Mercredi 19 novembre 3 19 /11 /Nov 17:39

Cet extrait n'est érotique que parce que les femmes sont dévêtues. Mais lisez-le quand même, pour vous amuser un peu.

 

La tâche [Kaenima] ne consistait qu'à choisir les ingrédients, les doser, les couper ou les verser s’ils étaient liquides. La cuisson se faisait dans une sorte de four automatique, qui se chargeait de tout mélanger s’il le fallait. On pouvait regarder l’opération derrière la vitre. Cela évitait tout risque de brûlure. Puisque ces dames cuisinaient nues et que leur peau n’était pas ignifugée, les projections d’huile devaient être évitées.

Comme promis, Mathieu put s’asseoir à table, quoiqu’un peu à l’écart, et c’était lui qui était servi le dernier. En fait, on lui donnait les restes. Dans son assiette, il dénicha une substance qui ressemblait à de la viande et qui en avait le goût.

« Ça vient de quel animal ? s’enquit-il.

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— Son nom ne te dirait rien. Il faudrait que tu le voies.

— Vous le chassez ou vous l’élevez ?

— Nous le chassons. Nous mangeons plus souvent des poissons, mais aujourd’hui, le menu est spécial. »

La mère et ses deux filles déposèrent leurs fourchettes pour regarder Mathieu tous en même temps. Il fut heureux de focaliser l’attention de ces gracieuses créatures. À première vue, il n’y avait pas beaucoup de différence entre Waeraga, la cadette, et Djaena. Sa poitrine était aussi développée. Une jolie paire de lèvres pointait entre ses cuisses. Elle avait seulement un tempérament beaucoup plus réservé, mais cela même excitait le désir du jeune homme. Il se demanda quand il aurait la possibilité de pousser son pénis dans sa chair juvénile.

Le soleil était en train de se coucher mais la chaleur ne diminuait pas de manière sensible. Une lumière ambrée tombait d’une lampe au plafond, faiblement comme si les Pictorisiennes craignaient d’être éblouies. Elle créait une ambiance feutrée et conférait une teinte chaude à la peau immaculée des trois femmes.

Mathieu passait un moment d’autant plus agréable qu’aucun animal indésirable ne venait troubler sa quiétude. Nul moustique ne bourdonna à ses oreilles et les peaux de ses hôtesses ne portait pas de trace de piqûre. Malgré son climat très chaud, ce lieu ne ressemblait pas

« Il n’y a pas d’insecte ? demanda-t-il.

— Pourquoi ? Tu veux en manger ? fit Djeana.

— Non non !

— Il y en a dans la forêt, mais pas ici, répondit Keanima. Les villes en sont protégées.

— Nos mâles en attrapent qui sont gros comme ça, reprit Djaena en mettant vingt bons centimètres entre ses mains. Et ils les mangent crus. »

La seule évocation de cette coutume alimentaire faillit faire rendre son repas à Mathieu. La jeune fille enfonça le clou :

« Si tu le veux, on pourra t’en trouver.

— Je crois que ce n’est pas nécessaire, répondit Mathieu. Ce repas était très bon. Qu’est-ce qu’on fait après ? On regarde un film ?

— Tu vas d’abord mettre la vaisselle dans cette machine. Ensuite, je pense que nous allons faire un petit tour dehors. Je sors souvent le soir, avant de dormir. »

 

Par Erika Sauw
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Vendredi 14 novembre 5 14 /11 /Nov 20:37

Suite des aventures sexuelles du Terrien Mathieu parmi les femmes de Gamma Pictoris. Cela se passe cette fois avec Djeana, la fille aînée de Kaenima, dont le sexe a été décrit dans un article précédent.

 

[...] Djaena éteignit le téléviseur car elle avait vu que le pénis de Mathieu avait retrouvé sa dureté, même si ce n’était pas pour la bonne raison. Les images malsaines de ces femmes mutilées continuaient à hanter l’esprit de ce dernier. Cependant, la jeune fille commença à se frotter contre lui, se cramponnant à son énorme sexe, qui lui montait plus haut que le nombril, grâce à ses petits doigts. Il l’attira à lui en posant la main sur son épaule, avec une tendresse dont il n’était pas coutumier. Jusqu’alors, il n’avait considéré les femmes que comme des trous à pénétrer, enveloppés d’une chair qui servait à allumer son désir. Se retrouver dominé par ces sublimes créatures lui remettait les idées en place. Il se disait qu’il avait tout intérêt à être ami, et pas seulement amant, avec Djaena.
Ils se trouvaient sur un canapé de cuir beige, si profond que les pieds ne pouvaient toucher le sol quand on s’asseyait dessus. On pouvait garder les jambes droites ou les replier, et quand elles le faisaient, la mère et ses deux filles avaient la manie d’écarter les cuisses et de fourrer un doigt dans leur vagin. Djeana l’avait fait en regardant la télévision. En observant son orifice, Mathieu avait constaté qu’il était légèrement rosi, or la couleur était une manière très sûre de mesurer l’excitation d’une femme.
La jeune fille se mit à genoux au-dessus de Mathieu, afin de le chevaucher, en posant le gland du jeune homme sur sa fente.
« Tu n’aimes pas les préliminaires ? demanda-t-il.
— Si, mais là, j’ai trop envie. »
Djaena s’abaissa. Ses petites lèvres s’écartèrent pour avaler le phallus. Mathieu vérifia tout de suite qu’elle était plus étroite que sa mère, si bien que la pénétration lui tira sur la peau en lui faisant un peu mal. La jeune fille, en revanche, se mit aussitôt à pousser des soupirs de contentement, son visage tourné vers le plafond avec une expression extatique. Elle arriva à absorber complètement le membre viril.
Ça doit lui monter jusqu’à l’estomac ! se dit Mathieu.
Mais à présent qu’ils étaient bien imbriqués l’un dans l’autre, il se sentit parfaitement à l’aise, et les premiers mouvements de Djaena eurent des échos jouissifs dans son corps. Les mains posées sur ses épaules, celle-ci se mit à se relever et à se rabaisser pour frotter ses parois intimes et ruisselantes contre le pieu de son amant. Ce dernier faisait courir ses mains de ses cuisses à ses seins, en passant par sa chute de reins. En y regardant de plus près, il eut l’impression que les mamelons de Djeana prenaient une teinte plus sombre, signe d’excitation comparable au durcissement des seins que connaissaient les femmes de la Terre. Elle appréciait beaucoup d’être caressée à cet endroit.
Elle augmenta peu à peu son rythme. Les deux corps vibrèrent en cadence, avec une intensité croissante. Mathieu se pouvait plus caresser sa cavalière, car sa jouissance lui avait fait perdre le contrôle de ses mains. Il était comme aspiré par les assauts de Djaena, laquelle était en train de se déchaîner. Des jurons dont il ne comprenait même pas le sens lui sortaient de la bouche. Pour une fille de douze ans, c’était plutôt pas mal... Enfin, de cinquante-sept années pictorisiennes.

Comme il ne contrôlaient rien, il ne put empêcher une fontaine de sperme d’inonder le ventre de Djaena, lors d’un orgasme inouï qui le fit crier. Son amante poursuivit ses mouvements sans une seule seconde de pause, poursuivie par une sorte de rage érotique. Le ramonage qu’elle effectuait tirait de son sexe un épais mélange de sperme et de secrétions féminines qui coulait sur les organes génitaux de Mathieu avant de tomber sur le canapé.
Enfin, elle s’arrêta, se sépara de son amant et descendit au sol, agenouillée entre les cuisses du jeune homme, pour reprendre en main son pénis et en lécher le gland. Ce n’était pas une véritable fellation, mais une petite démonstration d’amour pour cet organe qui venait de lui apporter de si fortes sensations.
Mathieu était resté affalé sur ce grand canapé. Il avait seulement bougé les bras, mais après un tel orgasme, il se sentait vidé de tout – pas seulement de son sperme.
« Tu aimes sucer ? demanda Mathieu.
— Sucer quoi ?
— Ben... Les bites.
— Je pense savoir ce que tu veux dire. Maman m’a montré des films que vous regardez sur la Terre. Les femmes sucent les pénis des hommes et se font éjaculer sur le visage.
— C’est ça. Tu aimes ? 22
— Je ne vois pas pourquoi j’aimerais. Ça ne m’apporterait rien.
— Ça fait plaisir à l’homme.
— Mais c’est mon plaisir qui compte, ce n’est pas le tien. »
Djaena se mit debout et regarda Mathieu d’une manière qui lui donna un frisson glacé. Dans ses yeux, il crut voir des éclats de perversité.
« Tu es très à l’aise sur ce canapé, mais je vais te demander de t’agenouiller devant moi et de me lécher le sexe. »

Par Erika Sauw
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Mardi 11 novembre 2 11 /11 /Nov 20:45

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Quand arrivent les deniers rayons du soleil, le souvenir de tes caresses me revient et me met le coeur en émoi. Je revois ton beau visage et ta voix profonde qui procurait par ses seules vibrations l'ivresse des sens. Tu te penchais sur moi pour glisser dans mon oreille des mots d'amours et d'autres plus crus. Tes mains douces mais conquérantes effleuraient mes cuisses et soulevaient ma robe. Je voyais le désir grandir en toi et je déposais mon corps dans tes bras comme une offrande à un dieu. Après l'union de nos corps et de nos âmes, tu t'endormais à mes côtés et je contemplais les courbes de ton corps épuisé par l'amour.

 

Mais à présent, tu n'es plus là et c'est le sentiment de ton absence qui m'assaille quand la nuit s'annonce.

Par Erika Sauw
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Vendredi 7 novembre 5 07 /11 /Nov 21:53

Petite extrait de mon nouveau texte. Le sexe d'une extraterrestre, presque semblable à un humaine, y décrit en détail. Pour les amateurs d'exotisme

 

Kaenima retira ses habits et sa ceinture pour les mettre sur une chaise, mais elle garda son inquiétant bracelet. Elle écarta sa fille pour tirer Mathieu par son sexe et le conduire vers sa chambre, où se trouvait un grand lit au matelas moelleux et dépourvu de drap. Elle s’allongea dessus, les jambes écartées afin de présenter sa vulve dans toute sa splendeur. Le jeune homme s’agenouilla devant cet objet de tentation, qui n’était à première vue pas différent de celui d’une humaine. L’orifice était protégé par des petites lèvres qui s’avérèrent trempées, à la belle couleur rose. On y devinait de minuscules veines gorgées de sang. Mathieu les écarta et enfonça un doigt dans le vagin, faisant tressaillir son amante. Il explora son intimité, puis en regardant plus attentivement le rebord de ce puits, il ne trouva pas de clitoris.

« Vous n’avez pas de petit bouton ici ? dit-il.

— Nous avons quelque chose comme le clitoris des humaines, mais il est entièrement interne, répondit Keanima. C’est pourquoi nous ne pouvons jouir que par pénétration.

— C’est plutôt bien pour moi.

— Mes lèvres sont tout de même très sensibles. Lèche-les. »

Mathieu obéit à sa maîtresse sans se faire prier. Le sexe de Kaenima était dépourvu du moindre poil, nullement parce qu’elle s’était rasée, mais parce qu’il était constitué ainsi. Ceux des deux filles, venues dans la chambre pour assister à la scène, étaient semblables. Assise sur le lit à côté de sa mère, Djaena maintenait deux doigts dans son vagin tout en se caressant un sein. Les observations de Mathieu l’amenèrent à la conclusion que lorsqu’une femme de cette planète était excitée, son sexe gonflait et rougissait de manière ostensible.Millis-A-9.jpg

Par Erika Sauw
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Lundi 27 octobre 1 27 /10 /Oct 20:59

 

« Je vais t’expliquer pourquoi il me faut des filles très douées, déclara-t-il. Ce cabaret a été créé dans un but précis, bien qu’il ait d’autres utilisations. Nous devons trouver des clients soit parmi les entreprises privées, soit parmi les collectivités publiques, et pour cela, le meilleur moyen est d’inviter un de leurs représentants ici. On leur offre un grand moment de détente, on les fait boire, ils peuvent bavarder et mater quelques-unes des plus belles filles du monde, puis coucher avec elles s’ils le veulent. Après cela, comme ils sont sur un petit nuage, ils signent. Chaque contrat rapporte des centaines de milliers d’euros à la société S***, alors tu comprendras que nous puissions être généreux. Tu seras payée autant qu’un ingénieur en début de carrière. Et cela, sans compter quelques avantages en nature. Nous pouvons te fournir un appartement où tu recevras les clients. Est-ce que cette offre t’intéresse ?

Oui, monsieur.

Oui, Dany. Nous serons généreux avec toi, mais nous voulons des résultats. »

Ayant fortement appuyé sur le dernier mot, Dany se tut et dévisagea Djamila avec un regard d’acier. Il avait une manière unique d’allier la légèreté à l’autorité.

« Je vous le promets, répondit Djamila.

Excellent ! Fais-les bander et jouir comme jamais leurs épouses ne l’ont fait. Ce sont tous des pères de famille, bien sûr, mais en chaque homme, un cochon sommeille. Ta tâche est de le réveiller. Si tu t’y prends correctement, personne ne te résistera. Le milieu des affaires a toujours fonctionné cela, surtout dans le BTP. Il y a des entreprises qui font appel à des escort girls. Chez nous, nous trouvons préférable d’avoir nos propres filles, comme cela, il n’y a pas de mauvaise surprise. Nous maîtrisons tout de A à Z. Et pour toi aussi, c’est un avantage. As-tu déjà pensé à travaillé comme escort ?

Oui.

En te débrouillant bien, tu gagnerais peut-être plus, mais ici, tu sais à qui tu as affaire. Les clients te sont apportés. Il te reste à faire ton travail et à recevoir ta paie. Ce n’est pas sans raison que je t’ai parlé du prochain congrès des maires de France. Àcette occasion, nous allons inviter beaucoup de monde, et cela fera autant de contrats à signer.

Je ferai le nécessaire.

Tu vas maintenant te montrer ton contrat de travail, et puis... »

En voyant Djamila écarter les cuisses et mettre une main sur sa vulve, Dany s’interrompit.

« C’est mon sperme ? fit-il.

Oui.

Tu peux salir ton siège, il ne faut pas t’inquiéter. Dans ce bureau, ça gicle tous les jours. Je juge ces exercices indispensables pour se maintenir en forme. »

Il décrocha un téléphone posé au coin de son bureau. Djamila l’entendit dire : « Mélina, tu peux venir ? ». Il ouvrit ensuite un tiroir, prit des papiers agrafés et les tendit à sa nouvelle employée, avec un stylo.

« Voilà le contrat que je te propose, lui dit-il. Prends un moment pour le lire et mets-y ta signature. Pour des raisons administratives, je considère que tu travailles ici à partir de ce midi, mais ça ne changera pas ton salaire. Si tu veux être payée, donne-moi un RIB. »

Djamila essuya sa main en léchant le sperme qui s’était échappé de son vagin, afin de prendre dans son sac le document demandé. Elle se pencha ensuite pour lire son contrat d’embauche, sans y toucher. Dany regarda ses seins s’approcher du bureau avec un sourire coquin.

Quelqu’un entra dans la pièce sans frapper. C’était une jeune femme entièrement nue, perchée sur des sandales du soir à semelles minces et talons aiguilles, aussi grande que Djamila et à la peau blanche. Sa chevelure était teinte en blond. Ses seins étaient un peu plus petits que ceux de sa collègue, mais ils n’en étaient pas moins appétissants à souhait, tressautant à chaque pas.

« Djamila, je te présente Mélina, ta tutrice, déclara Dany. Elle est française. Mélina, voici Djamila, ta nouvelle consœur. Prends bien soin d’elle. Elle est précieuse.

Je serai comme une mère. »

Mélina se pencha sur Djamila pour l’embrasser sur les deux joues. Cette dernière termina sa lecture du contrat et en signa les deux exemplaires.

« Emporte tes affaires, lui dit Mélina. Je vais te conduire au vestiaire. »tumblr_mhcyeiF80h1qbh1xjo1_500.jpg

Par Erika Sauw
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