Mercredi 24 août 3 24 /08 /Août 21:40

 

Judith et ses trois apprenties débauchées, Chloé, Sylviane et Karine se rendent dans un sex-shop pour y trouver quelques vêtements coquins. Karine est d'ailleurs nue. Oui, elle s'est baladée comme cela sur quelques centaines de mètres ! Quant à ses amies, elles ne sont guère mieux vêtues, voulant être aussi provocatrices que possible. Je vous laisse lire ce qui va arriver.

 

Judith s’arrêta devant un sex-shop.

« C’est ça, le magasin ? fis-je.

— Oui. Je te laisse choisir ce que tu veux. »

J’y entrai à sa suite, devant Sylviane et Chloé. Une immense collection de vêtements sexy et de lingerie coquine sauta à mes yeux, mais avant de les regarder, je voulus explorer les lieux, qui étaient assez vastes. Ce magasin n’avait rien des petits sex-shops assez miteux qui se dissimulent dans certains quartiers. Des DVD de films pornographiques recouvraient le mur du fond, derrière des rayons chargés de sex-toys d’une variété que je n’aurais jamais imaginée. Il y en avait pour les femmes et pour les hommes, dont une poupée gonflable trônant dans une vitrine.

Les locaux se poursuivaient plus loin, dans une certaine obscurité.

« Qu’est-ce que c’est ? demandai-je.

— Des cabines où l’on regarde des vidéos en se branlant, répondit Judith.

— Ça existe ?

— Tu veux faire l’expérience ?

— Je préfère un homme à une vidéo.

— Tu vois, là ? On diffuse des films sur grand écran. C’est gratuit pour les couples. Je te laisse imaginer ce qui se passe dans la salle.

— Les gens normaux également, ils savent s’amuser.

— Mais ils le font toujours en cachette. »

Ses propos furent quelque peu démentis. Je n’étais pas la seule personne à attirer les regards. Il y avait aussi Chloé, avec sa poitrine qui appelait les caresses, et Sylviane, dont les fesses demandaient à être découvertes. Elle souleva sa jupe pour les montrer à un jeune homme qui la reluquait ostensiblement. Il se dirigea vers elle, mais elle lui échappa pour se rapprocher de Judith et de moi, si bien qu’il arriva près de nous.

« Qu’est-ce que vous faites ici ? demanda-t-il à voix basse en me reluquant, la bave aux lèvres.

— Ma copine n’a rien pour s’habiller, alors elle est venue chercher des vêtements, répondit Judith.

— Ah oui ?

— Je m’appelle Karine, dis-je. Elle, c’est Sylviane, et elle, Judith. On se fait la bise ? »

J’attirai le jeune homme à moi pour l’embraser sur les joues, puis brièvement sur la bouche. Je conduisis ensuite sa main vers mes cuisses ruisselantes.

« En réalité, je n’ai pas très envie de m’habiller, dis-je. J’ai envie d’autre chose. »

Pour ne pas être en reste, Sylviane s’était débarrassée de ses vêtements en les abandonnant sur la moquette. Elle attrapa le jeune homme par sa main libre et l’entraîna vers les cabines.

« C’est autorisé ? » questionnai-je en me tournant vers un homme qui tenait apparemment le rôle du caissier, debout derrière un comptoir.

Il nous observait d’un œil scrutateur mais neutre.

« Ça se produit chaque fois que je vais ici », répondit Judith.

Dix secondes plus tard, je me retrouvai à proximité de Sylviane, plaquée contre un mur. Elle n’était pas entrée dans l’une des cabines, car elles étaient toutes fermées à clé, mais dans un couloir où leurs portes s’alignaient. Il était faiblement éclairé par des lampes jaunes et surtout par des écrans montrant des femmes nues, qui exhibaient leurs poitrines opulentes et leurs vulves rasées. Sylviane était en train de masturber le jeune homme tout en l’embrassant sur la bouche, et je me retrouvai tout de suite dans une situation comparable.

Une langue fouineuse força mes lèvres à s’ouvrir tandis qu’une main autoritaire me fouillait le vagin, encouragée par sa moiteur. Pour faciliter la pénétration, je levai la jambe gauche et l’enroulai autour de l’homme. Mes gémissements étaient étouffés par la bouche qui écrasait la mienne. Je posai mes mains sur de larges épaules. Je n’avais pas vraiment regardé à quel homme j’avais affaire ; je découvrais grâce à mes palpations qu’il était musclé. Mes seins s’aplatissaient contre un torse solide. Une odeur virile de transpiration enflammait mes sens.

Après notre baiser, je soulevai le tee-shirt de l’homme pour caresser sa peau et m’agenouillai pour ouvrir son bermuda. J’en extirpai une jolie verge bien raide que je me mis à branler frénétiquement, avant de la guider dans ma bouche. Et peu importe si elle avait une vague odeur d’urine. Tout ce qui venait des hommes éveillait mes désirs, sûrement par effet de ma métamorphose. Je ne me souvenais pas d’avoir eu une telle sensibilité.

J’aurais continué ainsi jusqu’à faire jouir l’homme dans ma bouche, mais il me releva et me souleva même en me faisant glisser sur le mur, et je me retrouvai empalée sur son sexe. Je lui fournis une aide en m’appuyant sur ses épaules. Il commença alors à faire bouger son bassin, pour provoquer des mouvements qui se répercutèrent dans mon vagin et dans tout mon corps. Je devais me mordre les lèvres pour ne pas faire trop de vacarme. Malgré l’incommodité de notre position, il arrivait à me pénétrer jusqu’au fond, et chacun de ses coups de rabot faisait éclater un feu d’artifice en moi.

Il poussa un cri quand il déchargea en moi. Il attendit de se vider complètement avant de retirer son phallus et de me reposer au sol, après quoi, il remit son sexe en place et s’en alla sans avoir prononcé un mot. Je restai un moment chancelante sur mes hauts talons, avant de sortir de la pénombre. Je rejoignis Judith, qui était en train de bavarder avec le caissier.

« J’espère que nous ne sommes pas trop incorrectes, dis-je.

— Ce n’est pas ici qu’on va se plaindre qu’il y a du sexe, du moment que vous ne salissez pas la boutique, répondit l’homme. Vous savez ce qui se passe dans les cabines et la salle de cinéma ?

— Oui, je pense.

— Je vous conseille de venir voir un film un samedi soir. Il y a du monde. Le magasin est ouvert spécialement pour ça.

— Alors je passerai.

— Il y a des couples, mais aussi des célibataires qui viennent se masturber. Vous pourrez leur donner un coup de main, mais il ne faut pas leur demander d’argent, hein ?

— Je ne suis pas une prostituée.

— Oui, je sais. Je dis ça comme ça. Je connais Judith. »

Sylviane réapparut en tenant son cavalier par la main. Elle était nue et du sperme s’échappait de son vagin, comme du mien. Il faudrait que je demande un sopalin au caissier.

 

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Par Erika Sauw - Communauté : Récits Erotiques X
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