Dimanche 4 janvier 7 04 /01 /Jan 16:29

 

« Tu as beaucoup d’amants ? s’enquit Bruno pendant que je commençais à siroter mon mojito.

— En ce moment, j’en ai un. C’est Denis.

— Un seul ? s’écria-t-il. Tu rigoles ?

— Je suis sérieuse.

— Putain, mais t’as pas vu comment t’es faite ? Pour quitter une fille comme toi, il faut vraiment être le dernier des cons. Ton ex, il devait avoir un sérieux problème. »

Les compliments de Bruno me touchèrent, bien qu’ils n’eussent pas été exprimés en termes très élégants.

« Je ne suis pas aussi bien roulée qu’Ileana, répondis-je avec une rougeur aux joues.

— Elle est juste plus grande que moi et elle a des nichons plus gros. Mais t’en as aussi, toi. Et ce que j’adore chez toi, ce sont tes jambes. Sérieusement, c’est ce que j’apprécie le plus chez les femmes... après leurs chattes et leurs fesses. Ça ne te dérange pas que je te prenne en photo ?

— Bruno est photographe professionnel », expliqua Denis en me montrant un Reflex Nikon posé sur un buffet, que je n’avais pas encore remarqué.

Je vis tout de suite que c’était du matériel haut de gamme, qui devait coûter dans les trois mille euros avec son objectif.

« Et il photographie quoi ? questionnai-je après avoir avalé une gorgée de cocktail. Des insectes ?

— Des chattes, répondit Bruno.

— Rien d’autre ?

— Des jambes et des paires de fesses également.

— Bruno est photographe de charme, compléta Denis. Comme il voit de jolies filles toutes nues à longueur de journée, c’est un homme heureux.

— Et il couche avec ces filles ? demandai-je.

— Ben oui ! répondit l’intéressé. C’est justement parce que je passe mon temps à coucher avec des filles que j’ai eu l’idée de les photographier, mais il ne faut pas croire que je les force. Je peux te dire qu’elles ne sont plus vierges depuis longtemps. Elles viennent chez moi parce qu’elles sont belles, qu’elles sont exhibitionnistes et qu’elles aiment le sexe. Il y en a qui veulent faire carrière dans le porno, mais c’est difficile et je ne peux pas les aider. Il m’arrive aussi de tomber sur des putes, comme Ileana. Je connais pas mal de filles de l’Est. »

La Roumaine revint pendant que Bruno parlait d’elle et s’assit à côté de lui. Elle avait retiré tout le sperme qui avait giclé sur elle, puis s’était refait un rapide maquillage. Mais son visage était tellement beau qu’elle n’en avait nullement besoin.

« Grâce à moi, elles gagnent, poursuivit Bruno.

— Combien ?

— Quelques centaines d’euros par séance. Et souvent, l’hébergement est offert.

— Alors comme ça, les photographes de charme couchent avec leurs modèles ?

— Non non ! Moi, je suis spécial. Je suis très clairement orienté vers le cul, même si je fais aussi de la photographie de nu classique. Il n’y a pas de raison que je ne mette pas en valeur la beauté de mes modèles. Je passe beaucoup de temps avec elles, nous devenons très intimes et en multipliant les séances, elles peuvent amasser un joli pécule. Il y en a que je fréquente depuis plus d’un an. Quand elles retournent dans leurs pays, elles sont riches.

— Alors tu es la divinité bienfaitrice des belles coquines ?

— Oui, mais derrière moi, il y a Denis. Sans lui, je n’aurais pas pu commencer mon activité et me faire connaître. Il faut des moyens.

— Ah oui ! C’est le mécénat, fis-je.

— Oui, c’est le mécénat, confirma Denis. Je ne fais pas que de l’art contemporain.

— Tu veux voir quelques photos ? »

Bruno se leva pour prendre son appareil. Il s’installa à côté de moi et me mit son écran sous les yeux. Après quelques manipulations, je vis apparaître des corps de femmes très joliment photographiés, en intérieur comme en extérieur, dans de luxuriants jardins ou sur des plages. Le caractère lubrique et provocateur de Bruno ne l’empêchait pas d’être un vrai artiste. Toutes ces femmes étaient sublimées par la lumière et le décor dans lequel elles posaient.

Il me montra aussi des photos beaucoup plus chaudes : des vulves en gros plan, plus ou moins ouvertes, comme il me l’avait annoncé. Certaines étaient pénétrées par des godemichés ou de vrais phallus.

« C’est du porn-art, dit-il. C’est différent des vidéos pornos parce qu’il faut juste saisir un instant. Pour moi, dans tout acte sexuel, il y a de la beauté, et c’est cela que je cherche à fixer dans mon appareil. »

L’inévitable se produisit :

« Je peux photographier ton sexe ? me demanda-t-il.

— Oui.

— C’est seulement pour faire un test. »

Il se mit à genoux devant moi, son appareil entre mes cuisses.

« Mets l’index et le majeur sur tes grandes lèvres, pour bien les écarter, dit-il. Je veux voir l’intérieur de ton vagin. La lumière n’est pas très bonne mais on fera avec.

— Il n’y a pas de flash ?

— Pour ça, je n’en utilise pas. »

Ce moment où j’avais serré les cuisses devant lui me paraissait désormais loin : j’avais été décoincée. J’essayai de m’ouvrir au maximum.

« Waouh ! s’exclama Bruno. On voit tes muqueuses toutes roses. Il faudrait un projecteur. »

Malgré le mauvais éclairage, il prit quelques clichés, puis se redressa et les fit défiler sur l’écran.

« Tu mouilles comme toutes les filles que je photographie, constata-t-il. Tu comprends ce que ça signifie, quand je dis que je deviens très intime avec mes modèles ?

— Tu veux m’enfiler ?

— Non, je te laisse à Denis et j’en profiterai pour vous photographier.

— Je ne mettrai pas de préservatif, annonça l’intéressé. Je déteste ça. Mais je ne couche pas avec toutes les filles que je rencontre, je fais des contrôles réguliers, et toi, s’il est vrai que tu n’as fait l’amour depuis trois ans...

— Trois ans ? s’écria Bruno.

— Oui, confirmai-je.

— Putain ! Il va falloir réparer cela. Mais qu’est-ce qui t’est arrivé ? Tu voulais te faire nonne ou quoi ?

— On en reparlera. »

Je me mis à quatre pattes sur le canapé pour présenter mes fesses à Denis. La levrette était l’une de mes positions préférées. Je n’eus pas besoin de prononcer des paroles supplémentaires pour comprendre ce qu’il attendait de moi. Après avoir assisté à cette longue fellation et après ces discussions, le moment était venu pour moi de retrouver le chemin de la jouissance.

Denis commença par me lécher le sexe en s’aidant de ses doigts pour écarter mes nymphes. Je le sentis exciter mon clitoris, ce qui envoya immédiatement des ondes de volupté dans mon corps. Il me fallut poser une paume sur l’un de mes seins, gonflés par un désir annihilant toute raison, pour tenter de satisfaire ma soif de caresses. J’aurais voulu avoir des mains partout sur le corps ; je n’avais que celles de Denis tenant mes hanches ou parcourant mon dos. Une séance de triolisme avec Bruno m’aurait plu, mais il tenait son appareil de photo pour capter quelques images, concentré jusqu’à en oublier sa verge en érection.

J’envoyai sûrement des flots de cyprine sur le visage de Denis mais cela ne le gêna pas. Quand il m’estima suffisamment chauffée, il se redressa et inséra son gland entre mes lèvres intimes. La pénétration, prudente, se fit sans aucune douleur, et fut même un instant d’inoubliable volupté. C’est comme si j’étais restée incomplète durant ces dernières années et que la pièce manquante venait d’être replacée.

Mon amant augmenta son rythme, faisant monter en moi une telle incandescence que je ne pus maintenir le silence. Des halètement et des cris s’échappèrent de ma gorge. Ma jouissance connut toutefois de brèves interruptions, quand Bruno demandait à son ami d’interrompre les coups de reins pour prendre un cliché, mais cela ne durait chaque fois qu’une seconde. Mon plaisir monta jusqu’à l’éclatement du feu d’artifice dans mon bas-ventre, suivi par une succession de violentes vagues qui me laissèrent hors de moi. Mon amant continua à frotter mes muqueuses intimes jusqu’à l’apaisement de cette houle. Il sortit alors son pénis de mon corps et je m’effondrai sur le canapé, momentanément anéantie.

Pour lui, ce n’était pas terminé. En me retournant, je le vis se masturber au-dessus de moi. Son corps se cambra et une expression extatique illumina son visage tandis qu’un jet de sperme sortait de son sexe et s’aplatissait sur ma poitrine. Il y en eut un second moins puissant et tout s’arrêta.

Mais non... Quand je me redressai, après avoir étalé ce liquide poisseux sur mes seins, je vis Bruno devant moi, sans son appareil, tenant d’une main son sexe dilaté.

« Tu peux me pomper ? demanda-t-il. En fait, je pense que tu n’en as pas reçu assez. »

L’instant d’après, sans avoir réfléchi, je prenais son phallus dans ma bouche et je retrouvais des gestes qu’à une certaine époque, je pratiquais quotidiennement. Les doigts de la main droite enserrèrent la base de sa hampe pendant que le gland restait dans ma bouche, et par moments, ils caressaient ses testicules et son périnée. Ils s’aventurèrent même jusqu’à son anus. Son excitation devint telle qu’il ne put retenir sa semence et que je la sentis fouetter le fond de ma gorge.

Cette fois, c’était vraiment la fin. Je terminai cette petite orgie ramollie, en sueur, dégoulinante de sucs corporels de la bouche au vagin, mais la soirée avait été magistrale !

« Tu fais très bien, me complimenta Ileana.

— Ça te manquait, hein ? demanda Denis.

— Oui. »

Sauf qu’auparavant, je n’avais jamais été pénétrée par deux hommes à la suite.

« Prête à recommencer ?

— Oui, mais pas ce soir. »

« Tu as beaucoup d’amants ? s’enquit Bruno pendant que je commençais à siroter mon mojito.

— En ce moment, j’en ai un. C’est Denis.

— Un seul ? s’écria-t-il. Tu rigoles ?

— Je suis sérieuse.

— Putain, mais t’as pas vu comment t’es faite ? Pour quitter une fille comme toi, il faut vraiment être le dernier des cons. Ton ex, il devait avoir un sérieux problème. »

Les compliments de Bruno me touchèrent, bien qu’ils n’eussent pas été exprimés en termes très élégants.

« Je ne suis pas aussi bien roulée qu’Ileana, répondis-je avec une rougeur aux joues.

— Elle est juste plus grande que moi et elle a des nichons plus gros. Mais t’en as aussi, toi. Et ce que j’adore chez toi, ce sont tes jambes. Sérieusement, c’est ce que j’apprécie le plus chez les femmes... après leurs chattes et leurs fesses. Ça ne te dérange pas que je te prenne en photo ?

— Bruno est photographe professionnel », expliqua Denis en me montrant un Reflex Nikon posé sur un buffet, que je n’avais pas encore remarqué.

Je vis tout de suite que c’était du matériel haut de gamme, qui devait coûter dans les trois mille euros avec son objectif.

« Et il photographie quoi ? questionnai-je après avoir avalé une gorgée de cocktail. Des insectes ?

— Des chattes, répondit Bruno.

— Rien d’autre ?

— Des jambes et des paires de fesses également.

— Bruno est photographe de charme, compléta Denis. Comme il voit de jolies filles toutes nues à longueur de journée, c’est un homme heureux.

— Et il couche avec ces filles ? demandai-je.

— Ben oui ! répondit l’intéressé. C’est justement parce que je passe mon temps à coucher avec des filles que j’ai eu l’idée de les photographier, mais il ne faut pas croire que je les force. Je peux te dire qu’elles ne sont plus vierges depuis longtemps. Elles viennent chez moi parce qu’elles sont belles, qu’elles sont exhibitionnistes et qu’elles aiment le sexe. Il y en a qui veulent faire carrière dans le porno, mais c’est difficile et je ne peux pas les aider. Il m’arrive aussi de tomber sur des putes, comme Ileana. Je connais pas mal de filles de l’Est. »

La Roumaine revint pendant que Bruno parlait d’elle et s’assit à côté de lui. Elle avait retiré tout le sperme qui avait giclé sur elle, puis s’était refait un rapide maquillage. Mais son visage était tellement beau qu’elle n’en avait nullement besoin.

« Grâce à moi, elles gagnent, poursuivit Bruno.

— Combien ?

— Quelques centaines d’euros par séance. Et souvent, l’hébergement est offert.

— Alors comme ça, les photographes de charme couchent avec leurs modèles ?

— Non non ! Moi, je suis spécial. Je suis très clairement orienté vers le cul, même si je fais aussi de la photographie de nu classique. Il n’y a pas de raison que je ne mette pas en valeur la beauté de mes modèles. Je passe beaucoup de temps avec elles, nous devenons très intimes et en multipliant les séances, elles peuvent amasser un joli pécule. Il y en a que je fréquente depuis plus d’un an. Quand elles retournent dans leurs pays, elles sont riches.

— Alors tu es la divinité bienfaitrice des belles coquines ?

— Oui, mais derrière moi, il y a Denis. Sans lui, je n’aurais pas pu commencer mon activité et me faire connaître. Il faut des moyens.

— Ah oui ! C’est le mécénat, fis-je.

— Oui, c’est le mécénat, confirma Denis. Je ne fais pas que de l’art contemporain.

— Tu veux voir quelques photos ? »

Bruno se leva pour prendre son appareil. Il s’installa à côté de moi et me mit son écran sous les yeux. Après quelques manipulations, je vis apparaître des corps de femmes très joliment photographiés, en intérieur comme en extérieur, dans de luxuriants jardins ou sur des plages. Le caractère lubrique et provocateur de Bruno ne l’empêchait pas d’être un vrai artiste. Toutes ces femmes étaient sublimées par la lumière et le décor dans lequel elles posaient.

Il me montra aussi des photos beaucoup plus chaudes : des vulves en gros plan, plus ou moins ouvertes, comme il me l’avait annoncé. Certaines étaient pénétrées par des godemichés ou de vrais phallus.

« C’est du porn-art, dit-il. C’est différent des vidéos pornos parce qu’il faut juste saisir un instant. Pour moi, dans tout acte sexuel, il y a de la beauté, et c’est cela que je cherche à fixer dans mon appareil. »

L’inévitable se produisit :

« Je peux photographier ton sexe ? me demanda-t-il.

— Oui.

— C’est seulement pour faire un test. »

Il se mit à genoux devant moi, son appareil entre mes cuisses.

« Mets l’index et le majeur sur tes grandes lèvres, pour bien les écarter, dit-il. Je veux voir l’intérieur de ton vagin. La lumière n’est pas très bonne mais on fera avec.

— Il n’y a pas de flash ?

— Pour ça, je n’en utilise pas. »

Ce moment où j’avais serré les cuisses devant lui me paraissait désormais loin : j’avais été décoincée. J’essayai de m’ouvrir au maximum.

« Waouh ! s’exclama Bruno. On voit tes muqueuses toutes roses. Il faudrait un projecteur. »

Malgré le mauvais éclairage, il prit quelques clichés, puis se redressa et les fit défiler sur l’écran.

« Tu mouilles comme toutes les filles que je photographie, constata-t-il. Tu comprends ce que ça signifie, quand je dis que je deviens très intime avec mes modèles ?

— Tu veux m’enfiler ?

— Non, je te laisse à Denis et j’en profiterai pour vous photographier.

— Je ne mettrai pas de préservatif, annonça l’intéressé. Je déteste ça. Mais je ne couche pas avec toutes les filles que je rencontre, je fais des contrôles réguliers, et toi, s’il est vrai que tu n’as fait l’amour depuis trois ans...

— Trois ans ? s’écria Bruno.

— Oui, confirmai-je.

— Putain ! Il va falloir réparer cela. Mais qu’est-ce qui t’est arrivé ? Tu voulais te faire nonne ou quoi ?

— On en reparlera. »

Je me mis à quatre pattes sur le canapé pour présenter mes fesses à Denis. La levrette était l’une de mes positions préférées. Je n’eus pas besoin de prononcer des paroles supplémentaires pour comprendre ce qu’il attendait de moi. Après avoir assisté à cette longue fellation et après ces discussions, le moment était venu pour moi de retrouver le chemin de la jouissance.

Denis commença par me lécher le sexe en s’aidant de ses doigts pour écarter mes nymphes. Je le sentis exciter mon clitoris, ce qui envoya immédiatement des ondes de volupté dans mon corps. Il me fallut poser une paume sur l’un de mes seins, gonflés par un désir annihilant toute raison, pour tenter de satisfaire ma soif de caresses. J’aurais voulu avoir des mains partout sur le corps ; je n’avais que celles de Denis tenant mes hanches ou parcourant mon dos. Une séance de triolisme avec Bruno m’aurait plu, mais il tenait son appareil de photo pour capter quelques images, concentré jusqu’à en oublier sa verge en érection.

J’envoyai sûrement des flots de cyprine sur le visage de Denis mais cela ne le gêna pas. Quand il m’estima suffisamment chauffée, il se redressa et inséra son gland entre mes lèvres intimes. La pénétration, prudente, se fit sans aucune douleur, et fut même un instant d’inoubliable volupté. C’est comme si j’étais restée incomplète durant ces dernières années et que la pièce manquante venait d’être replacée.

Mon amant augmenta son rythme, faisant monter en moi une telle incandescence que je ne pus maintenir le silence. Des halètement et des cris s’échappèrent de ma gorge. Ma jouissance connut toutefois de brèves interruptions, quand Bruno demandait à son ami d’interrompre les coups de reins pour prendre un cliché, mais cela ne durait chaque fois qu’une seconde. Mon plaisir monta jusqu’à l’éclatement du feu d’artifice dans mon bas-ventre, suivi par une succession de violentes vagues qui me laissèrent hors de moi. Mon amant continua à frotter mes muqueuses intimes jusqu’à l’apaisement de cette houle. Il sortit alors son pénis de mon corps et je m’effondrai sur le canapé, momentanément anéantie.

Pour lui, ce n’était pas terminé. En me retournant, je le vis se masturber au-dessus de moi. Son corps se cambra et une expression extatique illumina son visage tandis qu’un jet de sperme sortait de son sexe et s’aplatissait sur ma poitrine. Il y en eut un second moins puissant et tout s’arrêta.

Mais non... Quand je me redressai, après avoir étalé ce liquide poisseux sur mes seins, je vis Bruno devant moi, sans son appareil, tenant d’une main son sexe dilaté.

« Tu peux me pomper ? demanda-t-il. En fait, je pense que tu n’en as pas reçu assez. »

L’instant d’après, sans avoir réfléchi, je prenais son phallus dans ma bouche et je retrouvais des gestes qu’à une certaine époque, je pratiquais quotidiennement. Les doigts de la main droite enserrèrent la base de sa hampe pendant que le gland restait dans ma bouche, et par moments, ils caressaient ses testicules et son périnée. Ils s’aventurèrent même jusqu’à son anus. Son excitation devint telle qu’il ne put retenir sa semence et que je la sentis fouetter le fond de ma gorge.

Cette fois, c’était vraiment la fin. Je terminai cette petite orgie ramollie, en sueur, dégoulinante de sucs corporels de la bouche au vagin, mais la soirée avait été magistrale !

« Tu fais très bien, me complimenta Ileana.

— Ça te manquait, hein ? demanda Denis.

— Oui. »

Sauf qu’auparavant, je n’avais jamais été pénétrée par deux hommes à la suite.

« Prête à recommencer ?

— Oui, mais pas ce soir. »


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Par Erika Sauw - Communauté : Récits Erotiques X
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