Mardi 2 juin 2 02 /06 /Juin 22:18

 

Je reprends les aventures de la jolie blonde Edwige, qui découvre les joies du sexe grâce à quelques hardeurs. Elle est invitée par l'un d'eux, Matis, à une orgie organisée dans un ancien hôtel.

Ce récit est un passage du volume 3 de ma série Compromission. Vous pouvez très bien lire seulement cet extrait.

 

Je jaillis de ma voiture, entrai dans l’hôtel et me dirigeai vers un escalier d’où des bruits de voix provenaient. Au premier étage, je vis un couloir long et étroit. De nombreuses chambres étaient fermées. Une vive lumière sortait de l’une des rares portes laissées ouvertes, au fond. Je me dirigeai vers elle et pénétrai dans une grande pièce dont le mobilier était essentiellement composé de canapés et de petites tables. Le sol était recouvert de tapis et de coussins.

C’était là que se trouvaient les noceurs. Je reconnus les trois filles que j’avais déjà rencontrées, Irina, Milana, Eva, et il y en avait quatre autres, apparemment plus âgées. Une seule était entièrement nue ; les sexes de deux autres se devinaient sous leurs robes ou leurs tops. Les hommes étaient en nombre un peu supérieur, et chez eux aussi, le déshabillage ne faisait que commencer. Un seul phallus était visible, sortant d’un jean et empoigné par Eva.

« Voilà Edwige ! s’écria Matis en se levant. On t’attendait. »

Il se dirigea vers moi et passa un bras auteur de ma taille pour me serrer contre lui.

« C’est ma nouvelle copine, reprit-il. Celle qui adore se faire enculer.

— Tu vas nous montrer ça ? » lui lança l’un de ses compagnons.

Là, je dois dire qu’un petit doute traversa mon esprit. Je me demandai si j’avais mis les pieds dans un endroit convenable, mais Matis pencha son visage vers le mien pour m’embrasser sur la bouche, d’une manière à me faire fondre. Je me collai contre lui comme un papier mouillé. Il avait une manière à la fois tendre et possessive d’utiliser sa langue que je n’avais jamais encore connue.

Quand il mit fin à ce baiser, j’étais à bout de souffle et dans un état second. Des cris auxquels je n’avais pas fait attention se turent. Matis m’entraîna vers un canapé, où il m’invita à m’asseoir.

« Tu veux boire quelque chose ? » demanda-t-il.

Il y avait des alcools forts, mais également des boissons sans alcool. Je choisis un Coca, car je n’avais pas envie finir la soirée complètement pétée avec ces hommes dont un seul m’était connu. J’étais capable de faire des folies, mais pas à ce point.

« Ils sont tous dans le porno ? demandai-je.

— Non, pas tous. Mais il y a deux hardeurs, Terry et Hugo. »

Le premier était celui dont le phallus était à l’air. Le second était un homme presque aussi bien bâti que Matis, dont le tee-shirt était gonflé par ses muscles. Son bras droit était recouvert de tatouages qui lui donnaient l’impression d’être un « dur ». En tout cas, il en avait certainement beaucoup dans sa culotte.

« Rocco n’était pas là ? » demandai-je.

Mon trait d’esprit fut salué par un éclat de rire général.

« T’aimerais bien te faire défoncer par lui, hein ? fit Matis.

— Oui.

— Tu vois la bite de Terry ? Elle est pas mal non plus. Et Hugo va te montrer la sienne. Tu sais combien il s’est tapé de nanas ?

— Je ne sais pas... Quelques centaines ?

— Plus de deux mille, depuis qu’il a commencé. »

Je regardai l’intéressé en écarquillant les yeux. En une dizaine d’années de carrière, il me semblait possible d’atteindre un tel nombre, mais cela restait hallucinant.

Il me rendit un regard qui trahissait son intention de me rajouter à son tableau de chasse, puis il se leva et enleva son pantalon. Il traversa la salle pour venir vers moi, en exhibant un caleçon déformé par une érection très prometteuse.

D’abord, il me caressa les cheveux et la joue.

« T’es jolie, dit-il. Alors tu as commencé cette semaine ?

— Oui.

— Travailler avec Bruno, c’est le pied. Tu verras.

— Comme tu débutes, on a décidé que sera ta fête, m’apprit Matis.

— C’est-à-dire ? fis-je.

— On va essayer de te faire jouir autant que possible. Toutes les bites qui sont ici sont pour toi. Commence par découvrir celle de Hugo. »

Je mis la main sur la protubérance du caleçon et mesurai la dureté de son pénis. Quand je le libérai, il se dressa lentement et j’en fus stupéfaite. Il était heureusement de taille humaine, si bien que j’estimai pouvoir l’accueillir aisément en moi. Mais dessous, une paire de testicules tombait très bas, enveloppée dans d’amples bourses fripées qui donnaient à Hugo une allure de parfait reproducteur. Le tout avait été intégralement épilé. Je refermai ma main droite sur ce membre boursouflé, la fis aller et venir dessus avant de me pencher pour prendre son extrémité dans ma bouche.

Ma fellation effectuée avec des mouvements rapides contenta Hugo, qui garda sa bouche entrouverte et émit des gémissements graves, le visage radieux. Moi aussi, j’éprouvais un certain plaisir à sentir ce membre chaud sur ma langue et à humer son odeur. Matis profita de ma position pour faire glisser mes vêtements, en dénudant mes seins, puis il mit la main dans mon string pour atteindre mon sexe déjà bien lubrifié. J’écartai les jambes pour lui ouvrir la voie et je gémis à mon tour, au rythme des caresses qu’il effectuait autour de mon clitoris.

« Elle suce très bien, jugea Hugo.

— On va jusqu’au bout ? demandai-je en continuant à faire courir ma main le long de sa tige.

— Tu ne préfères pas que je te remplisse le minou ? »

Je lui donnai mon accord et me levai pour faire tomber tout ce qui dissimulait mon corps. De ce fait, un nouveau record fut atteint : me retrouver nue devant une quinzaine de paires d’yeux. Je n’eus pas à en rougir, sauf de plaisir, car tous les regards étaient admiratifs. Deux hommes me firent même l’honneur de me contempler en se masturbant.

Je m’avançai vers le milieu de la salle en restant perchée sur mes hauts talons et j’adoptai la position qui me sembla être la meilleure : à quatre pattes, chaque genou posé sur un coussin. Hugo enfila un préservatif et s’agenouilla derrière moi pour me caresser le sexe, d’abord avec les doigts, puis avec le bout de son pénis. Il lui faisait faire la navette entre mon clitoris et l’entrée de mon vagin, ce qui avait l’avantage de rendre le caoutchouc très glissant. Mon puits intime était dégorgeant de cyprine. Enfin, il enfonça son dard dans ma chair et je poussai un faible cri, tressaillant sous l’afflux de sensations.

Ses ruades furent rapides et profondes. Chaque fois, il faisait presque ressortir son sexe du mien avant de l’y replonger. Je croyais sentir ses bourses frapper l’entrée de mon fourreau ; ses doigts étaient refermés sur mes hanches et s’enfonçaient dans leur chair, pour me maintenir prisonnière de sa fureur lubrique. Mes halètements se transformèrent en cris, et le fait d’exprimer ma jouissance devant tant de monde m’excitait encore plus. C’était la fin de toute pudeur. Je savais que cela pouvait durer longtemps, puisque Hugo était assurément doté d’une grande endurance.

Les deux hommes que j’avais remarqués continuaient à se branler, avec lenteur pour ne pas exploser trop vite. L’un d’eux décida de passer à un stade supérieur : il se leva et vint s’agenouiller devant mon visage pour y coller son membre. C’était une invitation pressante à l’accueillir dans ma bouche, et je l’acceptai.

Cela ne m’apporta pas grand-chose de plus, mais à partir de ce jour, je pourrais me vanter d’avoir été pénétrée simultanément par deux hommes. Hugo modéra son pilonnage pour me permettre de sucer cette lance de chair, flexible et longue, tandis qu’il continuait à me procurer du plaisir. Je le sentis poser ses doigts des deux côtés de mon anus, l’ouvrir puis y poser le bout d’un index. Cette violation de mon intimité, quoique légère, fit renaître un tremblement de jouissance dans mon corps. J’y réagis en émettant un bruit étouffé par le phallus que j’étais en train de pomper.

J’étais donc entièrement possédée, ainsi que je l’avais imaginé avant d’entrer dans cette salle, mais au bout de quelques minutes, j’exprimai mon souhait que Hugo continuât seul son œuvre pour essayer de me conduire à un orgasme. L’autre homme, qui avait omis de se présenter, se retira donc de ma bouche et se mit debout. Pendant un instant, je pus contempler une paire de pieds masculins prolongés par des jambes légèrement poilues, puis l’individu se déplaça pour attraper mes seins, qui oscillaient sous ma poitrine, et les pétrir. Ce furent des gestes que j’appréciai beaucoup et qui contribuèrent à mon ascension vers les cieux du plaisir sexuel.

L’orgasme que j’avais tant attendu finit par éclater. Mon vagin serra le phallus de Hugo et mon corps se transforma en un énorme flot d’étincelles. J’eus l’impression de planer avant de me rematérialiser, le pénis de mon amant toujours planté dans ma croupe. Il en ressortit quand je m’affaissai sur le sol, provisoirement privée de mes forces.

 

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Par Erika Sauw - Communauté : Récits Erotiques X
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