Mercredi 9 décembre 3 09 /12 /Déc 21:48

 

Je reviens à ma série Compromission, avec une scène de sexe que je n'avais pas mise en ligne. Edwige y fait ses débuts dans la photographie érotique. Elle regarde d'abord un couple (Irina et Guillaume) faire l'amour sous l'objectif de Bruno, puis elle se fait elle-même photographier.

Laetitia est la maquilleuse.

 

Irina se présenta dans une somptueuse lingerie blanche, composée d’un caraco retenant des bas et d’un string. Sa poitrine était merveilleusement mise en valeur ; sa longue chevelure descendait en longues boucles sur son dos. Lætitia avait réalisé un maquillage simple mais qui donnait une beauté irréelle à son visage. Elle accompagnait Irina et Guillaume.

Quant à ce dernier, il avait revêtu un costume noir sur une chemise blanche. Son allure était parfaite, mise à part une défectuosité : son phallus sortait de sa braguette ouverte.

« Je n’ai pas pu le rentrer, m’expliqua-t-il. Mais on commence tout de suite. »

Bruno donnait ses consignes en français, avec des gestes expressifs. Depuis son arrivée, Irina entendait quotidiennement des mots comme « bite » et « sucer », dont elle avait forcément compris la signification. La première chose qu’elle effectua fut justement de s’asseoir sur le lit et de mettre la verge de Guillaume dans sa bouche. Le couple fut photographié plusieurs fois dans cette position, de loin et de près. Bruno fit un gros plan du pénis du jeune homme, dont seul le gland avait été avalé et dont les testicules dépassaient alors du pantalon. Irina fit ensuite sortir ses seins globuleux de son caraco et continua à sucer Guillaume.

À la fin de cette première étape, le jeune homme dénoua sa cravate tandis que sa partenaire retirait ses sandales, ses bas et son string. Sans avoir enlevé ses chaussures, il s’allongea sur le lit et Irina se mit à quatre pattes au-dessus de lui. Elle l’embrassa d’abord sur la bouche, déboutonna sa chemise pour dénuder son torse, sur lequel elle passa quelques coups de langue. Continuant sa descente, elle défit la ceinture du pantalon de Guillaume afin de le faire glisser sur ses cuisses, et elle recommença une petite fellation qui se réduisait par moments à de simples baisers sur le gland du jeune homme. Son visage était à moitié caché par sa chevelure tombant en une cascade lumineuse.

Tout était photographié. Lætitia servait d’assistante à Bruno quand c’était nécessaire, juste pour moduler l’éclairage.

Irina s’agenouilla au-dessus de Guillaume en prenant son phallus pour l’approcher de son sexe, et elle s’embrocha dessus, la tête renversée en arrière dans une expression extatique. Bruno la laissa faire quelques mouvements avant de lui demander de s’arrêter et de photographier le couple sous plusieurs angles, les mains de Guillaume posées soit sur ses cuisses, soit sur ses seins. Elle enleva son caraco, se retrouvant nue sur un homme portant toujours son costume, mais déshabillé de la poitrine aux cuisses.

C’était extrêmement érotique. Depuis un moment déjà, j’avais écarté mon string pour mettre la main sur mon sexe trempé, et je devais me retenir pour ne pas me masturber jusqu’à l’orgasme. Chacun de ces gestes, effectué avec lenteur, comportait beaucoup de sensualité. Je sentais presque dans ma chair la fusion des deux partenaires. La grâce de ce coït serait sûrement figée de la plus belle des manières dans l’appareil de Bruno.

J’avais lu un article sur le tournage d’un film porno, alors je savais que la scène à laquelle j’assistais n’avait rien de comparable. Les acteurs d’un film ne se connaissaient généralement pas. Ils arrivaient sur le lieu du tournage, baisaient et repartaient. Cependant, les actrices devaient se présenter avant les hommes à cause de leur maquillage et de leur habillage. Chez Bruno, les modèles vivaient ensemble et partageaient une intimité qui se voyait sur les photos.

Enfin, Irina et son compagnon changèrent une nouvelle fois de position, pour une levrette. Après de nouveaux clichés, Guillaume reçut l’autorisation de retirer sa veste et de pilonner sa partenaire jusqu’à son éjaculation. Je regardai son bassin heurter en cadence les fesses d’Irina, laquelle exprimait sa jouissance à grands cris. Bruno resta à côté d’eux sans chercher à capter un seul de ces instants.

Quand le visag de Guillaume exprima l’imminence de l’orgasme, il retira son pénis et le serra dans sa main. Une giclée de sperme s’étala en une arabesque blanche sur la vulve et les fesses d’Irina. Bruno s’en approcha aussitôt avec son appareil pour photographier cette œuvre éphémère.

Le spectacle était terminé et tous les acteurs s’estimèrent satisfaits. Irina se leva en essuyant son postérieur avec ses mains, puis elle se dirigea vers une salle de bains.

Bruno se tourna vers moi et me prit la main dans le sac, c’est-à-dire sur mon sexe.

« Ça t’a plu ? demanda-t-il avec un sourire ironique.

— Oui... C’était chaud.

— Je vois que tu es mûre pour prendre la place d’Irina. Commence par te déshabiller, sans enlever tes sandales ni tes bijoux. J’ai l’intention de t’emmener dehors ensuite. »

Je jouai les strip-teaseuses devant cet homme, sans grand mérite puisqu’il m’avait déjà vue dénudée. Je me dirigeai ensuite vers le lit.

« Il n’y aura pas de maquillage ni d’autre préparatif, poursuivit Bruno. C’est seulement un essai. Je te laisse prendre les pauses que tu veux. Exprime-toi. Prouve que tu aimes t’exhiber. Ce n’est pas vrai ?

— Si, répondis-je avec une légère hésitation.

— Montre d’abord ton corps. À la fin, je me concentrerai sur ton sexe. »

Je commençai par m’asseoir simplement sur le lit. Je croisai les jambes, laissai Bruno prendre les premiers clichés, puis les écartai.

« Lève les bras. Mets-les dans tes cheveux, me dit Bruno. Oui, c’est ça... penche la tête en arrière. Cela fait saillir tes seins. »

Je montai ensuite sur le lit, les jambes repliées de différentes manières, puis je m’allongeai sur le ventre afin d’immortaliser mes fesses dans le reflex de Bruno. Après cela, je me mis sur le dos, les genoux relevés. Je plaçai les mains sur mes seins puis les fis glisser vers l’intérieur de mes cuisses.

« C’est ça ! m’encouragea Bruno en plaçant son appareil au-dessus de mon intimité. Pose tes mains des deux côtés de ton sexe... Tourne-toi un peu... »

Il ne me pénétrait que par le regard, mais j’en avais les sens affolés.

« C’est incroyable comme tu mouilles, remarqua-t-il. J’adore cela. T’en as plein partout. Mets les doigts dans ton sexe et ressors-les. Je veux les voir trempés. »

Je m’exécutai, pour mon plus grand bien. Dans l’état où j’étais, il fallait absolument que j’aie quelque chose en moi. Si Bruno avait sorti son pénis à ce moment-là, ç’aurait été une délivrance pour moi, mais il conserva un comportement très professionnel. Je constatai d’ailleurs sa passion pour la photographie : il aimait vraiment fixé des femmes dans son appareil. Son excitation était celle d’un chasseur d’images trouvant un animal rare dans une jungle équatoriale.

Il fit des gros plans de mon sexe ouvert au maximum par mes propres soins, sous un éclairage bien meilleur que celui de la veille, puis il me demanda de me mettre à quatre pattes afin que je fusse prise par derrière.

« Écarte tes genoux, dit-il. Pose ta tête sur le lit et mets les mains sur tes fesses. Voilà, c’est super... »

Il pouvait sans doute voir le fond de mon vagin. Quand il fut satisfait, je me rassis sur le lit tandis qu’il regardait les photos sur son écran. Il avait une mine épanouie.

« Viens. On va faire un tour dehors et ce sera tout.

— Alors les photos sont réussies ?

— Il va falloir que tu travailles tes poses, mais ça va. Tu feras un excellent modèle.

— Tu vas les conserver ?

— Oui, bien sûr.

— Tu en enverras à Denis ?

— Je lui enverrai les meilleures. »

Nous quittâmes le studio en marchant côte à côte.


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Par Erika Sauw - Communauté : Récits Erotiques X
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