Samedi 24 janvier 6 24 /01 /Jan 18:00

Un nouvel extrait de ma série, dont le titre définitif est « Compromission ». Edwige rencontre un jeune homme prénommé Matis, qui à son goût. Elle lui fait l'amour devant d'autres personnes.

 

Mon nouveau compagnon s’assit sur un canapé et enleva son polo. Je restai un moment béate devant ce que je vis : une paire de pectoraux sous lesquels se nichaient deux jolis mamelons, une série d’abdominaux très bien dessinés. Les muscles de ses bras les rendaient deux fois plus épais que les miens.

« Tu as fait du culturisme ? demandai-je.

Oui. »

Ne posant résister à une attirance littéralement bestiale pour ce superbe mâle, le premier du genre que je pouvais contempler, je posai le bout des doigts sur son épaule gauche et les fis courir sur sa peau. Ce simple contact m’emplissait de délectation.

« Ça permet d’avoir du succès auprès des filles », ajouta-t-il avec un sourire.

Je voulais bien le croire, puisque cela marchait sur moi.

Il enleva ensuite son short, sous lequel se lovait un long membre viril. Je l’aidai à se redresser et à se durcir en le prenant en main. Il n’était pas droit comme celui de Guillaume, mais recourbé vers le haut, et son gland était un peu plus court, quoique d’un diamètre supérieur.

Mon quatrième phallus en moins de vingt-quatre heures !

« Monte sur moi, me dit-il.

Ici ?

— Mais oui ! Ces filles sont habituées à tout. On va s’échauffer un peu, et après, on passera aux choses sérieuses. »

Ma foi...

Je pris place au-dessus de Matis, les mains sur ses épaules, les genoux des deux côtés de ses hanches, et je guidai son sexe dans le mien. C’était parti pour la deuxième cavalcade de la journée, avec un autre homme. Cette fois, je pouvais étreindre mon partenaire et frotter mes seins contre son torse, si bien que le plaisir fut supérieur. À ce moment, toute moralité avait disparu de mon esprit. Je ne pensais plus qu’à ma jouissance et j’attendais mon orgasme, mais j’avais beau m’agiter comme une possédée, il ne venait pas. Le canapé grinçait sous mes furieux coups de fesses, tandis que le phallus de Matis allait et venait dans mon intimité.

« Arrête ! commanda-t-il. Arrête ! »

Je l’entendis mais mon élan était trop difficile à briser, et finalement, ce fut son sexe qui sortit tout seul du mien. Je le pris de nouveau entre mes doigts, pour voir à quel point il avait été humidifié.

« Mets-toi à quatre pattes », poursuivit Matis.

Je lui obéis. En changeant de position, je m’aperçus que Bruno était présent, debout non loin de moi, et qu’il me regardait. J’étais bien sûr au centre de toutes les attentions. Les deux filles jouissaient du spectacle en chatouillant leurs clitoris.

Matis posa un doigt dans mon anus.

« Qu’est-ce que tu fais ? m’écriai-je.

— Je vais te sodomiser. Reste tranquille. »

Il caressa ma vulve puis reporta son attention sur mon orifice secret. Il en massa doucement mon sphincter avant de le pénétrer prudemment avec ses doigts. Je me crispai, puis je pensai à ce que j’avais déjà vécu. Malgré les quelques douleurs du début, je ne l’avais pas regretté du tout.

« Tu m’as tellement lubrifié que ce n’est pas la peine de mettre de la vaseline, dit Matias. J’y vais. »

Cette fois, ce fut son gland qu’il enfonça dans mon fondement, tout en poursuivant ses messages très intimes.

« Tu dois m’aider en poussant avec tes muscles.

— Pousser comment ?

— Comme lorsque tu vas aux toilettes. Ça aide à la pénétration. »

Il n’attendit pas d’être vraiment enfoncé pour commencer de courts va-et-vient. Je m’aperçus que cela m’aidait à me détendre. Il s’y prit si bien que je ne ressentis quasiment aucune douleur, et que je l’encourageai à aller plus loin.

À force d’habileté et de patience, il arriva à pousser son phallus jusqu’aux testicules. Il n’était à vrai dire pas d’une longueur phénoménale. Déjà, je sentais les premières gouttes de jouissance prêtes à battre mon corps. Une averse diluvienne se déclencha quand il se mit pour de bon à limer mon rectum. Je l’attisai en glissant un bras sous mon ventre, jusqu’à toucher mon clitoris et l’entrée inoccupée de mon vagin. Le plaisir ressenti fut tout de suite démentiel. Les ruades de Matis, associé à ma propre masturbation, me conduisirent à un orgasme explosif. J’eus l’impression de me désintégrer avant de voguer dans une sorte d’apesanteur.

Matis se retira de mon fondement pendant que je m’affaissais comme un ballon crevé. Je me rendis compte qu’il avait éjaculé en moi quand mon petit trou expulsa un jet de sperme, qui atterrit sur mes propres cuisses. Il fut accompagné d’un pet à la sonorité liquide, qui fut assez fort pour être entendu par tout le monde.

Il y eut un moment de silence complet, puis j’entendis Bruno murmurer :

« Putain... »

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Par Erika Sauw - Communauté : Récits Erotiques X
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