Mercredi 23 novembre 3 23 /11 /Nov 20:45

 

Il faisait nuit, un vent froid balayait le tarmac et des gouttes de pluie rendaient l’asphalte luisant. Les lumières de l’aéroport s’y reflétaient. Dans la voiture, Yannick était à l’abri, bien au chaud sur la banquette arrière, mais rien qu’à l’idée d’en sortir, il commençait à trembler. Sa veste était légère, et dessous, il ne portait guère qu’une chemise. De plus, il était angoissé à l’idée de rencontrer monsieur Zakharis, l’un des plus puissants hommes d’affaires de la Planète, mais aussi l’un des plus secrets. Il n’avait jamais conversé directement avec lui, ayant seulement eu l’un de ses collaborateurs au téléphone. Ainsi, bien sûr, qu’une secrétaire.

Et cet inconnu lui prêtait son avion ! Le jet se trouvait là, dans la pénombre. Il en voyait surtout les hublots d’où de vives lumières s’échappaient. La cabine était certainement luxueuse. Bien qu’il fût très loin de vivre dans la pauvreté, il n’avait vu ce genre d’avion privé qu’en photographie, en croyant qu’il n’y mettrait jamais les pieds. Il ne savait pas très bien pourquoi cet honneur lui revenait à présent.

La porte de la voiture s’ouvrit, laissant une rafale de vent s’y engouffrer immédiatement.

« Le personnel de vol vous attend, monsieur, lui dit le chauffeur. Je vous souhaite un bon voyage.

— Merci. »

Yannick sortit en grelottant. Comme il avait son attaché-case à la main droite, il ne pouvait serrer sa veste et se mit à grelotter. Ce fut presque en courant qu’il atteignait l’escalier. Il en grimpa les marches deux par deux, tandis que des gouttes de pluie lui fouettait le visage. La porte éblouissante lui apparut comme l’entrée du paradis.

La température grimpa en flèche dès qu’il la franchit et une hôtesse de l’air l’accueillit avec un sourire éclatant. C’était une blonde – une vraie, semblait-il – aux yeux verts, qui aurait pu concourir à Miss Monde. Yannick savait que M. Zakharis avait les moyens de s’offrir les plus belles femmes, mais voir une telle splendeur en vrai, cela faisait toujours plus d’effet que de la voir en rêve. Son strict uniforme, composé d’une chemise blanche à manches courtes et d’une jupe bleue, la rendait encore plus sexy qu’une robe de soirée. Yannick nota tout de suite l’ampleur de la poitrine bombant le tissu blanc. Un décolleté, seul détail coquin de ce costume, lui permit de jeter un coup d’œil indiscret dans cette intimité. Il remarqua également le badge de son hôtesse, où était écrit « Lydia ».

« Bonjour monsieur, dit-elle. Bienvenue dans l’avion de monsieur Zakharis. J’espère que vous y passerez un agréable moment.

— Je n’en doute pas ! » répondit Yannick avec un afflux de sang dans son pénis.

Cette femme était faite pour être pelotée. Un parfum enivrant émanait de son corps.

Lydia ferma la porte et fit signe à Yannick de le suivre. Il passa de l’autre côté d’une cloison où il eut la surprise de découvrir trois autres hôtesses assises dans une sorte de salon, qui occupait toute la largeur de la cabine. Il comprenait un canapé et trois grands fauteuils, dans lesquels ces filles étaient affalées dans une attitude fort peu professionnelle.

Des filles, c’était le mot à utiliser : Yannick ne leur donnait pas plus de vingt ans. Celle qui occupait l’un des fauteuils avait vraiment un air de lycéenne. Ses cheveux étaient coiffés en un chignon strict et elle portait la même chemise que Lydia, mais déboutonnée jusqu’à rendre son soutien-gorge visible. Sa jupe très courte offrit au regard stupéfait de Yannick une paire de cuisses bien en chair, à la peau légèrement cuivrée. Tout au contraire de Lydia, cette fille avait les cheveux noirs et les yeux semblables à des perles de nuit. Elle s’appelait Fatima.

Les deux autres filles, assises sur le canapé, étaient aussi affriolantes et court vêtues. De leurs escarpins noirs à leurs minijupes bleues, elles montraient l’intégralité de leurs jambes. C’est tout juste si l’on ne voyait pas leurs entrecuisses.

« Je présente Violaine, Ingrid et Fatima, déclara Lydia. Trois autres hôtesses à votre service.

— Elles ne sont pas un peu jeunes ? demanda Yannick.

— Pourquoi cette question ? Vous n’aimez pas les jeunes filles ?

— Si, mais… je croyais qu’il fallait être un peu plus âgée pour devenir hôtesse de l’air.

— Elles n’en sont pas. Monsieur Zakharis vous les donne pour votre plaisir personnel. Et moi aussi, d’ailleurs.

— Ah bon ?

— Oui. Je vais prendre votre attaché-case pour que vous puissiez vous installer. À moins que vous préfériez faire un tour aux toilettes.

— Euh, non.

— Je peux aussi vous montrer la salle de bains. Vous êtes mouillé.

— Ce n’est rien. Ça va sécher. Il faut chaud ici.

— Donnez-moi aussi votre veste, s’il vous plaît. Vous serez plus à l’aise. »

Yannick ne discuta pas cet ordre et se mit en chemise sous les regards intéressés des trois jeunes hôtesses. L’accueil était vraiment curieux. Elles ne s’étaient pas mises debout mais avaient adopté des attitudes lascives en donnant des regards intéressés à leur passager.

Violaine dénoua sa chevelure brune, faisait chuter un flot de boucles sur ses épaules.

« Prenez place, dit Lydia. L’avion va bientôt décoller. »

Yannick choisit l’un des deux fauteuils vides, à droite de Fatima et tourné vers les deux autres filles. Elles continuaient à le dévisager en souriant.

Le jeune homme était à la fois excité et gêné. Il avait une idée de ce qui allait se produire sans arriver à y croire. Son cœur battait à toute allure et il avait l’impression que la température avait monté jusqu’à trente degrés.

Violaine écarta les jambes de manière à lui montrer son string.

« Voulez-vous voir me voir nue ? demanda-t-elle.

— Qui êtes-vous au juste ? Des prostituées ?

— Non. Nous sommes à vous, tout simplement.

— Àmoi ?

— Oui. Dites-nous ce que vous voulez que nous fassions et nous le ferons. Être servie par des hôtesses nues, cela ne vous intéresse pas ? »

Le pénis de Yannick commençait à se sentir très à l’étroit dans son boxer.

« Monsieur Zakharis fait-il ce cadeau à tout le monde ? s’enquit-il.

— Oui. À tous les hommes qui montent dans son avion.

— Il vous paie pour cela ?

— Nous n’avons pas besoin d’argent.

— Mais vous êtes logées et nourries ?

— Oui, mais comprenez que ce que nous faisons n’est pas un métier. C’est dans notre nature. »

Yannick n’avait pas remarqué l’absence de Lydia mais la vit revenir. Elle était probablement passée dans le cockpit. Avec sa jupe qui s’arrêtait au-dessus de ses genoux, elle continuait à ressembler à une hôtesse de l’air normale, mais cela ne dura pas. Elle tourna le dos à son passager et défit sa jupe pour la faire tomber le long de ses jambes. Tout en se penchant de manière excessive, elle retira sa petite culotte. Médusé, Yannick contempla une longue vulve, dépourvue du moindre poil, surmonté d’un anus logé comme un trésor entre deux fesses adorablement rebondies. Un joyau à explorer avec les doigts.

« C’est plus agréable comme ça, n’est-ce pas ? » fit-elle en faisant face à Yannick.

Sa chemise n’était pas assez longue pour cacher son sexe. Elle en défit quelques boutons pour l’ouvrir jusqu’à son soutien-gorge. Violaine avait écarté son string pour mettre un doigt dans son sexe aussi rasé que celui de Lydia. Elle se doigta puis retira son index et le suça en dardant un regard provocateur sur Yannick.

Lydia s’agenouilla entre les cuisses de son passager.

« Vous n’avez pas besoin d’attacher votre ceinture, lui dit-elle en la défaisant. Il n’y a aucun danger. »

Elle s’attaqua également à la ceinture du pantalon.

« Attendez ! fit Yannick. Je suis là pour ça, ou quoi ?

— Oui. »

Comme il connaissait le milieu des affaires, il savait que de jolies femmes étaient parfois utilisées pour « mettre de l’huile dans les rouages », mais il n’avait jamais connu une telle expérience. Et puis, quatre femmes d’un coup, c’était beaucoup.

« C’est la générosité de monsieur Zakharis ? demanda-t-il.

— Oui. Autant de femmes ou de jeunes filles que vous le voudrez. Nous quatre pour le moment, mais il pourra y en avoir plus.

— Qu’est-ce que vous faites quand vous recevez des passagers qui sont mariés ?

— La même chose.

— Ah oui ?

— Cela reste entre nous » fit Lydia avec un clin d’œil.

Elle caressa le pénis de Yannick à travers son pantalon.

« Je sens que vous êtes d’accord pour commencer, reprit Lydia. Je vais vous sucer. Ça va vous détendre… À moins que vous préfériez qu’une de ces demoiselles le fasse. »

L’avion s’était mis à rouler mais le passager ne s’apercevait de rien. Lydia acheva de défaire la ceinture de son pantalon, lentement comme pour bien goûter à son plaisir. Elle lui retira son boxer, faisant jaillir un phallus rigide qu’elle décalotta.

Fatima avait dénudé son torse. Sa poitrine généreuse et ferme était décorée d’aréoles et de gros mamelons presque noirs. Elle se caressait les seins avec volupté. Ingrid, aux yeux bleus aux cheveux châtains, était intégralement nue. Ses vêtements traînaient pas terre. Toujours assise sur le canapé à côté de Violaine, elle se masturbait également, en écartant outrageusement les cuisses.

Lydia se débarrassa de sa chemise et de son soutien-gorge et revint poser ses genoux devant Yannick, sur l’épaisse moquette. Celui-ci n’avait jamais autant bandé de toute sa vie. Il ne reconnaissait plus sa propre queue, aussi longue que sa main, au gland gonflé comme un ballon. Lydia le prit à la base et en lécha le bout humide, avec d’amples et savants mouvements de langue. Yannick regardait sans rien faire cette sublime créature tenir son épais bâton de chair rigide entre des doigts aux ongles recouverts d’un verni rouge vif, et y porter des lèvres également rouges. Ses seins étaient comme il les avait imaginés : deux demi-globes remplis de promesses. Yannick avait une furieuse envie d’enfoncer les doigts dans cette chair molle.

Pour le moment, ce fut son phallus qui fut enfoncé dans la bouche de Lydia, presque jusqu’aux testicules. Elle s’y prit lentement avec habileté, comme un exercice qu’elle effectuait quotidiennement. Le gland dut pourtant lui arriver dans l’œsophage. Quand elle retira sa bouche, ses lèvres restèrent reliées au pénis par des fils de salive, ce qui était délicieusement dégoûtant.

Yannick était sans voix et déjà sur le point d’expulser son sperme. À sa gauche, une paire de fesses s’approcha de son visage. C’était celles de Fatima.

« Je veux que vous enfonciez un doigt dans mon cul », dit-elle.

Yannick exauça son désir tandis qu’il se faisait cette fois sucer par Violaine. Son index s’enfonça dans l’anus de Fatima en négligeant la vulve, qui attendait pourtant elle aussi d’être pénétrée puisque de la cyprine la lubrifiait. La paire de petites lèvres était basanée du côté externe, mais rouge du côté interne, et juste au-dessus, l’entrée du vagin était visible.

Cependant, Violaine arrêta sa fellation et le pénis de Yannick se trouva pris en tenaille entre les bouches d’Ingrid et de Lydia, qui se mirent à le sucer chacune de leur côté, tout en le serrant à la base. La seconde gratifia également les testicules de son passager de quelques coups de langue et mit un doigt fureteur dans son anus. Violaine s’était retirée et regardait la scène debout, avec deux doigts dans son vagin et une main sur son sein droit.

Le corps de Yannick commença à se crisper et il grogna. Il dut retirer son index du rectum de Fatima. Deux beautés dénudées pour s’occuper de son sexe et même de son cul ! Le point de non retour était arrivé. Un geyser de sperme jaillit de son pénis en maculant les visages d’Ingrid et de Lydia. Comme l’éruption se fit en plusieurs étapes, elles eurent le temps d’en attraper quelques gouttes avec la langue. Leurs bouches se rejoignirent sur le gland, qu’elles léchèrent. Ce fut une sorte de baiser imbibé de foutre. Les deux femmes finirent d’ailleurs par s’embrasser ouvertement.

Yannick avait fait son décollage avant l’heure et son orgasme tardait à retomber. Il restait immobile, la respiration accélérée et rauque.

« Avouez que c’est plus agréable comme ça », dit Lydia en s’essuyant le visage avec la main.

Le passager resta silencieux.

Les hôtesses étaient à présent toutes debout, nues mais toujours montées sur leurs escarpins.

« L’avion se trouve sur la piste, annonça Lydia sur un ton un peu plus professionnel. Nous allons rester assises pendant le décollage, mais en continuant à vous tenir compagnie. »

Ingrid essuya une goutte de sperme qui s’accrochait à son sourcil gauche.

Réagissant enfin, Yannick remonta son boxer pour y ranger ses organes génitaux, puis son pantalon.

« Est-ce que j’ai le temps de me laver ? dit-il.

— Pourquoi ? répondit Lydia.

— Parce que… J’ai mis mon doigt dans le…

— On ne se salit pas en fouillant mon cul, déclara fièrement Fatima. Je suis pure.

— Pure ?

— Respirez votre doigt. »

Yannick obéit et constata que son index avait une odeur… impossible à définir mais plutôt agréable. C’était une sorte de parfum.

« Les hôtesses de monsieur Zakharis, c’est de la grande qualité, dit Violaine. Tenez, léchez-moi. »

Elle mit son postérieur contre le visage de Yannick, les mains posées sur ses fesses de manière à dilater sa vulve et son anus. Le passager les gratifia d’un coup de langue et constata une nouvelle fois que ça n’avait rien de désagréable. Ces femmes pouvaient être goûtées de partout.

« Asseyons-nous », dit Lydia.

Elle s’installa sur le canapé, entre Violaine et Ingrid. Fatima retourna s’asseoir dans son fauteuil. Leurs chemises, leurs jupes, leurs soutiens-gorges et leurs culottes continuaient à traîner sur la moquette. Lydia s’essuya cependant le visage, avec un mouchoir cette fois, et se refit un maquillage. Son rouge à lèvres, dont une partie était restée sur la queue de Yannick, fut refait.

Les moteurs de l’avion, tournant jusqu’alors au ralenti, furent lancés à pleine vitesse. Il fut accéléré dans cette nuit froide, que Yannick ne voyait désormais plus que par les hublots. Il était passé dans un autre monde, celui d’un plaisir sexuel complètement débridé, et il ne pensait plus à rien d’autre. Tandis que le jet s’élançait dans les airs, son regard passait d’une hôtesse à l’autre, sur leurs visages angéliques dissimulant des âmes de cochonnes, leurs seins, leurs ventres, leurs cuisses et ce qu’il pouvait voir de leurs sexes. Son érection commençait à revenir, alors que dans les premières minutes du décollage, il était ordinairement angoissé. Les vibrations des avions l’inquiétaient toujours. Il fut tenté de remettre sa ceinture de sécurité mais il resta comme les hôtesses.

« Nous nous dirigeons droit vers l’est, annonça Lydia. Patiente un peu et tu verras le soleil se lever.

— Combien de temps durera le vol ?

— Bien assez de temps pour que tu puisses profiter de nous, répondit Lydia.

— Je ne sais même pas où je vais.

— Ici, fit Lydia en ouvrant ses cuisses pour lui indiquant l’intérieur de son vagin.

— Ou dans mon cul, ajouta Fatima, si tu aimes sodomiser une fille.

— Est-ce que tu le fais souvent ? s’enquit Violaine.

— Non.

— Je suis sûre que tu aimeras faire cela avec nous, déclara Ingrid.

— Quels sont tes fantasmes ? » questionna Violaine.

Yannick réfléchit un instant. La première chose qu’il trouva, ce furent des images de pornographie, avec de la double pénétration et des éjaculations faciales. Il aimait voir une femme se faire arroser de sperme par une dizaine de bites, mais dans cet avion, il y avait un homme pour quatre femmes.

« Est-ce que l’une de vous pourra remettre son uniforme ? finit-il par demander. J’ai envie de…

— Baiser une hôtesse de l’air, poursuivit Lydia. C’est noté.

— Mettez une jupe assez longue, pour que ça fasse vrai.

— D’accord. Qui veux-tu défoncer ? De toute façon, nous pouvons toutes y passer l’une après l’autre.

— Fatima ? » demanda Yannick en se tournant elle.

Elle lui donna un sourire.

« Pas dans ton cul mais dans ton vagin, précisa-t-il. Tu aimes être sodomisée ?

— Oui, mais je suis à ton service, alors je te donnerai ma chatte. »

 

Ils poursuivirent leur discussion sur le sexe pendant que l’avion gagnait de l’altitude. Quand il eut atteint sa vitesse de croisière, Yannick recommença à bander. Minuit approchait mais il n’était pas fatigué. Il s’était attaché à ses quatre compagnes et comptait profiter d’elles autant qu’il le pouvait. Au diable tous les scrupules ! Il ne pensait plus qu’à boucher les orifices de toutes ces filles et se serait volontiers débraguetté immédiatement, mais il tenait au petit jeu de rôles qu’il avait décidé.

Les quatre femmes ramassèrent leurs habits et les remirent. Fatima partit à l’arrière de l’avion pour en revenir avec une jupe semblable à celle de Lydia. Elle s’était refaite une coiffure et un maquillage. Elle aurait ressemblé à une vraie hôtesse de l’air si elle n’avait pas eu l’air aussi jeune.

« Voulez-vous prendre un apéritif ? demanda-t-elle sur un ton très policé. Je vous servirai ensuite le repas.

— Oui, je veux bien.

— Je dois vous demander de vous asseoir à l’arrière. Vous aurez un fauteuil avec une table. »

Yannick se leva pour suivre Fatima, qui marchait comme un mannequin sur ses hauts talons, en ondulant des hanches. Spectacle savoureux et prometteur de plus hauts plaisirs ! Son passager devait se retenir de lui donner une tape sur les fesses.

Il s’assit dans un fauteuil avec un hublot à sa gauche et Fatima s’éclipsa de nouveau, après lui avoir demandé ce qu’il désirait boire. À son retour, elle portait un plateau qu’elle posa devant Yannick en se penchant de manière exagéré. C’était évidemment pour lui donner une vue sur l’échancrure de sa chemise.

Son passager, déjà en érection, ne put tenir une seconde de plus. Il l’attrapa par les fesses et la plaqua sur la table en renversant le plateau. Il passa ensuite derrière elle pour lui relever brutalement sa jupe et abaisser sa jolie petite culotte. Des fesses qu’il avait déjà vues, mais qu’il eut l’impression de redécouvrir, lui apparurent avec un sexe un peu saillant. Il sortit son pénis de son pantalon et le planta entre les grandes lèvres, mais quand il le ressortit, il eut la surprise d’y voir du sang.

« Qu’est-ce que c’est ? s’exclama-t-il.

— Tu viens de me déflorer, expliqua Fatima.

— Quoi ?

— J’étais vierge. »

Yannick se figea, la bite toujours en érection.

« Nous sommes toutes vierges, poursuivit Fatima.

— Qu’est-ce que ça signifie ? »

La jeune fille se redressa au lieu de répondre, avec un sourire très coquin et même un peu sadique. Elle se débarrassa de sa jupe et de sa culotte, puis se remit toute nue. Elle retira même ses escarpins.

« Cela signifie que tu es au paradis, dit-elle.

— Hein ?

— Tu es mort tu es au paradis. Tu n’as jamais entendu parler des soixante-douze vierges ? »

Yannick était tellement médusé que son sexe se recourbait vers le bas.

Par le hublot, il voyait que le ciel bleuissait. L’aube approchait.

« Soixante-douze ? bredouilla-t-il. Vous n’êtes pas soixante-douze !

— Il y en a d’autres. Viens. »

Fatima prit Yannick par la main. Elle le fit repasser dans le « salon », où étaient restées Lydia, Violaine et Ingrid, qui étaient de nouveau nues. Leurs habits ne se voyaient nulle part et elles s’étaient également privées de chaussures.

Yannick passa devant elles sans s’arrêter. Il était toujours habillé de la tête aux pieds, avec une cravate nouée autour du cou mais avec le sexe sortant de son pantalon. Fatima le conduisit à une porte qu’elle ouvrit. Ce que le passager vit, ce ne fut pas un cockpit avec des pilotes, mais une grande salle baignée de lumière, où étaient étalés des tapis et des coussins. Des femmes nues, très jeunes et toutes dotées d’un corps parfait, étaient en train de s’y prélasser.

« C’est quoi ça ? s’écria Yannick.

— C’est ton harem. »

Il explora la salle du regard. Certaines jeunes filles remarquèrent sa présence et lui firent un signe de la main pour lui souhaiter la bienvenue.

« Où est monsieur Zakharis ? demanda-t-il.

— Il est partout, répondit Fatima. C’est notre créateur. »

 

tumblr_oe718oHrsQ1reb4ygo1_500.jpg

Par Erika Sauw - Communauté : Récits Erotiques X
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Avril 2024
L M M J V S D
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30          
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés