Jeudi 22 octobre 4 22 /10 /Oct 20:20

J'ai commencé à écrire une histoire qui se déroule dans une France imaginaire, qui n'a jamais été chrétienne, qui n'a pas connu non plus la Révolution et où les prostituées sont reconnues. Mon héroïne, Liza, est une célèbre courtisane diplômée de l'Ecole Supérieure des Métiers du Sexe. Le duc de Réchicourt fait appel à elle pour déniaiser son fils, le jeune Henri.

 

 

 

Il ferma la porte et je me retrouvai seule avec Henri dans cette pièce de dimensions réduites, plus intime que le salon. Un grand lit était poussé contre un mur. Il y avait aussi un canapé et deux chaises. L’unique fenêtre, de petite taille, avait des rideaux brodés.

L’adolescent se tenait debout, tétanisé. Je m’avançai lui et posai les mains sur ses épaules en le regardant droit dans les yeux. Perchée sur mes talons, j’étais plus grande que lui. En le regardant droit dans les yeux, je lui donnai un sourire tendre, qui avait un petit aspect carnassier. J’allais « me faire un puceau », c’est comme ça que je voyais les choses. Ce qu’il avait sur le menton était plus du duvet que de la barbe, mais puisque ses organes sexuels fonctionnaient, il était assez mûr pour moi.

Je me penchai sur lui pour effleurer ses lèvres avec les miennes, puis je poussai doucement ma langue dans sa bouche. Nos souffles se mêlèrent. C’était un baiser tendre mais très sensuel.

Je passai ensuite un doigt sur ses lèvres, pour les essuyer.

« J’ai laissé un peu de rouge, expliquai-je. Le reste, je le laisserai sur ta queue quand je te sucerai. Tu comprends ce que je veux dire ?

— Oui.

— Tu regardes des films pornos ?

— Oui.

— Alors tu sais de quoi je parle. Maintenant, il est temps que tu apprennes ce qu’est une femme. Caresse-moi. »

Henri fit glisser ses mains sur mes épaules, puis sur mes bras malgré les nombreux bracelets qui les barraient. Il devait être fasciné par le satin de ma peau et sa teinte de bronze. Il s’intéressa ensuite à mes seins, les palpant et prenant mes mamelons entre ses doigts. Ses caresses, pourtant hésitantes, faisaient jaillir des flammèches de désir dans mon corps.

« As-tu remarqué que mes tétons sont en érection ? dis-je.

— Non.

— Ils ont tendance à gonfler, comme ton pénis lorsque tu es excité. En caressant les seins d’une femme, tu lui donnes du plaisir. On dit que c’est une zone érogène. Ces caresses peuvent même donner un orgasme à la femme, mais il faut y mettre beaucoup de temps et d’adresse.

— Je ne savais pas.

— Il y a plein de choses qu’on ne voit pas dans les films. »

Je m’écartai de lui pour m’asseoir sur le lit et j’enlevai quelques bijoux, puis je basculai en arrière en écartant les jambes.

« C’est en réalité tout le corps des femmes qui est érogène, repris-je. On peut les caresser partout, même au bout des orteils. Mais c’est tout de même le sexe qui est la source du plaisir. Approche-toi. Mets tes doigts dessus. »

Henri s’agenouilla entre mes cuisses pour m’obéir, et il commença avec tâter ma vulve avec un regard de convoitise.

« Ce sont les grandes lèvres et les petites lèvres, commentai-je. Là, c’est mon clitoris, ou plus exactement l’extrémité visible de mon clitoris car la plus grande partie se trouve à l’intérieur. C’est l’équivalent de ton pénis, sauf qu’il est plus petit et plus sensible. Et puis, je fais pipi par ce petit trou.

— C’est mouillé, remarqua Henri.

— C’est mon excitation qui produit cela. Ma lubrification te permettra de pénétrer plus facilement mon vagin.

— Je t’excite ?

— Oui. On ne devrait pas pénétrer une femme si elle ne mouille pas, cela risque d’abîmer son vagin, avec des blessures pas toujours visibles à l’œil nu. Les muqueuses sont fragiles. Vas-y, enfonce tes doigts. »

L’adolescent entama l’exploration de mon fourreau. Il fit d’abord tourner son index, puis l’enfonça de plus en plus profondément. Je m’affalai sur le lit, les mains sur mes seins, et me mis à pousser des halètements. Cette fois, mon bas-ventre était incandescent. Je voulais y sentir, non plus un doigt hésitant, mais un bon gros phallus qui remplirait tout l’espace disponible. Ce que Henri avait fait depuis le début avait valeur de préliminaires, et il était temps de passer au plat principal.

Je me relevai en demandant à l’adolescent de se mettre debout. Je lui baissai son pantalon puis son slip, pour en sortir un phallus assez court mais de grosseur convenable. Sans faire plus de commentaires, je le pris en bouche et je suçai avec lenteur. J’arrivais à l’avaler presque entièrement mais je m’appliquais plutôt à en gober le gland, tout en caressant ses jolies bourses encore toutes tendres et à peine poilues.

Je m’arrêtai quand je le sentis sur le point de projeter son sperme. Je regardai avec satisfaction son membre teinté par mon rouge à lèvres.

« Tu vois, je te l’avais annoncé ? dis-je. Bien... déshabille-toi complètement. »

Je retournai sur le lit pour m’y allonger et je regardai Henri se déchausser et retirer tous ses vêtements. Il était assez frêle, avec peu de muscles sur le torse. Pour tout dire, son apparence était un peu féminine, mais cela ne diminua pas mon désir.

« Viens sur moi... Voilà... Maintenant, tu vas mettre ma queue dans mon vagin. Tu verras que ce n’est pas si évident que cela. Il faut parfois forcer, et si tu ne bandes pas assez dur, ton pénis ne rentrera pas. Heureusement, il y a des moyens de durcir les queues, mais il faut les connaître.

— Tu me les enseigneras ?

Oui. La position que nous sommes en train de prendre est celle du missionnaire. Mets le bout de ton pénis juste là. Quand tu le pousseras, ça devrait rentrer. »

Àquatre pattes au-dessus de moi, Henri effectua la manœuvre.

« Pousse jusqu’au fond !... C’est bien !... Maintenant, tu sais comment font les acteurs dans les films, alors fais pareil, mais arrête-toi avant d’éjaculer parce que j’aimerais te montrer tout de suite une autre position. »

Je fermai les yeux pour savourer les va-et-vient de mon amant. Je me sentais comblée malgré la lenteur de ses mouvements.

Se faire sauter par un homme expérimenté, cela apportait une jouissance beaucoup plus grande. Dans ce cas, la satisfaction était plutôt psychologique. Déniaiser un garçon, c’était un plaisir exceptionnel.

Tout à coup, il se cambra et émit un son étranglé : il n’avait pas pu s’empêcher de lâcher son foutre en moi. Je laissai jouir jusqu’à l’extinction de son orgasme et je me redressai en le faisant quitter mon bas-ventre.

« C’était bien ? dis-je.

— Oui.

— Pour l’autre position, on attendra un peu. Un homme ne peut pas avoir deux éjaculations consécutives, mais comme tu es jeune, ça devrait aller vite. Il faut savoir que l’éjaculation, ce n’est pas forcément la fin du rapport sexuel. Tu peux encore utiliser tes mains ou ta langue. Tiens, je vais t’enseigner comment on embrasse une fille. »

En vérité, j’avais plutôt envie de l’empoigner, de le retourner et de le plaquer sur le lit, de lui claquer ses jolies fesses et de fourrer un doigt dans le trou de son cul. C’était la manière la plus rapide de le faire rebander, et mon humeur était celle d’une tigresse.

Mais je me maîtrisai et fus douce comme une chatte. Nous nous donnâmes de longs baisers de plus en plus intenses et profonds, accompagnés de moult caresses, puis quand son pénis fut de nouveau en état de fonctionner, je lui enseignai comment faire une levrette.

Je ne mettais pas de préservatif à mes amants, puisque j’avais été vaccinée contre toutes les maladies connues et j’étais soumise à un contrôle sanitaire mensuel. Un stérilet m’empêchait de faire des bébés. Ainsi, Henri effectua un deuxième remplissage de mon vagin, après m’avoir donné plus de plaisir que la première fois. Je lui avais expliqué que, pour moi, cette position était meilleure que celle du missionnaire, et il commençait à savoir utiliser son sexe.

Par Erika Sauw - Communauté : Récits Erotiques X
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Avril 2024
L M M J V S D
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30          
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés