Mercredi 23 novembre 3 23 /11 /Nov 20:45

 

Il faisait nuit, un vent froid balayait le tarmac et des gouttes de pluie rendaient l’asphalte luisant. Les lumières de l’aéroport s’y reflétaient. Dans la voiture, Yannick était à l’abri, bien au chaud sur la banquette arrière, mais rien qu’à l’idée d’en sortir, il commençait à trembler. Sa veste était légère, et dessous, il ne portait guère qu’une chemise. De plus, il était angoissé à l’idée de rencontrer monsieur Zakharis, l’un des plus puissants hommes d’affaires de la Planète, mais aussi l’un des plus secrets. Il n’avait jamais conversé directement avec lui, ayant seulement eu l’un de ses collaborateurs au téléphone. Ainsi, bien sûr, qu’une secrétaire.

Et cet inconnu lui prêtait son avion ! Le jet se trouvait là, dans la pénombre. Il en voyait surtout les hublots d’où de vives lumières s’échappaient. La cabine était certainement luxueuse. Bien qu’il fût très loin de vivre dans la pauvreté, il n’avait vu ce genre d’avion privé qu’en photographie, en croyant qu’il n’y mettrait jamais les pieds. Il ne savait pas très bien pourquoi cet honneur lui revenait à présent.

La porte de la voiture s’ouvrit, laissant une rafale de vent s’y engouffrer immédiatement.

« Le personnel de vol vous attend, monsieur, lui dit le chauffeur. Je vous souhaite un bon voyage.

— Merci. »

Yannick sortit en grelottant. Comme il avait son attaché-case à la main droite, il ne pouvait serrer sa veste et se mit à grelotter. Ce fut presque en courant qu’il atteignait l’escalier. Il en grimpa les marches deux par deux, tandis que des gouttes de pluie lui fouettait le visage. La porte éblouissante lui apparut comme l’entrée du paradis.

La température grimpa en flèche dès qu’il la franchit et une hôtesse de l’air l’accueillit avec un sourire éclatant. C’était une blonde – une vraie, semblait-il – aux yeux verts, qui aurait pu concourir à Miss Monde. Yannick savait que M. Zakharis avait les moyens de s’offrir les plus belles femmes, mais voir une telle splendeur en vrai, cela faisait toujours plus d’effet que de la voir en rêve. Son strict uniforme, composé d’une chemise blanche à manches courtes et d’une jupe bleue, la rendait encore plus sexy qu’une robe de soirée. Yannick nota tout de suite l’ampleur de la poitrine bombant le tissu blanc. Un décolleté, seul détail coquin de ce costume, lui permit de jeter un coup d’œil indiscret dans cette intimité. Il remarqua également le badge de son hôtesse, où était écrit « Lydia ».

« Bonjour monsieur, dit-elle. Bienvenue dans l’avion de monsieur Zakharis. J’espère que vous y passerez un agréable moment.

— Je n’en doute pas ! » répondit Yannick avec un afflux de sang dans son pénis.

Cette femme était faite pour être pelotée. Un parfum enivrant émanait de son corps.

Lydia ferma la porte et fit signe à Yannick de le suivre. Il passa de l’autre côté d’une cloison où il eut la surprise de découvrir trois autres hôtesses assises dans une sorte de salon, qui occupait toute la largeur de la cabine. Il comprenait un canapé et trois grands fauteuils, dans lesquels ces filles étaient affalées dans une attitude fort peu professionnelle.

Des filles, c’était le mot à utiliser : Yannick ne leur donnait pas plus de vingt ans. Celle qui occupait l’un des fauteuils avait vraiment un air de lycéenne. Ses cheveux étaient coiffés en un chignon strict et elle portait la même chemise que Lydia, mais déboutonnée jusqu’à rendre son soutien-gorge visible. Sa jupe très courte offrit au regard stupéfait de Yannick une paire de cuisses bien en chair, à la peau légèrement cuivrée. Tout au contraire de Lydia, cette fille avait les cheveux noirs et les yeux semblables à des perles de nuit. Elle s’appelait Fatima.

Les deux autres filles, assises sur le canapé, étaient aussi affriolantes et court vêtues. De leurs escarpins noirs à leurs minijupes bleues, elles montraient l’intégralité de leurs jambes. C’est tout juste si l’on ne voyait pas leurs entrecuisses.

« Je présente Violaine, Ingrid et Fatima, déclara Lydia. Trois autres hôtesses à votre service.

— Elles ne sont pas un peu jeunes ? demanda Yannick.

— Pourquoi cette question ? Vous n’aimez pas les jeunes filles ?

— Si, mais… je croyais qu’il fallait être un peu plus âgée pour devenir hôtesse de l’air.

— Elles n’en sont pas. Monsieur Zakharis vous les donne pour votre plaisir personnel. Et moi aussi, d’ailleurs.

— Ah bon ?

— Oui. Je vais prendre votre attaché-case pour que vous puissiez vous installer. À moins que vous préfériez faire un tour aux toilettes.

— Euh, non.

— Je peux aussi vous montrer la salle de bains. Vous êtes mouillé.

— Ce n’est rien. Ça va sécher. Il faut chaud ici.

— Donnez-moi aussi votre veste, s’il vous plaît. Vous serez plus à l’aise. »

Yannick ne discuta pas cet ordre et se mit en chemise sous les regards intéressés des trois jeunes hôtesses. L’accueil était vraiment curieux. Elles ne s’étaient pas mises debout mais avaient adopté des attitudes lascives en donnant des regards intéressés à leur passager.

Violaine dénoua sa chevelure brune, faisait chuter un flot de boucles sur ses épaules.

« Prenez place, dit Lydia. L’avion va bientôt décoller. »

Yannick choisit l’un des deux fauteuils vides, à droite de Fatima et tourné vers les deux autres filles. Elles continuaient à le dévisager en souriant.

Le jeune homme était à la fois excité et gêné. Il avait une idée de ce qui allait se produire sans arriver à y croire. Son cœur battait à toute allure et il avait l’impression que la température avait monté jusqu’à trente degrés.

Violaine écarta les jambes de manière à lui montrer son string.

« Voulez-vous voir me voir nue ? demanda-t-elle.

— Qui êtes-vous au juste ? Des prostituées ?

— Non. Nous sommes à vous, tout simplement.

— Àmoi ?

— Oui. Dites-nous ce que vous voulez que nous fassions et nous le ferons. Être servie par des hôtesses nues, cela ne vous intéresse pas ? »

Le pénis de Yannick commençait à se sentir très à l’étroit dans son boxer.

« Monsieur Zakharis fait-il ce cadeau à tout le monde ? s’enquit-il.

— Oui. À tous les hommes qui montent dans son avion.

— Il vous paie pour cela ?

— Nous n’avons pas besoin d’argent.

— Mais vous êtes logées et nourries ?

— Oui, mais comprenez que ce que nous faisons n’est pas un métier. C’est dans notre nature. »

Yannick n’avait pas remarqué l’absence de Lydia mais la vit revenir. Elle était probablement passée dans le cockpit. Avec sa jupe qui s’arrêtait au-dessus de ses genoux, elle continuait à ressembler à une hôtesse de l’air normale, mais cela ne dura pas. Elle tourna le dos à son passager et défit sa jupe pour la faire tomber le long de ses jambes. Tout en se penchant de manière excessive, elle retira sa petite culotte. Médusé, Yannick contempla une longue vulve, dépourvue du moindre poil, surmonté d’un anus logé comme un trésor entre deux fesses adorablement rebondies. Un joyau à explorer avec les doigts.

« C’est plus agréable comme ça, n’est-ce pas ? » fit-elle en faisant face à Yannick.

Sa chemise n’était pas assez longue pour cacher son sexe. Elle en défit quelques boutons pour l’ouvrir jusqu’à son soutien-gorge. Violaine avait écarté son string pour mettre un doigt dans son sexe aussi rasé que celui de Lydia. Elle se doigta puis retira son index et le suça en dardant un regard provocateur sur Yannick.

Lydia s’agenouilla entre les cuisses de son passager.

« Vous n’avez pas besoin d’attacher votre ceinture, lui dit-elle en la défaisant. Il n’y a aucun danger. »

Elle s’attaqua également à la ceinture du pantalon.

« Attendez ! fit Yannick. Je suis là pour ça, ou quoi ?

— Oui. »

Comme il connaissait le milieu des affaires, il savait que de jolies femmes étaient parfois utilisées pour « mettre de l’huile dans les rouages », mais il n’avait jamais connu une telle expérience. Et puis, quatre femmes d’un coup, c’était beaucoup.

« C’est la générosité de monsieur Zakharis ? demanda-t-il.

— Oui. Autant de femmes ou de jeunes filles que vous le voudrez. Nous quatre pour le moment, mais il pourra y en avoir plus.

— Qu’est-ce que vous faites quand vous recevez des passagers qui sont mariés ?

— La même chose.

— Ah oui ?

— Cela reste entre nous » fit Lydia avec un clin d’œil.

Elle caressa le pénis de Yannick à travers son pantalon.

« Je sens que vous êtes d’accord pour commencer, reprit Lydia. Je vais vous sucer. Ça va vous détendre… À moins que vous préfériez qu’une de ces demoiselles le fasse. »

L’avion s’était mis à rouler mais le passager ne s’apercevait de rien. Lydia acheva de défaire la ceinture de son pantalon, lentement comme pour bien goûter à son plaisir. Elle lui retira son boxer, faisant jaillir un phallus rigide qu’elle décalotta.

Fatima avait dénudé son torse. Sa poitrine généreuse et ferme était décorée d’aréoles et de gros mamelons presque noirs. Elle se caressait les seins avec volupté. Ingrid, aux yeux bleus aux cheveux châtains, était intégralement nue. Ses vêtements traînaient pas terre. Toujours assise sur le canapé à côté de Violaine, elle se masturbait également, en écartant outrageusement les cuisses.

Lydia se débarrassa de sa chemise et de son soutien-gorge et revint poser ses genoux devant Yannick, sur l’épaisse moquette. Celui-ci n’avait jamais autant bandé de toute sa vie. Il ne reconnaissait plus sa propre queue, aussi longue que sa main, au gland gonflé comme un ballon. Lydia le prit à la base et en lécha le bout humide, avec d’amples et savants mouvements de langue. Yannick regardait sans rien faire cette sublime créature tenir son épais bâton de chair rigide entre des doigts aux ongles recouverts d’un verni rouge vif, et y porter des lèvres également rouges. Ses seins étaient comme il les avait imaginés : deux demi-globes remplis de promesses. Yannick avait une furieuse envie d’enfoncer les doigts dans cette chair molle.

Pour le moment, ce fut son phallus qui fut enfoncé dans la bouche de Lydia, presque jusqu’aux testicules. Elle s’y prit lentement avec habileté, comme un exercice qu’elle effectuait quotidiennement. Le gland dut pourtant lui arriver dans l’œsophage. Quand elle retira sa bouche, ses lèvres restèrent reliées au pénis par des fils de salive, ce qui était délicieusement dégoûtant.

Yannick était sans voix et déjà sur le point d’expulser son sperme. À sa gauche, une paire de fesses s’approcha de son visage. C’était celles de Fatima.

« Je veux que vous enfonciez un doigt dans mon cul », dit-elle.

Yannick exauça son désir tandis qu’il se faisait cette fois sucer par Violaine. Son index s’enfonça dans l’anus de Fatima en négligeant la vulve, qui attendait pourtant elle aussi d’être pénétrée puisque de la cyprine la lubrifiait. La paire de petites lèvres était basanée du côté externe, mais rouge du côté interne, et juste au-dessus, l’entrée du vagin était visible.

Cependant, Violaine arrêta sa fellation et le pénis de Yannick se trouva pris en tenaille entre les bouches d’Ingrid et de Lydia, qui se mirent à le sucer chacune de leur côté, tout en le serrant à la base. La seconde gratifia également les testicules de son passager de quelques coups de langue et mit un doigt fureteur dans son anus. Violaine s’était retirée et regardait la scène debout, avec deux doigts dans son vagin et une main sur son sein droit.

Le corps de Yannick commença à se crisper et il grogna. Il dut retirer son index du rectum de Fatima. Deux beautés dénudées pour s’occuper de son sexe et même de son cul ! Le point de non retour était arrivé. Un geyser de sperme jaillit de son pénis en maculant les visages d’Ingrid et de Lydia. Comme l’éruption se fit en plusieurs étapes, elles eurent le temps d’en attraper quelques gouttes avec la langue. Leurs bouches se rejoignirent sur le gland, qu’elles léchèrent. Ce fut une sorte de baiser imbibé de foutre. Les deux femmes finirent d’ailleurs par s’embrasser ouvertement.

Yannick avait fait son décollage avant l’heure et son orgasme tardait à retomber. Il restait immobile, la respiration accélérée et rauque.

« Avouez que c’est plus agréable comme ça », dit Lydia en s’essuyant le visage avec la main.

Le passager resta silencieux.

Les hôtesses étaient à présent toutes debout, nues mais toujours montées sur leurs escarpins.

« L’avion se trouve sur la piste, annonça Lydia sur un ton un peu plus professionnel. Nous allons rester assises pendant le décollage, mais en continuant à vous tenir compagnie. »

Ingrid essuya une goutte de sperme qui s’accrochait à son sourcil gauche.

Réagissant enfin, Yannick remonta son boxer pour y ranger ses organes génitaux, puis son pantalon.

« Est-ce que j’ai le temps de me laver ? dit-il.

— Pourquoi ? répondit Lydia.

— Parce que… J’ai mis mon doigt dans le…

— On ne se salit pas en fouillant mon cul, déclara fièrement Fatima. Je suis pure.

— Pure ?

— Respirez votre doigt. »

Yannick obéit et constata que son index avait une odeur… impossible à définir mais plutôt agréable. C’était une sorte de parfum.

« Les hôtesses de monsieur Zakharis, c’est de la grande qualité, dit Violaine. Tenez, léchez-moi. »

Elle mit son postérieur contre le visage de Yannick, les mains posées sur ses fesses de manière à dilater sa vulve et son anus. Le passager les gratifia d’un coup de langue et constata une nouvelle fois que ça n’avait rien de désagréable. Ces femmes pouvaient être goûtées de partout.

« Asseyons-nous », dit Lydia.

Elle s’installa sur le canapé, entre Violaine et Ingrid. Fatima retourna s’asseoir dans son fauteuil. Leurs chemises, leurs jupes, leurs soutiens-gorges et leurs culottes continuaient à traîner sur la moquette. Lydia s’essuya cependant le visage, avec un mouchoir cette fois, et se refit un maquillage. Son rouge à lèvres, dont une partie était restée sur la queue de Yannick, fut refait.

Les moteurs de l’avion, tournant jusqu’alors au ralenti, furent lancés à pleine vitesse. Il fut accéléré dans cette nuit froide, que Yannick ne voyait désormais plus que par les hublots. Il était passé dans un autre monde, celui d’un plaisir sexuel complètement débridé, et il ne pensait plus à rien d’autre. Tandis que le jet s’élançait dans les airs, son regard passait d’une hôtesse à l’autre, sur leurs visages angéliques dissimulant des âmes de cochonnes, leurs seins, leurs ventres, leurs cuisses et ce qu’il pouvait voir de leurs sexes. Son érection commençait à revenir, alors que dans les premières minutes du décollage, il était ordinairement angoissé. Les vibrations des avions l’inquiétaient toujours. Il fut tenté de remettre sa ceinture de sécurité mais il resta comme les hôtesses.

« Nous nous dirigeons droit vers l’est, annonça Lydia. Patiente un peu et tu verras le soleil se lever.

— Combien de temps durera le vol ?

— Bien assez de temps pour que tu puisses profiter de nous, répondit Lydia.

— Je ne sais même pas où je vais.

— Ici, fit Lydia en ouvrant ses cuisses pour lui indiquant l’intérieur de son vagin.

— Ou dans mon cul, ajouta Fatima, si tu aimes sodomiser une fille.

— Est-ce que tu le fais souvent ? s’enquit Violaine.

— Non.

— Je suis sûre que tu aimeras faire cela avec nous, déclara Ingrid.

— Quels sont tes fantasmes ? » questionna Violaine.

Yannick réfléchit un instant. La première chose qu’il trouva, ce furent des images de pornographie, avec de la double pénétration et des éjaculations faciales. Il aimait voir une femme se faire arroser de sperme par une dizaine de bites, mais dans cet avion, il y avait un homme pour quatre femmes.

« Est-ce que l’une de vous pourra remettre son uniforme ? finit-il par demander. J’ai envie de…

— Baiser une hôtesse de l’air, poursuivit Lydia. C’est noté.

— Mettez une jupe assez longue, pour que ça fasse vrai.

— D’accord. Qui veux-tu défoncer ? De toute façon, nous pouvons toutes y passer l’une après l’autre.

— Fatima ? » demanda Yannick en se tournant elle.

Elle lui donna un sourire.

« Pas dans ton cul mais dans ton vagin, précisa-t-il. Tu aimes être sodomisée ?

— Oui, mais je suis à ton service, alors je te donnerai ma chatte. »

 

Ils poursuivirent leur discussion sur le sexe pendant que l’avion gagnait de l’altitude. Quand il eut atteint sa vitesse de croisière, Yannick recommença à bander. Minuit approchait mais il n’était pas fatigué. Il s’était attaché à ses quatre compagnes et comptait profiter d’elles autant qu’il le pouvait. Au diable tous les scrupules ! Il ne pensait plus qu’à boucher les orifices de toutes ces filles et se serait volontiers débraguetté immédiatement, mais il tenait au petit jeu de rôles qu’il avait décidé.

Les quatre femmes ramassèrent leurs habits et les remirent. Fatima partit à l’arrière de l’avion pour en revenir avec une jupe semblable à celle de Lydia. Elle s’était refaite une coiffure et un maquillage. Elle aurait ressemblé à une vraie hôtesse de l’air si elle n’avait pas eu l’air aussi jeune.

« Voulez-vous prendre un apéritif ? demanda-t-elle sur un ton très policé. Je vous servirai ensuite le repas.

— Oui, je veux bien.

— Je dois vous demander de vous asseoir à l’arrière. Vous aurez un fauteuil avec une table. »

Yannick se leva pour suivre Fatima, qui marchait comme un mannequin sur ses hauts talons, en ondulant des hanches. Spectacle savoureux et prometteur de plus hauts plaisirs ! Son passager devait se retenir de lui donner une tape sur les fesses.

Il s’assit dans un fauteuil avec un hublot à sa gauche et Fatima s’éclipsa de nouveau, après lui avoir demandé ce qu’il désirait boire. À son retour, elle portait un plateau qu’elle posa devant Yannick en se penchant de manière exagéré. C’était évidemment pour lui donner une vue sur l’échancrure de sa chemise.

Son passager, déjà en érection, ne put tenir une seconde de plus. Il l’attrapa par les fesses et la plaqua sur la table en renversant le plateau. Il passa ensuite derrière elle pour lui relever brutalement sa jupe et abaisser sa jolie petite culotte. Des fesses qu’il avait déjà vues, mais qu’il eut l’impression de redécouvrir, lui apparurent avec un sexe un peu saillant. Il sortit son pénis de son pantalon et le planta entre les grandes lèvres, mais quand il le ressortit, il eut la surprise d’y voir du sang.

« Qu’est-ce que c’est ? s’exclama-t-il.

— Tu viens de me déflorer, expliqua Fatima.

— Quoi ?

— J’étais vierge. »

Yannick se figea, la bite toujours en érection.

« Nous sommes toutes vierges, poursuivit Fatima.

— Qu’est-ce que ça signifie ? »

La jeune fille se redressa au lieu de répondre, avec un sourire très coquin et même un peu sadique. Elle se débarrassa de sa jupe et de sa culotte, puis se remit toute nue. Elle retira même ses escarpins.

« Cela signifie que tu es au paradis, dit-elle.

— Hein ?

— Tu es mort tu es au paradis. Tu n’as jamais entendu parler des soixante-douze vierges ? »

Yannick était tellement médusé que son sexe se recourbait vers le bas.

Par le hublot, il voyait que le ciel bleuissait. L’aube approchait.

« Soixante-douze ? bredouilla-t-il. Vous n’êtes pas soixante-douze !

— Il y en a d’autres. Viens. »

Fatima prit Yannick par la main. Elle le fit repasser dans le « salon », où étaient restées Lydia, Violaine et Ingrid, qui étaient de nouveau nues. Leurs habits ne se voyaient nulle part et elles s’étaient également privées de chaussures.

Yannick passa devant elles sans s’arrêter. Il était toujours habillé de la tête aux pieds, avec une cravate nouée autour du cou mais avec le sexe sortant de son pantalon. Fatima le conduisit à une porte qu’elle ouvrit. Ce que le passager vit, ce ne fut pas un cockpit avec des pilotes, mais une grande salle baignée de lumière, où étaient étalés des tapis et des coussins. Des femmes nues, très jeunes et toutes dotées d’un corps parfait, étaient en train de s’y prélasser.

« C’est quoi ça ? s’écria Yannick.

— C’est ton harem. »

Il explora la salle du regard. Certaines jeunes filles remarquèrent sa présence et lui firent un signe de la main pour lui souhaiter la bienvenue.

« Où est monsieur Zakharis ? demanda-t-il.

— Il est partout, répondit Fatima. C’est notre créateur. »

 

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Par Erika Sauw - Communauté : Récits Erotiques X
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Dimanche 2 octobre 7 02 /10 /Oct 21:58

Troisième et dernier extrait du deuxième tome de Désirs de nymphes, mais il est possible de le lire sans avoir pris connaissance de tout le reste. Karine et ses copines Judith, Chloé, ainsi que Didier, rendent visite à une famille de naturistes. Ce dernier entreprend de déflorer une jeune fille, Aurore, sous le regard de toutes la compagnie.

 

 

Aurore s’allongea sur le dos, les jambes écartées juste devant moi comme pour me montrer son intimité juteuse, mais Didier se plaça devant. J’eus alors sur une vue sur ses fesses, son mignon petit trou, et dessous, ses boules enveloppées de peau. Il se pencha sur la jeune fille pour lui donner un baiser sur la bouche, ce qui me rappela le Prince réveillant la Belle au bois dormant, mais en version beaucoup plus érotique. D’une certaine manière, Didier était bien en train d’éveiller la jeune fille.

Il la fit ensuite se pâmer sous ses caresses, suça ses mamelons puis porta la bouche à son sexe. Elle était déjà à deux doigts de la jouissance quand il titilla son clitoris du bout de langue.

« Hé ! fit Chloé en me donnant un coup de coude. Tu ne photographies pas ?

— Ah si ! »

Quelle tête en l’air !

J’allumai l’appareil et me déplaçai pour prendre la première photo sous un bon angle. Comme le soleil s’était couché, il commençait à faire sombre et le flash s’alluma.

Premier cunnilingus immortalisé !

Les parents d’Aurore, qui avaient d’abord hésité à venir, se trouvaient à la porte de leur chambre. Je trouvais que pour des gens qui exhibaient leurs organes sexuels à longueur de journée et qui avaient expliqué à leur fille comment s’en servir, ce n’était pas un grand pas à franchir. Néanmoins, ils restaient en retrait. Le seuil de la porte était l’endroit idéal pour eux : ils pouvaient voir si tout se passait bien sans s’immiscer dans cette scène.

Aurore n’était pas passée loin de l’orgasme. Le sentant venir, Didier avait arrêté à temps de jouer avec son clitoris. Je la savais folle de désir, brûlant d’être enfin pénétrée, mais elle n’osait pas le dire. Une fille expérimentée aurait exprimé sa volonté ou se serait empalée d’elle-même sur ce pieu. Aurore n’en était pas encore là.

Comme j’étais capable de voir à distance des accouplements, je m’attendais à ressentir beaucoup de choses devant cette scène de sexe, mais peut-être n’étais-je pas assez concentrée. L’excitation qu’elle me procurait me semblait être ordinaire. J’accordais une attention particulière aux organes génitaux de Didier, et je me serais caressée comme le faisaient mes amies si je n’avais pas eu cet appareil dans les mains.

Le moment attendu arriva enfin, mais au lieu de se placer dans la position habituelle pour une défloration, celle du missionnaire, Didier s’allongea derrière Aurore, le ventre contre ses fesses, et lui souleva une jambe. Cela nous permettait de tout voir et j’approchai mon appareil.

Il inséra son gland entre les lèvres toutes roses et glissantes et le poussa très lentement. Ma respiration se bloqua. Je me demandai comment un tel phallus allait forcer le petit sexe d’Aurore sans causer aucune douleur. La réponse me vint toute seule : la magie ! Quelle meilleure occasion un satyre pouvait-il avoir qu’une relation sexuelle pour exercer ses pouvoirs ? Pourtant, je ne percevais toujours rien de spécial et je vis seulement le sexe de Didier s’enfoncer dans celui de la jeune fille, tandis qu’elle miaulait de plaisir. Le mouvement ne s’arrêta que quand ses testicules butèrent contre les petites lèvres d’Aurore.

Judith poussa une exclamation joyeuse et applaudit, aussitôt suivie par Chloé et Sylviane. Quant à moi, je captai cet évènement en faisant une énième photo. Didier se mit à effectuer un rabotage d’abord lent, puis accéléré. Il tenait Aurore par la poitrine d’une main et continuait à lui soulever la jambe de l’autre. Elle gigotait en se mordant les lèvres, ne voulant pas être bruyante. Elle ne semblait pourtant avoir aucune conscience de la présence de ses parents et fermait les yeux.

À présent, Didier faisait du défonçage. Je savais qu’un dépucelage ne causait pas forcément de douleur ni ne faisait couler de sang, mais ce premier rapport sexuel ne me semblait vraiment pas normal. Le satyre continua à marteler le sexe d’Aurore jusqu’au moment où il se vida dedans. Judith applaudit une deuxième fois mais ne fut pas imitée.

Jean-Michel et Magali étaient alors partis, probablement rassurés par ce qu’ils avaient vu. Leur fille, une fois séparée de Didier, me parut être dans un état singulier, comme si elle n’arrivait pas à revenir de la jouissance qu’elle avait connue. Judith la prit par la main et la conduisit hors de la chambre.

Nous nous retrouvâmes dehors, malgré l’obscurité mon-tante. Didier tint à s’asseoir à côté de Judith. J’en profitai pour tenir compagne à Aurore, dont toute l’attention était tournée vers son entrecuisse. Comme d’habitude, le satyre avait été généreux en sperme, et bien qu’il lui ait injecté cette dose bien en profondeur, elle était en train de ressortir. La jeune fille, occupée à examiner son intimité, en avait plein les doigts.

 

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Par Erika Sauw - Communauté : Récits Erotiques X
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Mercredi 24 août 3 24 /08 /Août 21:40

 

Judith et ses trois apprenties débauchées, Chloé, Sylviane et Karine se rendent dans un sex-shop pour y trouver quelques vêtements coquins. Karine est d'ailleurs nue. Oui, elle s'est baladée comme cela sur quelques centaines de mètres ! Quant à ses amies, elles ne sont guère mieux vêtues, voulant être aussi provocatrices que possible. Je vous laisse lire ce qui va arriver.

 

Judith s’arrêta devant un sex-shop.

« C’est ça, le magasin ? fis-je.

— Oui. Je te laisse choisir ce que tu veux. »

J’y entrai à sa suite, devant Sylviane et Chloé. Une immense collection de vêtements sexy et de lingerie coquine sauta à mes yeux, mais avant de les regarder, je voulus explorer les lieux, qui étaient assez vastes. Ce magasin n’avait rien des petits sex-shops assez miteux qui se dissimulent dans certains quartiers. Des DVD de films pornographiques recouvraient le mur du fond, derrière des rayons chargés de sex-toys d’une variété que je n’aurais jamais imaginée. Il y en avait pour les femmes et pour les hommes, dont une poupée gonflable trônant dans une vitrine.

Les locaux se poursuivaient plus loin, dans une certaine obscurité.

« Qu’est-ce que c’est ? demandai-je.

— Des cabines où l’on regarde des vidéos en se branlant, répondit Judith.

— Ça existe ?

— Tu veux faire l’expérience ?

— Je préfère un homme à une vidéo.

— Tu vois, là ? On diffuse des films sur grand écran. C’est gratuit pour les couples. Je te laisse imaginer ce qui se passe dans la salle.

— Les gens normaux également, ils savent s’amuser.

— Mais ils le font toujours en cachette. »

Ses propos furent quelque peu démentis. Je n’étais pas la seule personne à attirer les regards. Il y avait aussi Chloé, avec sa poitrine qui appelait les caresses, et Sylviane, dont les fesses demandaient à être découvertes. Elle souleva sa jupe pour les montrer à un jeune homme qui la reluquait ostensiblement. Il se dirigea vers elle, mais elle lui échappa pour se rapprocher de Judith et de moi, si bien qu’il arriva près de nous.

« Qu’est-ce que vous faites ici ? demanda-t-il à voix basse en me reluquant, la bave aux lèvres.

— Ma copine n’a rien pour s’habiller, alors elle est venue chercher des vêtements, répondit Judith.

— Ah oui ?

— Je m’appelle Karine, dis-je. Elle, c’est Sylviane, et elle, Judith. On se fait la bise ? »

J’attirai le jeune homme à moi pour l’embraser sur les joues, puis brièvement sur la bouche. Je conduisis ensuite sa main vers mes cuisses ruisselantes.

« En réalité, je n’ai pas très envie de m’habiller, dis-je. J’ai envie d’autre chose. »

Pour ne pas être en reste, Sylviane s’était débarrassée de ses vêtements en les abandonnant sur la moquette. Elle attrapa le jeune homme par sa main libre et l’entraîna vers les cabines.

« C’est autorisé ? » questionnai-je en me tournant vers un homme qui tenait apparemment le rôle du caissier, debout derrière un comptoir.

Il nous observait d’un œil scrutateur mais neutre.

« Ça se produit chaque fois que je vais ici », répondit Judith.

Dix secondes plus tard, je me retrouvai à proximité de Sylviane, plaquée contre un mur. Elle n’était pas entrée dans l’une des cabines, car elles étaient toutes fermées à clé, mais dans un couloir où leurs portes s’alignaient. Il était faiblement éclairé par des lampes jaunes et surtout par des écrans montrant des femmes nues, qui exhibaient leurs poitrines opulentes et leurs vulves rasées. Sylviane était en train de masturber le jeune homme tout en l’embrassant sur la bouche, et je me retrouvai tout de suite dans une situation comparable.

Une langue fouineuse força mes lèvres à s’ouvrir tandis qu’une main autoritaire me fouillait le vagin, encouragée par sa moiteur. Pour faciliter la pénétration, je levai la jambe gauche et l’enroulai autour de l’homme. Mes gémissements étaient étouffés par la bouche qui écrasait la mienne. Je posai mes mains sur de larges épaules. Je n’avais pas vraiment regardé à quel homme j’avais affaire ; je découvrais grâce à mes palpations qu’il était musclé. Mes seins s’aplatissaient contre un torse solide. Une odeur virile de transpiration enflammait mes sens.

Après notre baiser, je soulevai le tee-shirt de l’homme pour caresser sa peau et m’agenouillai pour ouvrir son bermuda. J’en extirpai une jolie verge bien raide que je me mis à branler frénétiquement, avant de la guider dans ma bouche. Et peu importe si elle avait une vague odeur d’urine. Tout ce qui venait des hommes éveillait mes désirs, sûrement par effet de ma métamorphose. Je ne me souvenais pas d’avoir eu une telle sensibilité.

J’aurais continué ainsi jusqu’à faire jouir l’homme dans ma bouche, mais il me releva et me souleva même en me faisant glisser sur le mur, et je me retrouvai empalée sur son sexe. Je lui fournis une aide en m’appuyant sur ses épaules. Il commença alors à faire bouger son bassin, pour provoquer des mouvements qui se répercutèrent dans mon vagin et dans tout mon corps. Je devais me mordre les lèvres pour ne pas faire trop de vacarme. Malgré l’incommodité de notre position, il arrivait à me pénétrer jusqu’au fond, et chacun de ses coups de rabot faisait éclater un feu d’artifice en moi.

Il poussa un cri quand il déchargea en moi. Il attendit de se vider complètement avant de retirer son phallus et de me reposer au sol, après quoi, il remit son sexe en place et s’en alla sans avoir prononcé un mot. Je restai un moment chancelante sur mes hauts talons, avant de sortir de la pénombre. Je rejoignis Judith, qui était en train de bavarder avec le caissier.

« J’espère que nous ne sommes pas trop incorrectes, dis-je.

— Ce n’est pas ici qu’on va se plaindre qu’il y a du sexe, du moment que vous ne salissez pas la boutique, répondit l’homme. Vous savez ce qui se passe dans les cabines et la salle de cinéma ?

— Oui, je pense.

— Je vous conseille de venir voir un film un samedi soir. Il y a du monde. Le magasin est ouvert spécialement pour ça.

— Alors je passerai.

— Il y a des couples, mais aussi des célibataires qui viennent se masturber. Vous pourrez leur donner un coup de main, mais il ne faut pas leur demander d’argent, hein ?

— Je ne suis pas une prostituée.

— Oui, je sais. Je dis ça comme ça. Je connais Judith. »

Sylviane réapparut en tenant son cavalier par la main. Elle était nue et du sperme s’échappait de son vagin, comme du mien. Il faudrait que je demande un sopalin au caissier.

 

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Par Erika Sauw - Communauté : Récits Erotiques X
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Vendredi 22 juillet 5 22 /07 /Juil 10:36

Je peux enfin reprendre l'histoire de Judith, l'histoire de la jeune fille qui se rend dans une pension de famille très particulière : on y vit nu et on baise à tout-va. En ce matin d'août, elle se rend pour la première fois à la plage avec la propriétaire, Judith, et ses deux amies, Chloé et Sylviane. Elle n'a aucune sous-vêtement sous sa robe, le but du jeu étant de se montrer nue devant tout le monde, voire d'aller plus loin...

 

Et hop ! Agenouillée sur ma natte, je fis glisser ma robe. J’eus aussitôt l’impression que le monde entier avait les yeux braqués sur moi, sur mes seins, mon ventre et mes poils pubiens. Pourtant, mes compagnes se dénudaient elles aussi.

Des gens faisaient semblant de ne pas nous voir, mais j’avais bel et bien des regards d’hommes et de femmes sur moi. À part cela, il n’y avait pas de réaction. Je n’exposai pas ma poitrine très longtemps, parce que je m’étalai sur le ventre.

« Il ne faut pas être timide, me reprocha Judith.

— Je ne le suis pas ! répliquai-je. Je montre mes fesses.

— Dans cas, écarte les fesses pour qu’on voie ta raie, et essaie de remarquer les hommes qui vont la regarder en passant. »

J’obéis à Judith.

« Elle a raison de se mettre comme ça, dit Chloé. C’est pas beau d’avoir les fesses toutes blanches. »

Elle donna des tapes dessus. Elle-même était assise en tailleur, si bien qu’elle exposait son sexe à tout le monde. Pour le moment, j’étais la seule allongée.

Mes compagnes finirent pas m’imiter. Je restai ainsi jusqu’au moment où je sentis que j’avais le dos et la croupe suffisamment chauffée. Des gens étaient passés entre moi et la mer. Dans ma position, il m’était difficile d’observer leur réaction, mais j’arriverais à capter des coups d’œil jetés entre mes cuisses. Pour un individu de sexe masculin, ou une lesbienne, il était bien sûr impossible de rater le spectacle.

L’exhibitionnisme, ça me plaisait ! Je craignais cependant les réactions que je pouvais provoquer, et mes compagnes affichaient également une certaine retenue.

Comme la crêpe devait être cuite des deux côtés, je me retournai en exposant mes seins, assez fermes pour ne pas s’aplatir complètement quand j’étais sur le dos. Je les regardai avec une forte envie de pincer leurs boutons et de mettre une main sur ma vulve, qui était enduite de mouille.

« Est-ce que tu rêves qu’un homme se masturbe en te regardant ? demanda Judith, comme si elle lisait dans mes pensées.

— Oui, pourquoi ?

— J’aimerais connaître tes fantasmes sexuels. Tu en as beaucoup ?

— Oui.

— Ça te dirait de les réaliser ? »

La question de Judith me donna la mesure de la pudeur qui me restait. Parler de choses aussi intimes, c’était difficile.

« Les fantasmes ne sont pas faits pour être réalisés, répondis-je.

— Cela dépend. Il y a des situations d’où l’on tire énormément de plaisir.

— Mais l’imagination doit rester imaginaire.

— Il y a des choses que des femmes voudraient faire mais ne le peuvent pas. Je t’offre des possibilités qu’elles n’ont pas. Cela tient à tous les interdits de la société et à l’agressivité de certains hommes. »

Le souvenir des trois garçons tabassés par Didier me revint en mémoire.

« Es-tu sûre qu’il ne m’arrivera rien quoi que je fasse ? m’enquis-je.

— Oui, si tu écoutes mes conseils… Et puis, il arrivera un moment où tu sauras toi-même quoi faire.

— L’intuition féminine.

— C’est cela. Elle n’existe qu’à l’état de germe chez les femmes. Elle se développera chez toi grâce au sexe.

— L’énergie de la vie.

— Je t’apprends à vivre, Karine. »

Je fermai les yeux, étreinte par une sensation puissante. Je les rouvris en me rendant compte que j’avais posé une main sur mon sexe.

« Masturbe-toi ! m’ordonna Judith.

— Comment ?

— Écarte les jambes et enfonce ostensiblement un doigt dans ton vagin, de façon que tout le monde puisse le voir.

— Mais...

— Tu me fais confiance, si je te dis que tu peux le faire ?

— D’accord. »

Mon cœur s’était mis à tambouriner dans ma poitrine et un surcroît de sueur recouvrit ma peau, déjà emperlée par la chaleur du soleil.

J’obéis à Judith.

Je faillis en sursauter, tellement c’était bon. Mon index droit entrait et ressortait de mon fourreau humide. Mes tremblements étaient les signes précurseurs d’un orgasme.

Je m’efforçai d’oublier toutes les personnes qui étaient autour de moi, mais je les sentais. Je savais qu’une seule personne était scandalisée mais détournait simplement les yeux, que d’autres étaient au contraire fascinées.

Il y a une plage naturiste à proximité où les femmes ouvrent leurs chattes à tous les regards, où les hommes bandent… Où ils baisent en public.

Trop facile.

Tout à coup, l’image d’un homme laissant quelqu’un d’autre caresser son épouse me sauta aux yeux, comme si j’avais eu ce souvenir stocké dans un coin de ma mémoire.

Je me redressai brutalement et retirai le doigt de mon sexe.

« Qu’est-ce que tu as vu ? demanda Judith.

— Nous sommes à côté d’une plage naturiste ?

— Oui.

— Alors les gens d’ici savent ce qui se passe à côté ?

— Dis-moi ce que tu as vu.

— Il y avait un couple… La femme se masturbait comme je l’ai fait, sous les regards de plusieurs hommes. De l’autre main, elle branlait également son époux… Un homme s’est approché…

— Oui ? »

Je ne pensais pas que les autres vacanciers pouvaient entendre notre conversation. Ils se comportaient tous comme si je n’avais rien fait. La magie de l’instant s’était évaporée.

« Il s’est mis à caresser la femme, en commençant par les seins, continuai-je.

— Et ?

— Il a poursuivi les caresses en s’approchant du bas-ventre… Il a fini par mettre un doigt dans le vagin de la femme.

— Et dans son anus, compléta Judith.

— Comment tu le sais ?

— Je le sais, c’est tout. La femme était tellement excitée qu’elle a eu un orgasme. Ensuite, l’homme a éjaculé sur elle, puis son mari l’a pénétrée. »

C’était bien ce que j’avais vu. Le mari prenait sa femme dans la position du missionnaire, alors que le jet de sperme de l’autre homme brillait sur sa poitrine.

« Alors nous avons des visions ? fis-je.

Tu peux voir la scène clairement parce qu’elle s’est déjà produite. Ce n’est pas de l’intuition.

— Mais ça veut dire que je suis sur la bonne voie ?

Bien sûr.

— Bienvenue au club ! intervint Chloé.

— Toi aussi, tu peux voir des choses comme ça ?

— Que des scènes de cul. Toujours celles où il y a de la jouissance. Je vois des femmes qui se tordent de plaisir et du sperme qui gicle. C’est très agréable.

— C’est parce qu’il y a beaucoup d’énergie dégagée ?

— Évidemment !

— Sans le savoir, tu as établi un contact très fort avec tout le monde, compléta Judith. Avec la surnature. »

La surnature… Je me rappelai avoir déjà vu passer ce mot, mais je ne savais plus où.

 

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Par Erika Sauw - Communauté : Récits Erotiques X
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Vendredi 20 mai 5 20 /05 /Mai 22:01

 

Pour une fois, je ne mets pas un extrait de texte, mais un texte complet.

 

Je suis une fille qui adore le sexe. Dans la fac où j’étudiais, je m’efforçais de coucher avec les garçons qui m’attiraient le plus, si bien que je m’étais fait une réputation assez sulfureuse. Je ne me sentais toutefois pas seule car j’avais une compagne de débauche, que je désignais par le diminutif de Jenny. Nous nous racontions tout ce que nous faisions, et il nous arrivait de nous masturber ensemble, c’est vous dire.

Je n’avais jusqu’alors subi qu’un seul échec : un garçon que je côtoyais du lundi au vendredi m’attirait beaucoup, mais il n’y avait aucun moyen de le retenir auprès de moi. Jouer des yeux, prononcer des propos équivoques, cela ne servait à rien. C’était un très beau jeune homme aux yeux clairs et aux cheveux blonds, prénommé Boris, qui était encore plus craquant quand il se présentait aux cours sans se raser. C’était son succès auprès des filles qui constituait mon principal problème. Il n’avait pas eu de difficultés à trouver une copine qui lui convenait, et tous les deux paraissaient filer le parfait amour. Moi, la notion de fidélité m’était étrangère et je n’arrivais pas à comprendre que l’on puisse se contenter d’un seul partenaire. De plus, Boris était un étudiant très sérieux qui obtenait de bonnes notes. À part ses études et sa copine, rien ne semblait compter pour lui.

La situation m’était d’autant plus insupportable que nous habitions dans la même résidence. Je n’avais qu’un étage à monter pour frapper à la porte de sa chambre, mais le plus souvent, il n’y était pas seul.

C’est ainsi que nous étions arrivés en mai. Après avoir dîné avec moi dans ma chambre, Jenny me fit remarquer qu’il ne me restait plus que deux semaines pour réaliser mon rêve.

« Je sais, soupirai-je.

— Tu peux monter chez lui maintenant. Sa copine n’est pas là.

— T’es sûre ?

— Oui. »

Il y eut une réaction immédiate dans ma poitrine et au bas de mon ventre, mais je restai dubitative. Boris avait l’air tellement correct que j’étais certaine de me heurter à un véritable mur.

« Tente ta chance maintenant, insista Jenny. Mets une minijupe, un top qui laisse tes seins à moitié découvert, monte et fais-le bander. C’est lui qui va se jeter sur toi.

— Pourquoi tu n’irais pas ?

— Je te le laisse. »

Bien sûr, nous nous partagions nos conquêtes. Boris serait une exception à la règle : le pousser à sauter l’une de nous serait un miracle. Il était inenvisageable qu’il nous baise toutes les deux.

J’étais presque déjà vêtue comme Jenny me l’avait recommandé, car il faisait chaud. Je n’avais qu’à accroître mon décolleté et me refaire un peu de maquillage. Avant de prendre ma décision, je m’assis sur mon lit à côté de Jenny, les jambes étendues devant moi. Je caressai mes jambes parfaitement épilées et déjà un peu bronzées, mes deux principaux instruments de séduction.

« Qu’est-ce que tu as dessous ? » demanda Jenny.

Je retroussai ma jupe pour lui montrer une culotte en tulle noire.

« Mets un string, me conseilla Jenny.

— Ou rien du tout ?

— Comme tu veux. »

Ma décision fut dès lors prise. Je commençai par retirer ma culotte, en dévoilant une chatte entièrement lisse : je la soignais autant que mes jambes. Le reste de mes vêtements ayant été retiré, j’ouvris ma petite armoire pour chercher ce que j’avais de plus sexy. Je choisis un soutien-gorge en dentelles, avec le conseil de Jenny, mais rien pour cacher mon sexe... à part la plus petite de mes jupes. Elle était vraiment au ras des fesses.

Après une séance de coiffure et de maquillage, nous estimâmes que j’étais prête. Si mon offensive était couronnée de succès, je passerais un certain temps avec Boris, si bien que Jenny décida de quitter la résidence. Nous nous fîmes la bise après être sorties dans le couloir et nous nous séparâmes. J’avançais pieds nus vers l’escalier menant au second étage, comme je l’avais déjà fait maintes fois. Je passai devant les toilettes, une grande pièce mixte avec plusieurs cabines de W.C., où quelques-une de mes aventures sexuelles s’étaient déroulées.

Quand je frappai à la porte de Boris, je me sentis comme une actrice de théâtre entrant en scène : j’avais le trac, l’accueil que me ferait mon « prince charmant » m’étant totalement inconnu. Je regrettai que Jenny ne m’ait pas accompagnée, puisqu’elle m’aurait donné de l’assurance.

« C’est qui ? entendis-je.

C’est moi », répondis-je.

Il y eut un grognement, peut-être parce que ma réponse ne l’avait guère renseignée, puis une chaise racla contre le sol. Quelques secondes après, la porte s’ouvrit. Boris m’apparut auréolé de lumière, parce que les ultimes rayons de lumière entraient dans sa chambre.

« Ah, c’est toi ! fit-il.

— Qu’est-ce que tu es en train de faire ? demandai-je.

— Je travaille.

— Je peux voir ? »

C’était l’instant décisif ! Grâce aux vêtements que je portais, ainsi qu’à la réputation qui me précédait, Boris avait parfaitement compris mes intentions. En bon garçon vertueux, il aurait très bien pu m’envoyer promener, mais il s’écarta pour me laisser entrer.

C’était gagné !

Je me dirigeai vers son bureau, où se trouvait son ordinateur portable, au milieu d’un amoncellement de papiers, et je pris un tabouret pour m’asseoir devant, juste à côté de la chaise de Boris. Debout à côté de la porte de sa chambre, il m’observa avec des yeux brillants, puis il vint s’installer à côté de moi.

« Et toi, tu ne révises pas ? demanda-t-il. Les examens, c’est à la fin du mois.

— Si, bien sûr. Mais là, je viens tout juste de manger. Tu as pris ton dîner, toi ? »

Mon genou gauche touchait le sien. Cela créait une onde de chaleur qui remontait le long de ma cuisse et me mettait le bas-ventre en ébullition. Je commençais à mouiller sérieusement. Le regard de Boris passait de mes jambes à ma poitrine, où les dentelles de mon soutien-gorge étaient parfaitement visibles, ainsi que la vallée séparant mes seins – du 85C si vous voulez vous faire une idée. Quant à moi, je voyais une bosse faire monter la braguette de son pantalon.

« Alors comme ça, tu veux absolument m’ajouter à ton tableau de chasse ? dit-il.

— Oui. »

Sa main droite se posa sur ma cuisse, la caressa un moment et mit à découvert mon sexe enflé et inondé. Je l’aidais dans son exploration en écartant largement les jambes.

« Tu veux avoir ta licence ou devenir une pute ? » demanda-t-il.

Son langage cru m’étonna, venant d’un garçon si bien élevé, mais j’aimais cela ! Me faire traiter de salope, cela ne faisait qu’augmenter mon excitation.

« C’est gratuit, répondis-je. Je veux me faire baiser par toi juste une fois. »

Il enfonça tout à coup deux doigts dans mon vagin, en me faisant presque sauter de mon tabouret. La surprise passée, je le laissai fouiller mon intimité moite avec un plaisir grandissant.

« T’es vraiment une sacrée cochonne, jugea-t-il. Alors tu veux que je te tringle ?

— Oui !

— Tu en baves d’envie. »

Il faisait allusion à ce qui coulait de mon sexe. Le ramonage qu’il effectuait me donnait l’impression que cette substance translucide venait des profondeurs de mon ventre.

Boris était en pleine transfiguration : un violent désir flamboyait dans ses yeux. J’y voyais également du mépris pour la dévergondée que j’étais. Mais oui ! Je voulais être ravalée au rang de chienne ! Il retira ses doigts de mon vagin et me les montra, enduits de mes secrétions.

« Suce-moi ! » ordonna-t-il.

Je refermai ma bouche sur ses doigts pour goûter à ma propre intimité. Ce n’était pas une nouveauté pour moi : me masturber devant un homme puis sucer mes propres doigts, je l’avais déjà fait. On trouvait cela très excitant.

En me regardant faire, Boris eut un sourire mauvais. Cependant, ce qui se produisit ensuite fut une surprise pour moi. Quand il retira sa main de ma bouche, ce fut pour m’assener une gifle violente, qui me fit tourner et ployer sur mon tabouret.

« Salope ! cria-t-il. Je vais te défoncer le cul ! Tu vas voir ça ! »

Il m’empoigna par un bras et me jeta sur son lit, où j’atterris les jambes en l’air. Il se jeta sur moi pour m’arracher ma jupe, puis il défit son pantalon. Quand son caleçon fut baissé, j’eus la surprise de voir apparaître une queue gigantesque et complètement raide, l’une des plus grosses et longues que j’avais eu l’occasion de voir. La douleur cuisante que m’avais causée sa gifle avait fait écho à mon envie d’être humiliée, voire maltraitée. Pourtant, je regardai avec une certaine appréhension l’instrument avec lequel il allait effectuer son défonçage. Je risquais de ne pas en sortir indemne !

Il se mit à genoux devant moi, écarta mes genoux et s’allongea entre eux. Il planta sa pine jusqu’aux couilles dans mon orifice et se mit à le limer à un rythme hallucinant. J’en poussai des cris de démente, mais ce fut bref.

Il se retira de moi et me prit par les hanches pour me retourner. Je m’apprêtai à être prise en levrette, mais après m’avoir claqué plusieurs fois les fesses, je sentis qu’il appuyait son gland sur mon anus. Instinctivement, je criai un « non ! ». Cette pine était trop grosse pour moi. Je ne pouvais me dégager parce qu’il m’avait attrapée par les cheveux.

« Reste tranquille, sale pute ! ordonna-t-il. Je vais t’enculer. »

Il poussa aussitôt son pieu dans ma rondelle, et je poussai un cri cette fois de franche douleur. J’eus une idée de ce qu’était le supplice du pal. Insensible à ma souffrance, peut-être aiguillonnée par elle, il continua à s’enfoncer dans les profondeurs de mon rectum jusqu’à ce que sa monumentale pine y fut logée tout entière. Quand il commença à s’en retirer, des premières étincelles de plaisir me vinrent. Il entreprit alors un nouveau ramonage, cette fois dans mon fondement. Je finis par trouver cela très agréable. J’en avais pourtant sué de douleur !

Ce qu’il faisait ressemblait plus à un viol qu’à une relation consentie, mais je ne pouvais m’en prendre qu’à moi-même. Cette sodomie se poursuivit jusqu’au moment où il se vida en moi. Il me lâcha alors et me laissa m’effondrer sur son lit. C’est alors que je subis la chose la plus humiliante que l’on puisse imaginer : sentir son sperme sortir de mon rectum avec mes propres déjections. J’eus le réflexe de mettre une main à mon cul, pour les retenir, puis je me précipitai dans le coin toilette.

Je quittai la chambre de Boris la queue entre les jambes, si je puis dire. Je m’étais tournée vers lui pour lui demander de me rendre ma jupe, mais le regard qu’il me donna me fit comprendre que je n’étais plus la bienvenue dans sa chambre. J’eus la honte suprême de croiser deux étudiantes que je connaissais bien, de quoi faire jaser toute la faculté dès le lendemain. Au moins, Boris n’avait pas touché à mon top : ma poitrine restait couverte.

Je m’enfermai dans ma chambre, j’achevai le nettoyage de mes parties sexuelles et de mes cuisses, puis je me laissai tomber sur mon lit. La douleur physique et morale que Boris m’avait causée me tarauda durant toute la nuit, mais en même temps, j’étais consciente d’avoir connu l’épisode le plus fantastique de ma vie sexuelle. J’avais pensé que mes limites avaient déjà été poussées très loin, mais ce garçon que j’avais cru si sage m’avait brutalement détrompée.

Le lendemain, je m’abstins d’aller en cours.

À la fin de la journée, Jenny me rendit visite et me demanda si ma tentative de séduction avait été couronnée de succès.

Je décidai de lui donner une bonne opinion de Boris :

« Je me suis complètement trompée à son sujet.

— Ah oui ? Tu as réussi ?

— Non seulement j’ai réussi, mais j’ai découvert que c’est une bête de sexe. »

Jenny roula des yeux écarquillés.

« Et sa bite, elle est comment ?

— Énorme ! Et figure-toi que je me suis fait sodomiser. Ce n’est sûrement pas la première fois qu’il fait ça. Sa copine doit passer de sacrés bons moments avec lui. »

Connaissant Jenny, je savais qu’elle commençait à être excitée, mais j’évitai d’en rajouter. La jeter dans les bras de Boris, cela ne me semblait pas être une bonne chose.

Quand je me décidai à retourner en cours, j’évitai de croiser le regard de ma nouvelle « conquête ». Je n’avais que deux semaines à tenir et je ne le reverrais sans doute plus.

 

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