Dimanche 2 octobre 7 02 /10 /Oct 21:58

Troisième et dernier extrait du deuxième tome de Désirs de nymphes, mais il est possible de le lire sans avoir pris connaissance de tout le reste. Karine et ses copines Judith, Chloé, ainsi que Didier, rendent visite à une famille de naturistes. Ce dernier entreprend de déflorer une jeune fille, Aurore, sous le regard de toutes la compagnie.

 

 

Aurore s’allongea sur le dos, les jambes écartées juste devant moi comme pour me montrer son intimité juteuse, mais Didier se plaça devant. J’eus alors sur une vue sur ses fesses, son mignon petit trou, et dessous, ses boules enveloppées de peau. Il se pencha sur la jeune fille pour lui donner un baiser sur la bouche, ce qui me rappela le Prince réveillant la Belle au bois dormant, mais en version beaucoup plus érotique. D’une certaine manière, Didier était bien en train d’éveiller la jeune fille.

Il la fit ensuite se pâmer sous ses caresses, suça ses mamelons puis porta la bouche à son sexe. Elle était déjà à deux doigts de la jouissance quand il titilla son clitoris du bout de langue.

« Hé ! fit Chloé en me donnant un coup de coude. Tu ne photographies pas ?

— Ah si ! »

Quelle tête en l’air !

J’allumai l’appareil et me déplaçai pour prendre la première photo sous un bon angle. Comme le soleil s’était couché, il commençait à faire sombre et le flash s’alluma.

Premier cunnilingus immortalisé !

Les parents d’Aurore, qui avaient d’abord hésité à venir, se trouvaient à la porte de leur chambre. Je trouvais que pour des gens qui exhibaient leurs organes sexuels à longueur de journée et qui avaient expliqué à leur fille comment s’en servir, ce n’était pas un grand pas à franchir. Néanmoins, ils restaient en retrait. Le seuil de la porte était l’endroit idéal pour eux : ils pouvaient voir si tout se passait bien sans s’immiscer dans cette scène.

Aurore n’était pas passée loin de l’orgasme. Le sentant venir, Didier avait arrêté à temps de jouer avec son clitoris. Je la savais folle de désir, brûlant d’être enfin pénétrée, mais elle n’osait pas le dire. Une fille expérimentée aurait exprimé sa volonté ou se serait empalée d’elle-même sur ce pieu. Aurore n’en était pas encore là.

Comme j’étais capable de voir à distance des accouplements, je m’attendais à ressentir beaucoup de choses devant cette scène de sexe, mais peut-être n’étais-je pas assez concentrée. L’excitation qu’elle me procurait me semblait être ordinaire. J’accordais une attention particulière aux organes génitaux de Didier, et je me serais caressée comme le faisaient mes amies si je n’avais pas eu cet appareil dans les mains.

Le moment attendu arriva enfin, mais au lieu de se placer dans la position habituelle pour une défloration, celle du missionnaire, Didier s’allongea derrière Aurore, le ventre contre ses fesses, et lui souleva une jambe. Cela nous permettait de tout voir et j’approchai mon appareil.

Il inséra son gland entre les lèvres toutes roses et glissantes et le poussa très lentement. Ma respiration se bloqua. Je me demandai comment un tel phallus allait forcer le petit sexe d’Aurore sans causer aucune douleur. La réponse me vint toute seule : la magie ! Quelle meilleure occasion un satyre pouvait-il avoir qu’une relation sexuelle pour exercer ses pouvoirs ? Pourtant, je ne percevais toujours rien de spécial et je vis seulement le sexe de Didier s’enfoncer dans celui de la jeune fille, tandis qu’elle miaulait de plaisir. Le mouvement ne s’arrêta que quand ses testicules butèrent contre les petites lèvres d’Aurore.

Judith poussa une exclamation joyeuse et applaudit, aussitôt suivie par Chloé et Sylviane. Quant à moi, je captai cet évènement en faisant une énième photo. Didier se mit à effectuer un rabotage d’abord lent, puis accéléré. Il tenait Aurore par la poitrine d’une main et continuait à lui soulever la jambe de l’autre. Elle gigotait en se mordant les lèvres, ne voulant pas être bruyante. Elle ne semblait pourtant avoir aucune conscience de la présence de ses parents et fermait les yeux.

À présent, Didier faisait du défonçage. Je savais qu’un dépucelage ne causait pas forcément de douleur ni ne faisait couler de sang, mais ce premier rapport sexuel ne me semblait vraiment pas normal. Le satyre continua à marteler le sexe d’Aurore jusqu’au moment où il se vida dedans. Judith applaudit une deuxième fois mais ne fut pas imitée.

Jean-Michel et Magali étaient alors partis, probablement rassurés par ce qu’ils avaient vu. Leur fille, une fois séparée de Didier, me parut être dans un état singulier, comme si elle n’arrivait pas à revenir de la jouissance qu’elle avait connue. Judith la prit par la main et la conduisit hors de la chambre.

Nous nous retrouvâmes dehors, malgré l’obscurité mon-tante. Didier tint à s’asseoir à côté de Judith. J’en profitai pour tenir compagne à Aurore, dont toute l’attention était tournée vers son entrecuisse. Comme d’habitude, le satyre avait été généreux en sperme, et bien qu’il lui ait injecté cette dose bien en profondeur, elle était en train de ressortir. La jeune fille, occupée à examiner son intimité, en avait plein les doigts.

 

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Par Erika Sauw - Communauté : Récits Erotiques X
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