Mercredi 31 décembre 3 31 /12 /Déc 17:08

 

Suite de mon nouveau roman. Edwige a accepté de se rendre, vêtue d'une robe sans sous-vêtements, à une soirée coquine dans la villa de Denis Stevenot.

 

 

Devant la maison de Denis, j’eus la surprise de trouver deux voitures. Une soirée intime avec des invités, à quoi cela pouvait bien ressembler ? L’un de ces véhicules était une Mercedes de gamme moyenne, l’autre était comparable au mien, sans doute acheté d’occasion. Cette fois, je dus sonner à la porte.

Denis m’ouvrit, vêtu comme dans l’après-midi. Un sourire de satisfaction fendit son visage.

« Je vois que tu t’es fait une beauté, constata-t-il.

— Oui », marmonnai-je.

Il se pencha sur moi pour déposer un gros baiser sur une joue, qui se répercuta en une profonde secousse dans ma poitrine, puis il me guida vers le salon en posant une main sur mon dos. Un couple était assis dans l’un des fauteuils.

« Je te présente Ileana et Bruno, déclara-t-il. Ce sont mes invités de ce soir. »

Et en se tournant vers eux :

« Edwige, ma nouvelle compagne. »

Il me poussa vers ses invités surprises. Bruno devait être un homme d’une trentaine d’années, au visage agréable et jovial, pourvu d’une chevelure noire. Quant à Ileana, c’était une blonde incendiaire aux jambes bronzées et interminables, terminées par des sandales aux lanières dorées et aux talons d’une dizaine de centimètres. Sa robe aussi petite qu’un mouchoir recouvrait à peine des seins semblables à des ballons, dont de gros mamelons soulevaient le tissu. C’était une bombe sexuelle dans toute sa splendeur.

Bruno se leva immédiatement pour me donner un baiser qui tomba pratiquement sur ma bouche, tout en posant une main sur mon épaule dénudée. Je crus qu’il allait m’attirer à lui.

« Tu es charmante, Edwige, me complimenta-t-il. Denis a du goût. Je sens que nous allons passer une excellente soirée. »

Je fus tétanisée, en comprenant dans quoi j’avais mis les pieds.

« Tu aussi, tu fais pute ? me demanda Ileana avec un accent étranger à couper au couteau.

— Pas exactement, répondit Denis. Je suis son client, mais pas dans ce sens. Elle va refaire ma maison.

— Architecte ?

— Oui, c’est cela.

— Oh ! … Mais belle femme. Elle a déjà baisé ? Elle aime avaler sperme ?

— Je ne le sais pas encore, répondit Denis. Cependant, je peux t’assurer qu’elle est très chaude. Viens, ma chérie. »

Denis me prit par la main et me fit asseoir en face de ce couple manifestement improvisé. Ileana écarta les jambes pour nous montrer une vulve aux lèvres épaisses et fripées, tandis que Bruno lui caressait la cuisse gauche.

« Ileana vient de Roumanie, expliqua-t-il. Elle travaille comme escort. Nous allons la regarder faire l’amour avec Bruno. Cela va nous motiver. »

Je restai muette et serrai les cuisses.

« Je t’ai préparé un mojito, poursuivit-il. Est-ce que cela te convient ?

— Oui.

— Je te l’apporte. »

Denis se leva pour rejoindre le bar. Il y avait aussi quelques friandises posées sur la table, à grignoter, mais je me doutai que personne n’y toucherait. La main droite de Bruno était occupée par tout autre chose. Elle caressait à présent le sexe de sa compagne, bien que son regard fût fixé sur moi.

« Pourquoi tu n’ouvres pas les jambes ? me demanda-t-il. Il faut se mettre à l’aise. Tiens, regarde. »

Il se leva, défit sa braguette et en sortit un phallus bien plus long que ma propre main, qu’il décalotta. Son gland humide et rouge réfléchissait les lumières du salon. Il se rassit et laissa Ileana s’emparer de son membre.

« Ma bite te plaît ? demanda-t-il.

— Oui.

— Toi, tu as des jambes superbes et je parie qu’entre elles, il y a une chatte à croquer... Allons, ne fais pas la timide ! »

Tandis qu’elle continuait à serrer le phallus de Bruno dans sa main gauche, elle écarta encore plus les jambes pour insérer deux doigts dans son vagin. Je pus distinguer son clitoris.

Denis revint avec un verre qu’il posa devant moi. Il se rassit ensuite à côté de moi. Avec un mélange de tendresse et d’autorité, il ouvrit mes cuisses.

« Waouh ! s’exclama Bruno et dardant son regard vers mon intimité.

— Elle mouille, remarqua Ileana.

— Je vous l’avais dit, déclara Denis. Cet après-midi, elle s’est baignée nue dans ma piscine et s’est masturbée. »

À son tour, il ouvrit sa braguette. En découvrant son outil de copulation, je compris pourquoi il avait du mal à cacher ses érections. Ses dimensions ne le lui permettaient pas, et il était d’une dureté de brique. Je jugeai cependant qu’il pouvait rentrer dans mon vagin sans y causer de dégât. Ce fut à mon tour de poser la main sur sa virilité, avec fascination.

« Tu vois, tu es une cochonne, murmura-t-il.

— Je ne sais pas si l’on peut dire cela.

— Ces mots servent à te désinhiber. Regarde comment Ileana va sucer Bruno. »

La Roumaine s’agenouilla sur le canapé sans retirer ses sandales, mais en faisant glisser les bretelles de sa robe pour dégager ses seins. Elle avait des mamelons parfaits, ronds comme des grains de raisins secs. Pendant qu’elle se mettait en position, Bruno se débarrassait de son pantalon et de son slip. Ses testicules étaient enveloppées dans de volumineuses bourses totalement épilées.

Ileana se pencha sur son sexe pour en avaler le gland, ses lèvres arrondies. Comme elle ne s’était pas placée devant Bruno mais à sa droite, je pouvais regarder tout ce qu’elle faisait. On voyait que c’était une professionnelle de la fellation. Elle suça et masturba vigoureusement le pénis de son client, tandis que celui-ci rejetait la tête en arrière, sur le dossier du canapé, en marmonnant des paroles inintelligibles ponctuées par des « Ah ! » et des « Oh ! ».

J’observais la scène à la fois éberluée et excitée, la main toujours refermée sur le pénis de Denis.

« Tu pourras me sucer comme cela ? s’enquit-il.

Je ne sais pas.

— C’était juste une question. Je ne te demande pas de le faire. Le rôle d’Ileana est de donner du plaisir à Bruno. Elle est payée pour ça.

— Et moi, qu’est-ce que je devrai faire ?

— Ce qu’il te plaira. »

Bruno libéra son sexe, se mit debout, retira son tee-shirt et resta immobile, son phallus dressé. Sans enlever sa robe, réduite à une ceinture froissée autour de sa taille, Ileana se plaça à genoux devant lui et recommença sa fellation, d’une manière différente. Cette fois, elle avalait beaucoup plus profondément le phallus de son client, en procédant par à-coups. Vu la longueur de l’engin, je n’avais pas cru que ce fût possible. Il devait lui rentrer dans le fond de la gorge en menaçant de l’étouffer, mais elle savait s’y prendre.

« On dirait qu’elle fait ça tous les jours, ne puis-je m’empêcher de dire.

— C’est presque la vérité. Lâche ma bite, s’il te plaît. Nous allons nous déshabiller. »

Denis fit lui-même glisser ma robe sur mon buste, puis me poussa à me mettre debout pour la faire tomber à terre. Je le sentis me caresser les fesses, puis enlever ses habits. Il referma ses mains sur mon ventre pour me ramener vers lui. Je retrouvai assise contre lui, son phallus pressé contre le bas de mon dos, nos jambes emmêlées. Les siennes étaient légèrement poilues. Je les caressai amoureusement.

À présent, Bruno avait pris la tête d’Ileana entre ses mains pour enfoncer son sexe dans la bouche et l’en retirer à un rythme qui allait en s’accélérant. Il s’arrêta, se masturba pendant quelques secondes, puis un jet de sperme fusa et s’étala sur le visage de la jeune femme. Il y en eut un deuxième, puis un troisième plus faible. Ileana avait de la semence partout, dans les yeux, sur le nez, autour de la bouche. Des stalactites fluides se formèrent sous son menton et tombèrent sur ses seins. Sans être gênée par cette souillure, elle prit la verge de Bruno pour la sucer encore et avaler quelques gouttes de cette substance visqueuse. Elle lui lécha consciencieusement le gland, avant de passer la main sur son visage puis de la nettoyer avec sa langue.

Ce ne fut qu’un lavage rapide. Elle se redressa en souriant. Sa robe tomba d’elle-même, si bien que nous fûmes tous les quatre entièrement nus. Le pénis de Denis conservait sa rigidité alors que celui de Bruno avait légèrement fléchi. La quantité de sperme qui en était sorti continuait à m’étonner.

Le visage toujours badigeonné, Ileana me dit :

« Tu fais comme ça à Denis ?

— Elle fait ce qu’elle veut, répondit-il à ma place.

— Mais si tu veux Denis t’aimer, tu dois sucer comme ça. Les hommes adorent. »

Elle caressa ses seins enduits de semence.

« Tu vois ? continua-t-elle. Le sperme sur ta figure et tes seins, ça fait plaisir à ton homme.

— Les conseils d’Ileana sont bons, appuya Bruno. Je te garantis que tu vas rendre Denis fou de toi si tu fais ce qu’elle te dit. Le sexe, c’est ce qui soude un couple.

— L’amour aussi, opinai-je.

— Le sexe a son importance.

— Oui, enfin... Je me suis aussi fait éjaculer dessus et mon dernier copain m’a quand même quittée.

— C’était un con.

— Ça veut dire que faire des fellations, ça ne suffit pas.

— Bon, on fait une pause, décréta Denis. Edwige, tu n’avais pas encore bu ton mojito. »

Ileana quitta la salle pendant que Bruno se laissait tomber sur son canapé. Il laissa ses cuisses ouvertes comme pour me montrer fièrement ses bijoux de famille, mais ce n’était pas la seule chose qui m’intéressait en lui. Il avait un torse bien dessiné à la peau bronzée, alors que ses cuisses étaient plus claires. Je le trouvai désirable, même s’il ne valait pas Denis. Ce dernier s’était constitué un bronzage uniforme en s’allongeant sur les chaises de sa piscine. Même son pénis avait une teinte sombre.

Par Erika Sauw - Communauté : Récits Erotiques X
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