Vendredi 20 mai 5 20 /05 /Mai 22:01

 

Pour une fois, je ne mets pas un extrait de texte, mais un texte complet.

 

Je suis une fille qui adore le sexe. Dans la fac où j’étudiais, je m’efforçais de coucher avec les garçons qui m’attiraient le plus, si bien que je m’étais fait une réputation assez sulfureuse. Je ne me sentais toutefois pas seule car j’avais une compagne de débauche, que je désignais par le diminutif de Jenny. Nous nous racontions tout ce que nous faisions, et il nous arrivait de nous masturber ensemble, c’est vous dire.

Je n’avais jusqu’alors subi qu’un seul échec : un garçon que je côtoyais du lundi au vendredi m’attirait beaucoup, mais il n’y avait aucun moyen de le retenir auprès de moi. Jouer des yeux, prononcer des propos équivoques, cela ne servait à rien. C’était un très beau jeune homme aux yeux clairs et aux cheveux blonds, prénommé Boris, qui était encore plus craquant quand il se présentait aux cours sans se raser. C’était son succès auprès des filles qui constituait mon principal problème. Il n’avait pas eu de difficultés à trouver une copine qui lui convenait, et tous les deux paraissaient filer le parfait amour. Moi, la notion de fidélité m’était étrangère et je n’arrivais pas à comprendre que l’on puisse se contenter d’un seul partenaire. De plus, Boris était un étudiant très sérieux qui obtenait de bonnes notes. À part ses études et sa copine, rien ne semblait compter pour lui.

La situation m’était d’autant plus insupportable que nous habitions dans la même résidence. Je n’avais qu’un étage à monter pour frapper à la porte de sa chambre, mais le plus souvent, il n’y était pas seul.

C’est ainsi que nous étions arrivés en mai. Après avoir dîné avec moi dans ma chambre, Jenny me fit remarquer qu’il ne me restait plus que deux semaines pour réaliser mon rêve.

« Je sais, soupirai-je.

— Tu peux monter chez lui maintenant. Sa copine n’est pas là.

— T’es sûre ?

— Oui. »

Il y eut une réaction immédiate dans ma poitrine et au bas de mon ventre, mais je restai dubitative. Boris avait l’air tellement correct que j’étais certaine de me heurter à un véritable mur.

« Tente ta chance maintenant, insista Jenny. Mets une minijupe, un top qui laisse tes seins à moitié découvert, monte et fais-le bander. C’est lui qui va se jeter sur toi.

— Pourquoi tu n’irais pas ?

— Je te le laisse. »

Bien sûr, nous nous partagions nos conquêtes. Boris serait une exception à la règle : le pousser à sauter l’une de nous serait un miracle. Il était inenvisageable qu’il nous baise toutes les deux.

J’étais presque déjà vêtue comme Jenny me l’avait recommandé, car il faisait chaud. Je n’avais qu’à accroître mon décolleté et me refaire un peu de maquillage. Avant de prendre ma décision, je m’assis sur mon lit à côté de Jenny, les jambes étendues devant moi. Je caressai mes jambes parfaitement épilées et déjà un peu bronzées, mes deux principaux instruments de séduction.

« Qu’est-ce que tu as dessous ? » demanda Jenny.

Je retroussai ma jupe pour lui montrer une culotte en tulle noire.

« Mets un string, me conseilla Jenny.

— Ou rien du tout ?

— Comme tu veux. »

Ma décision fut dès lors prise. Je commençai par retirer ma culotte, en dévoilant une chatte entièrement lisse : je la soignais autant que mes jambes. Le reste de mes vêtements ayant été retiré, j’ouvris ma petite armoire pour chercher ce que j’avais de plus sexy. Je choisis un soutien-gorge en dentelles, avec le conseil de Jenny, mais rien pour cacher mon sexe... à part la plus petite de mes jupes. Elle était vraiment au ras des fesses.

Après une séance de coiffure et de maquillage, nous estimâmes que j’étais prête. Si mon offensive était couronnée de succès, je passerais un certain temps avec Boris, si bien que Jenny décida de quitter la résidence. Nous nous fîmes la bise après être sorties dans le couloir et nous nous séparâmes. J’avançais pieds nus vers l’escalier menant au second étage, comme je l’avais déjà fait maintes fois. Je passai devant les toilettes, une grande pièce mixte avec plusieurs cabines de W.C., où quelques-une de mes aventures sexuelles s’étaient déroulées.

Quand je frappai à la porte de Boris, je me sentis comme une actrice de théâtre entrant en scène : j’avais le trac, l’accueil que me ferait mon « prince charmant » m’étant totalement inconnu. Je regrettai que Jenny ne m’ait pas accompagnée, puisqu’elle m’aurait donné de l’assurance.

« C’est qui ? entendis-je.

C’est moi », répondis-je.

Il y eut un grognement, peut-être parce que ma réponse ne l’avait guère renseignée, puis une chaise racla contre le sol. Quelques secondes après, la porte s’ouvrit. Boris m’apparut auréolé de lumière, parce que les ultimes rayons de lumière entraient dans sa chambre.

« Ah, c’est toi ! fit-il.

— Qu’est-ce que tu es en train de faire ? demandai-je.

— Je travaille.

— Je peux voir ? »

C’était l’instant décisif ! Grâce aux vêtements que je portais, ainsi qu’à la réputation qui me précédait, Boris avait parfaitement compris mes intentions. En bon garçon vertueux, il aurait très bien pu m’envoyer promener, mais il s’écarta pour me laisser entrer.

C’était gagné !

Je me dirigeai vers son bureau, où se trouvait son ordinateur portable, au milieu d’un amoncellement de papiers, et je pris un tabouret pour m’asseoir devant, juste à côté de la chaise de Boris. Debout à côté de la porte de sa chambre, il m’observa avec des yeux brillants, puis il vint s’installer à côté de moi.

« Et toi, tu ne révises pas ? demanda-t-il. Les examens, c’est à la fin du mois.

— Si, bien sûr. Mais là, je viens tout juste de manger. Tu as pris ton dîner, toi ? »

Mon genou gauche touchait le sien. Cela créait une onde de chaleur qui remontait le long de ma cuisse et me mettait le bas-ventre en ébullition. Je commençais à mouiller sérieusement. Le regard de Boris passait de mes jambes à ma poitrine, où les dentelles de mon soutien-gorge étaient parfaitement visibles, ainsi que la vallée séparant mes seins – du 85C si vous voulez vous faire une idée. Quant à moi, je voyais une bosse faire monter la braguette de son pantalon.

« Alors comme ça, tu veux absolument m’ajouter à ton tableau de chasse ? dit-il.

— Oui. »

Sa main droite se posa sur ma cuisse, la caressa un moment et mit à découvert mon sexe enflé et inondé. Je l’aidais dans son exploration en écartant largement les jambes.

« Tu veux avoir ta licence ou devenir une pute ? » demanda-t-il.

Son langage cru m’étonna, venant d’un garçon si bien élevé, mais j’aimais cela ! Me faire traiter de salope, cela ne faisait qu’augmenter mon excitation.

« C’est gratuit, répondis-je. Je veux me faire baiser par toi juste une fois. »

Il enfonça tout à coup deux doigts dans mon vagin, en me faisant presque sauter de mon tabouret. La surprise passée, je le laissai fouiller mon intimité moite avec un plaisir grandissant.

« T’es vraiment une sacrée cochonne, jugea-t-il. Alors tu veux que je te tringle ?

— Oui !

— Tu en baves d’envie. »

Il faisait allusion à ce qui coulait de mon sexe. Le ramonage qu’il effectuait me donnait l’impression que cette substance translucide venait des profondeurs de mon ventre.

Boris était en pleine transfiguration : un violent désir flamboyait dans ses yeux. J’y voyais également du mépris pour la dévergondée que j’étais. Mais oui ! Je voulais être ravalée au rang de chienne ! Il retira ses doigts de mon vagin et me les montra, enduits de mes secrétions.

« Suce-moi ! » ordonna-t-il.

Je refermai ma bouche sur ses doigts pour goûter à ma propre intimité. Ce n’était pas une nouveauté pour moi : me masturber devant un homme puis sucer mes propres doigts, je l’avais déjà fait. On trouvait cela très excitant.

En me regardant faire, Boris eut un sourire mauvais. Cependant, ce qui se produisit ensuite fut une surprise pour moi. Quand il retira sa main de ma bouche, ce fut pour m’assener une gifle violente, qui me fit tourner et ployer sur mon tabouret.

« Salope ! cria-t-il. Je vais te défoncer le cul ! Tu vas voir ça ! »

Il m’empoigna par un bras et me jeta sur son lit, où j’atterris les jambes en l’air. Il se jeta sur moi pour m’arracher ma jupe, puis il défit son pantalon. Quand son caleçon fut baissé, j’eus la surprise de voir apparaître une queue gigantesque et complètement raide, l’une des plus grosses et longues que j’avais eu l’occasion de voir. La douleur cuisante que m’avais causée sa gifle avait fait écho à mon envie d’être humiliée, voire maltraitée. Pourtant, je regardai avec une certaine appréhension l’instrument avec lequel il allait effectuer son défonçage. Je risquais de ne pas en sortir indemne !

Il se mit à genoux devant moi, écarta mes genoux et s’allongea entre eux. Il planta sa pine jusqu’aux couilles dans mon orifice et se mit à le limer à un rythme hallucinant. J’en poussai des cris de démente, mais ce fut bref.

Il se retira de moi et me prit par les hanches pour me retourner. Je m’apprêtai à être prise en levrette, mais après m’avoir claqué plusieurs fois les fesses, je sentis qu’il appuyait son gland sur mon anus. Instinctivement, je criai un « non ! ». Cette pine était trop grosse pour moi. Je ne pouvais me dégager parce qu’il m’avait attrapée par les cheveux.

« Reste tranquille, sale pute ! ordonna-t-il. Je vais t’enculer. »

Il poussa aussitôt son pieu dans ma rondelle, et je poussai un cri cette fois de franche douleur. J’eus une idée de ce qu’était le supplice du pal. Insensible à ma souffrance, peut-être aiguillonnée par elle, il continua à s’enfoncer dans les profondeurs de mon rectum jusqu’à ce que sa monumentale pine y fut logée tout entière. Quand il commença à s’en retirer, des premières étincelles de plaisir me vinrent. Il entreprit alors un nouveau ramonage, cette fois dans mon fondement. Je finis par trouver cela très agréable. J’en avais pourtant sué de douleur !

Ce qu’il faisait ressemblait plus à un viol qu’à une relation consentie, mais je ne pouvais m’en prendre qu’à moi-même. Cette sodomie se poursuivit jusqu’au moment où il se vida en moi. Il me lâcha alors et me laissa m’effondrer sur son lit. C’est alors que je subis la chose la plus humiliante que l’on puisse imaginer : sentir son sperme sortir de mon rectum avec mes propres déjections. J’eus le réflexe de mettre une main à mon cul, pour les retenir, puis je me précipitai dans le coin toilette.

Je quittai la chambre de Boris la queue entre les jambes, si je puis dire. Je m’étais tournée vers lui pour lui demander de me rendre ma jupe, mais le regard qu’il me donna me fit comprendre que je n’étais plus la bienvenue dans sa chambre. J’eus la honte suprême de croiser deux étudiantes que je connaissais bien, de quoi faire jaser toute la faculté dès le lendemain. Au moins, Boris n’avait pas touché à mon top : ma poitrine restait couverte.

Je m’enfermai dans ma chambre, j’achevai le nettoyage de mes parties sexuelles et de mes cuisses, puis je me laissai tomber sur mon lit. La douleur physique et morale que Boris m’avait causée me tarauda durant toute la nuit, mais en même temps, j’étais consciente d’avoir connu l’épisode le plus fantastique de ma vie sexuelle. J’avais pensé que mes limites avaient déjà été poussées très loin, mais ce garçon que j’avais cru si sage m’avait brutalement détrompée.

Le lendemain, je m’abstins d’aller en cours.

À la fin de la journée, Jenny me rendit visite et me demanda si ma tentative de séduction avait été couronnée de succès.

Je décidai de lui donner une bonne opinion de Boris :

« Je me suis complètement trompée à son sujet.

— Ah oui ? Tu as réussi ?

— Non seulement j’ai réussi, mais j’ai découvert que c’est une bête de sexe. »

Jenny roula des yeux écarquillés.

« Et sa bite, elle est comment ?

— Énorme ! Et figure-toi que je me suis fait sodomiser. Ce n’est sûrement pas la première fois qu’il fait ça. Sa copine doit passer de sacrés bons moments avec lui. »

Connaissant Jenny, je savais qu’elle commençait à être excitée, mais j’évitai d’en rajouter. La jeter dans les bras de Boris, cela ne me semblait pas être une bonne chose.

Quand je me décidai à retourner en cours, j’évitai de croiser le regard de ma nouvelle « conquête ». Je n’avais que deux semaines à tenir et je ne le reverrais sans doute plus.

 

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Par Erika Sauw - Communauté : Récits Erotiques X
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