Vendredi 22 avril 5 22 /04 /Avr 22:55

Voici une deuxième scène de sexe extraite de mon texte "Désirs de nymphes". Je ne peux pas vous expliquer d'où vient ce titre, pour ne pas spoiler l'histoire, mais ça n'a pas d'importance. La jeune Karine vient d'arriver dans une maison où les moeurs sont très particulières. Elle a vu ses deux hôtes, Didier et Judith, faire l'amour dans la cuisine sans chercher à se cacher. Elle a appris qu'ils aiment rester nus, et qu'il en est de même des deux jolies pensionnaires, Chloé et Sylviane.

C'est en suivant leurs coutumes qu'elle participe au premier dîner. Quand il est terminé, ils se mettent à parler de sexe.

 

 

« Vous êtes des libertins ? demandai-je à Judith.

— On peut dire cela.

— Pour quelles raisons au juste m’avez-vous fait venir ici ? Pour que Didier puisse me regarder à poil, mais pour quoi encore ?

— La réponse se trouve dans ta première question. Tu dois savoir que nous ne t’obligeons à rien. Si tu as assez mangé, tu peux nous quitter et te retirer dans ta chambre. Demain, tu pourras aller au bord de la mer et te baigner, puis passer toutes tes vacances comme cela. Mais si tu veux faire l’amour avec mon mari, c’est possible. »

J’en eus un rougissement, bien que j’eusse attendu cette proposition.

« Comment peux-tu accepter cela ? m’étonnai-je. Il y a une contrepartie ? Tu peux rencontrer des hommes ?

— Oui, je le peux. »

Je restai muette un petit instant.

« Tu n’es pas vierge ? s’assura Judith.

— Non.

— Tu aimes le sexe ? »

Il me fallut un moment pour répondre par un simple « oui ».

« Alors tout va bien », fit Judith avec un large sourire.

Je regardai mes deux voisines et leur demandai :

« Vous avez toutes les deux fait l’amour avec lui ?

— Oui, me répondirent-elles simultanément.

— Sylviane, tu es également là depuis un mois ?

— Deux semaines.

— Et tu as commencé dès le premier soir ?

— Oui. Comme avec toi. »

Avec moi ? Attends, je n’ai pas encore commencé !

Mais des papillons s’agitaient dans mon bas-ventre.

La conversation se poursuivit comme si nous parlions de choses ordinaires, alors que tout tournait autour du sexe.

« Tu as connu combien de garçons ? s’enquit Judith.

— Un seul.

Un seul ? Alors que tu es si belle ?

Euh...

— J’en ai connu cinq avant de venir ici, déclara Sylviane.

— Et moi, je ne les ai pas comptés, renchérit Chloé.

— Il y a un truc qui m’échappe, dis-je. Pourquoi seules de jolies jeunes filles arrivent ici ? Vous faites une sélection après avoir demandé les photos ? »

J’avais posé la question en me tournant vers Didier, qui sortit de son mutisme :

« C’est plus compliqué que cela, mais bien évidemment, il y a une sélection.

Comment ?

— Plus tard, tu comprendras tout.

— Ce n’est pas possible de tout m’expliquer maintenant ?

— Il est tard et tu es fatiguée, intervint Judith. Nous te dirons tout demain. D’accord ?

— D’accord. »

Elle a l’air si gentille...

« Tu as assez mangé ? demanda-t-elle.

— Oui.

— Alors nous pouvons nous souhaiter une bonne nuit... Mais tu peux aussi rester encore un peu pour voir ce que nous faisons entre nous. »

Mon hésitation fut de courte durée.

« Je reste », décidai-je.

Didier prit un air satisfait, puis il se leva en montrant son majestueux phallus, rigidifié par le désir. Il contourna la table, la débarrassa devant Sylviane et prit ma voisine par un bras. Elle se retrouva allongée sur la poitrine, les fesses sous mes yeux. Didier les écarta avec deux doigts et s’accroupit devant ce postérieur ainsi ouvert pour lécher la vulve de tout son long, avec une langue agile et fouineuse. Ce cunnilingus était accompli à la fois avec autorité et douceur, et je n’en ratai rien. Le bout de langue glissait sur les lèvres intimes, tournait autour du clitoris, passait dessus et s’enfonçait dans le vagin. Sylviane émettait des gémissements à la mesure de son contentement ; des filets de cyprine mélangés à de la salive coulait sur ses cuisses.

Cela dura à peu près cinq minutes. Après cela, Didier se redressa et planta son membre dans le con ainsi préparé, qui avait dû attendre cette intrusion avec une grande impatience. Il se livra à un pilonnage vigoureux, ses gros testicules butant contre les fesses de Sylviane. Celle-ci, complètement hors d’elle-même, réagissait en poussant des cris qui me vrillaient les oreilles. Au bout de quelques instants, elle exprima sa jouissance moins bruyamment, mais je vis son corps se cambrer et une grimace organisme apparaître sur son visage. Quelques secondes plus tard, ce fut au tour de Didier de pousser un rugissement. Il n’arrêta cependant pas de limer le vagin de Sylviane, si bien que ses mouvements en extirpèrent une substance laiteuse qui se répandit sur les lèvres et les cuisses de la jeune fille : il devait avoir éjecté une grande quantité de sperme. Quand il retira son pénis, son amante continua à rejeter un peu de cette substance. Elle resta inerte, ravagée par son orgasme.

« Alors, ça t’a plu ? » demanda Didier en se tournant vers moi.

J’avais sous le nez un phallus qui n’avait pas rétréci d’un millimètre. C’était assez étrange, mais je n’étais pas en état d’y réfléchir. Cette scène m’avait rendue incapable de résister. Mes seins s’étaient gonflés et son sexe humide ne rêvait que d’avaler ce phallus.

« Tu veux que je te baise ? » entendis-je

Je répondis à cette question très directe par un hochement de tête.

Didier ne me plaqua pas sur la table. Il me prit par une main pour m’allonger sur l’herbe à côté de la terrasse, puis il se plaça au-dessus de moi. La pénétration s’effectua sans aucun préliminaire. Je n’avais même jamais touché cet homme auparavant, sauf quand ses doigts avaient effleuré les miens sur la poignée de la valise. Là encore, ses mains ne se posèrent pas sur mon corps, mais comme les miennes étaient libres, je les utilisai pour explorer son corps si viril, cette peau ferme sous laquelle jouaient ses muscles. Mais les mouvements de son sexe dans le mien me rendirent bientôt incapable du moindre geste ordonné. Je fus noyée dans une jouissance montante et j’entendais le jaillissement de mes propres cris comme provenant d’une autre gorge que la mienne. Mon vagin se resserra sur cet épais membre et l’orgasme se déchaîna avec une facilité déconcertante. Ma jouissance fut si intense qu’elle atteignit presque les limites du supportable. Quand elle se calma, il y eut une phase durant laquelle je crus planer dans un monde dépourvu de gravité.

Je sentis à peine un liquide atterrir sur mon ventre et ma poitrine : Didier avait éjaculé sur moi. Immédiatement, Chloé se pencha sur moi pour étaler cette abondante semence sur ma peau, avec sa main droite.

« C’est excellent », expliqua-t-elle.

Quand elle eut fini, je la vis porter un doigt à sa bouche pour le sucer avec un sourire de ravissement. Mais Didier, décidément increvable, l’attrapa pour la mettre à quatre pattes sur l’herbe et l’empaler par-derrière. La position était comparable à celle qu’il avait prise avec Sylviane et l’accouplement se déroula de la même manière. Quand Chloé connut à son tour la jouissance, je m’étais assise sur l’herbe, la peau de mon buste toujours humide de sperme.

 

 

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Pour vous procurer le texte intégral :
Par Erika Sauw - Communauté : Récits Erotiques X
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