t-il.

— Oui », marmonnai-je.

Il se pencha sur moi pour déposer un gros baiser sur une joue, qui se répercuta en une profonde secousse dans ma poitrine, puis il me guida vers le salon en posant une main sur mon dos. Un couple était assis dans l’un des fauteuils.

« Je te présente Ileana et Bruno, déclara-t-il. Ce sont mes invités de ce soir. »

Et en se tournant vers eux :

« Edwige, ma nouvelle compagne. »

Il me poussa vers ses invités surprises. Bruno devait être un homme d’une trentaine d’années, au visage agréable et jovial, pourvu d’une chevelure noire. Quant à Ileana, c’était une blonde incendiaire aux jambes bronzées et interminables, terminées par des sandales aux lanières dorées et aux talons d’une dizaine de centimètres. Sa robe aussi petite qu’un mouchoir recouvrait à peine des seins semblables à des ballons, dont de gros mamelons soulevaient le tissu. C’était une bombe sexuelle dans toute sa splendeur.

Bruno se leva immédiatement pour me donner un baiser qui tomba pratiquement sur ma bouche, tout en posant une main sur mon épaule dénudée. Je crus qu’il allait m’attirer à lui.

« Tu es charmante, Edwige, me complimenta-t-il. Denis a du goût. Je sens que nous allons passer une excellente soirée. »

Je fus tétanisée, en comprenant dans quoi j’avais mis les pieds.

« Tu aussi, tu fais pute ? me demanda Ileana avec un accent étranger à couper au couteau.

— Pas exactement, répondit Denis. Je suis son client, mais pas dans ce sens. Elle va refaire ma maison.

— Architecte ?

— Oui, c’est cela.

— Oh ! … Mais belle femme. Elle a déjà baisé ? Elle aime avaler sperme ?

— Je ne le sais pas encore, répondit Denis. Cependant, je peux t’assurer qu’elle est très chaude. Viens, ma chérie. »

Denis me prit par la main et me fit asseoir en face de ce couple manifestement improvisé. Ileana écarta les jambes pour nous montrer une vulve aux lèvres épaisses et fripées, tandis que Bruno lui caressait la cuisse gauche.

« Ileana vient de Roumanie, expliqua-t-il. Elle travaille comme escort. Nous allons la regarder faire l’amour avec Bruno. Cela va nous motiver. »

Je restai muette et serrai les cuisses.

« Je t’ai préparé un mojito, poursuivit-il. Est-ce que cela te convient ?

— Oui.

— Je te l’apporte. »

Denis se leva pour rejoindre le bar. Il y avait aussi quelques friandises posées sur la table, à grignoter, mais je me doutai que personne n’y toucherait. La main droite de Bruno était occupée par tout autre chose. Elle caressait à présent le sexe de sa compagne, bien que son regard fût fixé sur moi.

« Pourquoi tu n’ouvres pas les jambes ? me demanda-t-il. Il faut se mettre à l’aise. Tiens, regarde. »

Il se leva, défit sa braguette et en sortit un phallus bien plus long que ma propre main, qu’il décalotta. Son gland humide et rouge réfléchissait les lumières du salon. Il se rassit et laissa Ileana s’emparer de son membre.

« Ma bite te plaît ? demanda-t-il.

— Oui.

— Toi, tu as des jambes superbes et je parie qu’entre elles, il y a une chatte à croquer... Allons, ne fais pas la timide ! »

Tandis qu’elle continuait à serrer le phallus de Bruno dans sa main gauche, elle écarta encore plus les jambes pour insérer deux doigts dans son vagin. Je pus distinguer son clitoris.

Denis revint avec un verre qu’il posa devant moi. Il se rassit ensuite à côté de moi. Avec un mélange de tendresse et d’autorité, il ouvrit mes cuisses.

« Waouh ! s’exclama Bruno et dardant son regard vers mon intimité.

— Elle mouille, remarqua Ileana.

— Je vous l’avais dit, déclara Denis. Cet après-midi, elle s’est baignée nue dans ma piscine et s’est masturbée. »

À son tour, il ouvrit sa braguette. En découvrant son outil de copulation, je compris pourquoi il avait du mal à cacher ses érections. Ses dimensions ne le lui permettaient pas, et il était d’une dureté de brique. Je jugeai cependant qu’il pouvait rentrer dans mon vagin sans y causer de dégât. Ce fut à mon tour de poser la main sur sa virilité, avec fascination.

« Tu vois, tu es une cochonne, murmura-t-il.

— Je ne sais pas si l’on peut dire cela.

— Ces mots servent à te désinhiber. Regarde comment Ileana va sucer Bruno. »

La Roumaine s’agenouilla sur le canapé sans retirer ses sandales, mais en faisant glisser les bretelles de sa robe pour dégager ses seins. Elle avait des mamelons parfaits, ronds comme des grains de raisins secs. Pendant qu’elle se mettait en position, Bruno se débarrassait de son pantalon et de son slip. Ses testicules étaient enveloppées dans de volumineuses bourses totalement épilées.

Ileana se pencha sur son sexe pour en avaler le gland, ses lèvres arrondies. Comme elle ne s’était pas placée devant Bruno mais à sa droite, je pouvais regarder tout ce qu’elle faisait. On voyait que c’était une professionnelle de la fellation. Elle suça et masturba vigoureusement le pénis de son client, tandis que celui-ci rejetait la tête en arrière, sur le dossier du canapé, en marmonnant des paroles inintelligibles ponctuées par des « Ah ! » et des « Oh ! ».

J’observais la scène à la fois éberluée et excitée, la main toujours refermée sur le pénis de Denis.

« Tu pourras me sucer comme cela ? s’enquit-il.

Je ne sais pas.

— C’était juste une question. Je ne te demande pas de le faire. Le rôle d’Ileana est de donner du plaisir à Bruno. Elle est payée pour ça.

— Et moi, qu’est-ce que je devrai faire ?

— Ce qu’il te plaira. »

Bruno libéra son sexe, se mit debout, retira son tee-shirt et resta immobile, son phallus dressé. Sans enlever sa robe, réduite à une ceinture froissée autour de sa taille, Ileana se plaça à genoux devant lui et recommença sa fellation, d’une manière différente. Cette fois, elle avalait beaucoup plus profondément le phallus de son client, en procédant par à-coups. Vu la longueur de l’engin, je n’avais pas cru que ce fût possible. Il devait lui rentrer dans le fond de la gorge en menaçant de l’étouffer, mais elle savait s’y prendre.

« On dirait qu’elle fait ça tous les jours, ne puis-je m’empêcher de dire.

— C’est presque la vérité. Lâche ma bite, s’il te plaît. Nous allons nous déshabiller. »

Denis fit lui-même glisser ma robe sur mon buste, puis me poussa à me mettre debout pour la faire tomber à terre. Je le sentis me caresser les fesses, puis enlever ses habits. Il referma ses mains sur mon ventre pour me ramener vers lui. Je retrouvai assise contre lui, son phallus pressé contre le bas de mon dos, nos jambes emmêlées. Les siennes étaient légèrement poilues. Je les caressai amoureusement.

À présent, Bruno avait pris la tête d’Ileana entre ses mains pour enfoncer son sexe dans la bouche et l’en retirer à un rythme qui allait en s’accélérant. Il s’arrêta, se masturba pendant quelques secondes, puis un jet de sperme fusa et s’étala sur le visage de la jeune femme. Il y en eut un deuxième, puis un troisième plus faible. Ileana avait de la semence partout, dans les yeux, sur le nez, autour de la bouche. Des stalactites fluides se formèrent sous son menton et tombèrent sur ses seins. Sans être gênée par cette souillure, elle prit la verge de Bruno pour la sucer encore et avaler quelques gouttes de cette substance visqueuse. Elle lui lécha consciencieusement le gland, avant de passer la main sur son visage puis de la nettoyer avec sa langue.

Ce ne fut qu’un lavage rapide. Elle se redressa en souriant. Sa robe tomba d’elle-même, si bien que nous fûmes tous les quatre entièrement nus. Le pénis de Denis conservait sa rigidité alors que celui de Bruno avait légèrement fléchi. La quantité de sperme qui en était sorti continuait à m’étonner.

Le visage toujours badigeonné, Ileana me dit :

« Tu fais comme ça à Denis ?

— Elle fait ce qu’elle veut, répondit-il à ma place.

— Mais si tu veux Denis t’aimer, tu dois sucer comme ça. Les hommes adorent. »

Elle caressa ses seins enduits de semence.

« Tu vois ? continua-t-elle. Le sperme sur ta figure et tes seins, ça fait plaisir à ton homme.

— Les conseils d’Ileana sont bons, appuya Bruno. Je te garantis que tu vas rendre Denis fou de toi si tu fais ce qu’elle te dit. Le sexe, c’est ce qui soude un couple.

— L’amour aussi, opinai-je.

— Le sexe a son importance.

— Oui, enfin... Je me suis aussi fait éjaculer dessus et mon dernier copain m’a quand même quittée.

— C’était un con.

— Ça veut dire que faire des fellations, ça ne suffit pas.

— Bon, on fait une pause, décréta Denis. Edwige, tu n’avais pas encore bu ton mojito. »

Ileana quitta la salle pendant que Bruno se laissait tomber sur son canapé. Il laissa ses cuisses ouvertes comme pour me montrer fièrement ses bijoux de famille, mais ce n’était pas la seule chose qui m’intéressait en lui. Il avait un torse bien dessiné à la peau bronzée, alors que ses cuisses étaient plus claires. Je le trouvai désirable, même s’il ne valait pas Denis. Ce dernier s’était constitué un bronzage uniforme en s’allongeant sur les chaises de sa piscine. Même son pénis avait une teinte sombre.

Par Erika Sauw - Communauté : Récits Erotiques X
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Lundi 22 décembre 1 22 /12 /Déc 10:39

Edwige, architecture d'intérieur, doit aménager la villa d'un riche client, Denis Stevenot. Il l'invite à profiter de sa piscine. 

 

En franchissant la porte vitrée, je plissai les yeux. Mes pas me conduisirent sur une terrasse orientée plein sud, recouverte de dalles claires, au milieu de laquelle une grande piscine avait été creusée. Elle était remplie d’une eau bleue limpide qui me donna sérieusement envie d’y plonger. Plusieurs chaises longues étaient alignées du côté gauche.

« Je vous propose un moment de détente, pour que vous vous sentiez chez vous, déclara Stevenot. Prenez un bain et allongez-vous sur l’une de ces chaises pour faire un peu de bronzage.

— Mais qu’est-ce qui vous prend ? m’étonnai-je.

— Je veux que cette maison devienne la vôtre. Vous pourrez ensuite me dire ce qui ne convient pas et la réaménager à votre manière.

— Et vous voulez commencer par la piscine ?

— Pourquoi pas ? Il n’y a pas que l’intérieur qui compte. »

Stevenot revint sur ses pas, vers la porte vitrée.

« Et comment pourrais-je me baigner ? demandai-je. Je n’ai pas de maillot de bain.

— Vous pouvez très bien le faire toute nue. Je vais vous laisser seule ici et j’éviterai de vous regarder.

— Je peux vous croire ?

— Cela fait partie du jeu, répondit Stevenot avec un sourire énigmatique. Vous pourrez ensuite revenir dans le salon mais vous ne m’y trouverez pas. »

Il franchit la porte et la fermera derrière lui.

Ce mec est fou, pensai-je d’abord.

Puis avec quelques instants de réflexion, je me dis que cet homme avait simplement une conception de la vie différente de la mienne et de celle du commun des mortels, et qu’il l’assumait. Il m’en avait montré un aspect, par cette citation de Chateaubriand. Prenant conscience de la vanité de sa fortune, il pouvait en jouer.

Son raisonnement n’était d’ailleurs pas dépourvu de logique : je devais m’approprier cette maison avant de la transformer... Surtout si j’étais amenée à en devenir la maîtresse.

Et comme le bain proposé me tentait vraiment, je défis la ceinture de ma robe, fis glisser celle-ci sur mes épaules et la posai sur une chaise. Je n’eus aucune peine à dégrafer mon soutien-gorge et à faire glisser ma culotte, sur laquelle je venais de faire une vilaine tâche. La petite coquine qui avait sommeillé en moi jusqu’à notre rencontre se dit que si Stevenot m’observait en cachette, c’était un honneur pour moi. Je n’avais pas à rougir de ce que j’étais, avec une taille frôlant les cent soixante-dix centimètres, une silhouette normale avec de longues jambes, des rondeurs suffisantes pour exciter l’appétit des hommes.

C’était bien pour cette raison qu’il n’avait pas pu dissimuler son désir.

Mes cheveux châtain étant attachés, il ne me restait plus qu’à délacer mes sandales pour rentrer dans l’eau. Je marchai vers l’escalier pour y descendre progressivement. Sentir cette eau tiède épouser ma peau fut un immense plaisir. Quand je fus immergée jusqu’à la poitrine, je commençai à effectuer des brasses pour rejoindre l’autre bord. Je fis quatre longueurs avant de ressortir de la piscine par le même escalier, mes seins humides se soulevant au rythme de ma respiration. Les gouttes d’eau s’accrochaient également aux poils de mon aine, dont je n’avais pas pris soin puisque je n’avais pas eu de relation sexuelle depuis longtemps. Les rayons du soleil faisaient briller ces petites perles.

 

J’étais heureuse, j’étais détendue et je désirais vraiment que Stevenot me vît. Je regardai les fenêtres du rez-de-chaussée sans apercevoir son visage, mais peut-être se tenait-il derrière un rideau de manière à ne pas être visible.

Je me dirigeai vers l’une des chaises pour m’y allonger. Le soleil commença aussitôt à chauffer ma peau et à gommer son humidité. Je goûtai à ce plaisir divin les yeux clos et les jambes légèrement ouvertes. Une moiteur subsistait entre elles, qui n’était pas due à mon bain. Après quelques minutes d’alanguissement, je posai le bout de l’index sur mon sexe. Il se dirigea tout naturellement vers mon bouton d’amour et entreprit de l’agacer, tandis que mon autre main chatouillait ma poitrine. En procédant de la sorte, j’étais capable d’obtenir rapidement un orgasme.

Mais je m’arrêtai brutalement, reprenant conscience de ma situation. Arrivée chez un client pour faire un devis, je me retrouvai toute nue au bord d’une piscine en train de me masturber. Où était mon professionnalisme ?

 

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Par Erika Sauw - Communauté : Récits Erotiques X
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Mercredi 17 décembre 3 17 /12 /Déc 21:30

Ces dernières semaines, j'ai mis en ligne des articles parlant de sexualité avec des extraterrestres. Ces textes étaient des extraits d'une nouvelle qui est à présent terminée et publiée chez les éditions Artalys. Je vous présente ici sa très belle couverture et son résumé :

 

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À sept cents années-lumières de la Terre, autour d’une étoile rouge, gravite une planète dont les habitants ressemblent trait pour trait aux êtres humains. Les femmes y sont d’une beauté surnaturelle. Comme elles ont beaucoup de loisirs et ont un tempérament très chaud, le sexe est leur passe-temps favori. Elles apprécient particulièrement les hommes de la Terre, surtout ceux que la nature a pourvus d’une imposante virilité. C’est ce qui vaudra à Mathieu, jeune homme bien membré, d’être « invité » chez elles. Il en sera ravi mais devra apprendre à obéir à sa maîtresse Kaenima, car ce sont les femmes qui détiennent l’autorité. Il découvrira aussi certains aspects plus sombres de cette planète, où il n’y a pas que la végétation qui est noire.

 

 

 

Ce texte peut-être commandé par l'intermédiaire de cette page :

 

 

 

http://editions-artalys.com/erotique/la-planete-du-sexe/

 

Il y a trois liens qui mènent vers Immatériel, Amazon et Kobo.

 

 

Et je vous offre le début du texte :

 

 

La musique tonnait si fort qu’il était impossible de se parler, et des lumières aux vives couleurs voltigeaient au-dessus de la piste de danse. Des corps y bougeaient, s’y convulsaient, se frottaient les uns contre les autres. Des parfums de femmes se mêlaient à des odeurs masculines, à des relents d’alcool et à celle du désir, omniprésente dans cette assemblée chauffée au rouge.

Julie était une adolescente peu habituée aux boîtes de nuit. Elle avait rencontré Mathieu, un jeune homme de dix-neuf ans, elle ne savait trop comment, puis elle s’était laissée entraîner en mini-jupe dans ce lieu de dévergondage et se prenait en plein visage l’haleine avinée de son compagnon. Il se trémoussait tout contre elle, les mains voyageant entre son dos et ses fesses, s’insinuant parfois sous sa mini-jupe et flattant sa culotte de coton, ou bien descendant plus bas, sur ses cuisses. Elle sentait le pantalon de Mathieu enfler, juste sous la ceinture, quand leurs bassins se pressaient l’un contre l’autre. Mais elle était enivrée par la musique et les lumières, par les sensations que lui procuraient les caresses de Mathieu.

C’était la première fois qu’elle s’abandonnait ainsi dans les bras d’un garçon, et pour le moment, elle ne pensait qu’à faire durer cette valse des émotions. Son intensité monta brusquement quand Mathieu posa ses lèvres sur les siennes. Ils continuèrent leur slow langoureusement soudés par la bouche. La jeune fille ne réagit que lorsque la langue de son cavalier pénétra trop profondément en elle. Gênée, elle tenta de se libérer. Mathieu lui dit alors quelque chose qu’elle ne comprit pas.

« Hein ? cria-t-elle.

— Allons dehors ! »

Elle lui obéit.

Ils quittèrent la boîte de nuit sans s’écarter d’un cheveu, collés ensemble comme deux aimants. La musique bourdonnait toujours dans leurs oreilles tandis qu’ils marchaient dans la rue silencieuse et arrosée par l’éclat des lampadaires. La chaleur torride de la journée commençait seulement à s’alléger. Au-dessus des toits, les étoiles scintillaient. Si les deux jeunes gens y avaient fait attention, ils auraient vu l’une d’elles se déplacer lentement.

« Où est-ce que tu m’emmènes ? demanda Julie.

— Nulle part. Je veux juste marcher un peu.

— Il va falloir que je rentre chez moi.

— Je veux profiter de toi. T’es une fille archibandante.

— Bandante, moi ?

— Oui. »

Les doigts de Mathieu serrèrent plus fort ceux de Julie, qui commença à se sentir un peu mal à l’aise. Elle se retrouvait dans des rues qu’elle n’avait jamais parcourues, et qui étaient plutôt mal éclairées.

« Je veux rentrer chez moi, répéta-t-elle.

Attends. »

Le jeune homme s’arrêta subitement et la plaqua contre une porte.

« Tu me fais trop envie », murmura-t-il.

Aussitôt, il glissa une main entre les cuisses de Julie et chercha sa petite fente à travers sa fine culotte.

« Non, fit-elle.

— Tu n’as pas envie de moi ?

— Si, mais... pas ici.

— Tu n’as jamais rêvé de faire l’amour sous une porte ?

— Je ne veux pas faire l’amour ! Je veux rentrer chez moi.

— Tu vas voir, ça va bien se passer. Je veux d’abord que tu voies ma bite. T’en as jamais vu, hein ? »

Julie aurait préféré se sauver, mais elle était coincée entre la porte et le corps massif du jeune homm

e. Autour d’elle, toutes les fenêtres étaient noires. Les habitants devaient dormir d’un sommeil profond. Cette scène n’aurait aucun témoin.

Mathieu se décolla heureusement d’elle, mais pour ouvrir son bermuda et baisser son boxer. Il en tira un appendice qui se dressa et s’allongea jusqu’à frôler les vingt centimètres.

« Alors, elle est belle, ma queue, hein ? » susurra-t-il avec un pointe de perversité dans sa voix.

Il imaginait déjà comment il allait l’enfoncer dans le sexe de sa compagne. Quant à elle, c’était la première fois qu’elle voyait un pénis. Elle en était plutôt effrayée, car elle se demandait comment un dard aussi gros allait pouvoir pénétrer son vagin encore vierge. Bien sûr, Mathieu ne lui demanderait pas son autorisation. Même s’il était resté tendre, elle commençait à sentir l’odeur âcre du viol.

« Faut pas avoir peur, dit-il. Touche ma bite. Toutes les nanas adorent ça. Je te demande juste de me branler un

peu. »

Elle referma sa main sur l’instrument de son futur supplice et constata à quel point il était dur, et pourtant recouvert d’une peau étonnamment souple.

Mais brusquement, une lumière éblouissante envahit la rue, obligeant Julie à fermer les yeux pour ne pas être aveuglée. Il lui fallut même plaquer les mains sur son visage, car ses paupières n’étaient pas un barrage suffisant.

Cela ne dura que quelques secondes. Quand l’adolescente, effrayée par ce phénomène incompréhensible, se risqua à rouvrir les yeux, elle était seule dans la rue.

Mathieu avait disparu.

Par Erika Sauw
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Mercredi 26 novembre 3 26 /11 /Nov 17:45

 

Une occasion lui vint toutefois quand la mère et sa fille aînée décidèrent de faire une sortie ensemble. Il se retrouva seule dans l’appartement avec la cadette, et quand il entra dans la salle de séjour, il la trouva assise sur le canapé en cuir, les cuisses écartées et l’index dans le vagin. De là où il se trouvait, il voyait le rougissement de sa cavité intime.

Pourquoi sont-elles toujours excitées quand elles s’asseyent là-dessus ? se demanda-t-il.

Mais peu lui importait, il voyait pour la première fois depuis son arrivée sur cette planète une créature pouvant faire office de proie. Il en retrouva une érection qu’il avait perdue depuis plus d’une heure. Ce fut donc en tenant sa verge qu’il s’approcha de Waeraga.

« Alors, on a une petite envie ? demanda-t-il.

Une envie de quoi ? fit la jeune fille.

— De baise. Pourquoi tu es en train de te masturber, sinon ? »

Waeraga retira le doigt de son sexe.

« C’est juste comme ça, expliqua-t-elle.

— Il ne faut pas te gêner. Moi, j’aime bien te voir comme ça. Et toi, est-ce que tu aimes regarder ma bite ? »

Tout en parlant, il continua à s’approcher et Waeraga et finit par lui mettre son phallus décalotté sous les yeux.

« Oui, j’aime bien, reconnut la jeune fille.

— Touche-la... Oui, comme ça... Et touche aussi mes couilles. »

Les mains de la cadette explorèrent les organes sexuels de Mathieu, firent glisser la peau le long de l’imposante tige, passèrent derrière les testicules pour s’approcher de l’anus.

Graine de salope, pensa Mathieu.

« Tu as envie de me sucer ? questionna-t-il.

— Te sucer le pénis ?

— Oui. Tu comprends vite, ma petite. Tu n’as qu’à mettre ça dans ta bouche et le sucer comme si c’était une friandise. Mais il faut faire attention à ne pas me mordre, d’accord ?

— Pourquoi est-ce que je ne pas mordre ?

— Parce que si tu le fais, ta mère ne sera pas contente. Ça doit rester intact. »

Mathieu appuya son gland sur les lèvres de Waeraga, qui les ouvrit pour le laisser entrer.

« Il faut avaler ma bite et la faire ressortir, expliqua le jeune homme avec la patience d’un bon pédagogue. Quand tu sera entraînée, tu pourras la prendre profondément... Et mets ta main ici... »

L’élève était douée. Tout en tenant le pénis à sa base, elle se mit à sucer le gland avec application. Le jeune homme sentait les prémices de la jouissance gagner son membre. Pendant que sa compagne œuvrait, il lui caressait sa chevelure noire, sa joue et son épaule. Ce moment de tendresse érotique fut un véritable délice pour lui. Il eut l’impression d’effectuer une défloration, puisque Waeraga subissait sa première pénétration buccale.

« Je dois continuer ? dit-elle

— Avale-le encore plus. Allez ! Fais un essai. »

Mathieu poussa lui-même son membre dans la bouche de la jeune fille, lentement mais avec autorité. La protestation gutturale de celle-ci ne le dissuada pas de continuer. Il ne pouvait cependant guère aller très loin, son braquemart étant beaucoup plus long pour pénétrer tout entier. Il se décida à retirer son sexe tout humide de salive.

« On recommence ? fit-il.

— Non.

— Ça ne te fait pas plaisir, d’avoir ça dans ta bouche ? Tu m’aimes pas sucer ?

— Si, mais... un peu.

— Tiens, je te vais te montrer quelque chose. C’est ce qui se passe quand je m’enfonce dans le ventre de ta mère ou de ta sœur. »

Le jeune homme serra son phallus déjà bien chauffé et fit vigoureusement courir sa main dessus. Waeraga le regardait faire avec des yeux étonnés, n’ayant jamais vu un homme se masturber. Subitement, un jet de liquide blanc jaillit du petit trou pour s’étaler sur son nez et ses yeux. Elle y porta prestement les mains pour les essuyer, tout en constatant que cette substance ne lui faisait aucun mal.

Une voix s’éleva derrière Mathieu en le faisant sursauter :

« Alors, tu es content ? »

Il se retourna pour voir Keanima debout derrière lui, dans la petite robe blanche qu’elle avait enfilé avant de partir. Djena, vêtue de la même manière, se tenait sur le seuil de la porte.

Une onde de terreur coinça dans la gorge de Mathieu les mots qu’il voulait prononcer. Pourtant, sa maîtresse ne semblait pas fâchée. Son regard avait seulement un éclat froid.

« Waeraga, va te laver, ordonna-t-elle.

— Oui maman ! »

Fellation.jpg

Par Erika Sauw
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Samedi 22 novembre 6 22 /11 /Nov 17:27

Description d'une salle de bains sur la planète Gamma Pictoris. La photo correspond bien à l'idée que je m'en fais.

Bon... J'avoue que cet article vaut surtout pour cette photo.

Salle de bains

 

 

 

Leur partie la plus exotique était la salle de bains, où se trouvaient les toilettes. Pour faire ses besoins, il n’y avait guère qu’un trou pratiqué dans le dallage, avec sûrement dessous un système de traitement des déchets organiques. On se nettoyait ensuite à grande eau, mais l’on ne pouvait pas s’essuyer car il n’y avait de serviette nulle part. Keanima et ses filles ressortaient toujours de la salle de bains trempées et laissaient leur peau sécher toute seule, ce qui était un excellent moyen de combattre la chaleur. Cela ne posait aucun problème puisqu’elle ne s’habillaient pas tant qu’elles restaient chez elles et que rien, en ce lieu, ne craignait l’humidité. Le sol, de même que les rues de la ville, était entièrement recouvert d’un dallage de pierre lisse.

Par Erika Sauw
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