Mardi 5 mai 2 05 /05 /Mai 21:57

Suite des aventures d'Amélie et de Franck. Le second a emmené la première sur le yacht d'un ami milliardaire, Jérôme Guyot, où une orgie est prévue.

Le texte complet s'intitule Orgie en mer et est disponible à tous les formats sur cette librairie. Je mets ici les scènes de sexe.

 

 

Le soleil eut le temps de disparaître avant qu’ils n’arrivent à destination. Sous un ciel bleu profond rayé de rouge, ils virent un yacht illuminé par ses propres projecteurs comme un monument historique, mais personne ne pouvait le voir car il était beaucoup trop loin de la côte. C’était impressionnant. Ce grand bâtiment d’un blanc immaculé possédait trois ponts. Derrière les bastingages, on apercevait trois hommes et une femme dont il devint manifeste, tandis que le hors-bord s’approchait, qu’elle était nue au moins au-dessus de la ceinture.

Giani conduisit son bateau à une porte ouverte dans la coque du yacht, près de laquelle se trouvait déjà une embarcation plus grande que la sienne.

« Ça te plaît ? demanda Franck.

— C’est superbe. »

En levant les yeux, Amélie croisa le regard de la femme qu’elle avait aperçue, et qui se penchait à présent pour observer les nouveaux venus. Ses généreux seins passèrent au-dessus du bastingage. Ils étaient assez bien bronzés, comme tout le reste de son buste. Cette blonde pulpeuse avait une plastique digne de figurer dans les publications de Playboy. Un homme avec lequel elle était en train de discuter, qui avait un verre à la main, regarda Amélie avec une expression facile à déchiffrer : on nous amène encore de la chair fraîche.

Franck fut accueilli par un individu habillé comme un officier de marine, qui lui serra la main et s’inclina devant sa compagne.

« Bienvenue, déclara-t-il. Monsieur Guyot vous attend. Je vous conduis à lui. »

Le couple emprunta une coursive, puis un escalier et monta sur le premier pont. Ils rencontrèrent d’abord la blonde aux seins nus. Elle n’était vêtue que d’un string et ses longues jambes se prolongeaient par des escarpins à talons aiguilles. Amélie était moins sculpturale qu’elle, mais son visage et sa chevelure étaient d’une beauté avec laquelle aucune femme ne pouvait rivaliser.

« Comment ça va, Franck ? s’écria son compagnon, un fringuant quinquagénaire.

— Ça roule.

— Qu’est-ce que tu faisais ? On est tous là depuis un moment. Viki a passé la fin de la journée à bronzer. »

C’était donc le nom de la blonde en string. Les deux femmes se regardèrent et se jaugèrent sans s’adresser la parole.

« Il a fallu régler certains détails avec Amélie, expliqua Franck.

— Amélie ? Hmm... Tu nous as ramené un sacré morceau, dis donc. »

L’homme se pencha vers la nouvelle venue, posa une main sur son épaule et lui donna deux grosses bises.

« Je m’appelle Thierry, dit-il. Très content que tu sois là ! C’est Franck qui t’a payée ?

— Oui, répondit Amélie sans chercher à rectifier l’erreur.

— Avant, tu n’étais pas sur la Côte d’Azur ? Tu es toute blanche.

— Je ne peux pas bronzer. Il faut que je me protège du soleil.

— Ah ! C’est bête. Va voir Jérôme. Il a entendu parler de toi et il t’attend. Mais il va falloir enlever ce soutien-gorge, hein ? »

En l’accrochant avec un doigt, il tira dessus. Docile, Amélie joignit les mains derrière son dos pour libérer ses seins et révéler ses doux mamelons. Elle jeta son soutien-gorge par-dessus bord.

« Oh ! fit Thierry. Tu n’as pas l’intention de repartir d’ici ?

— Non, répondit Amélie.

— Elle est un peu spéciale, expliqua Franck. Mais c’est une bombe.

— Je veux bien le croire. »

Franck prit sa compagne par une main et l’entraîna vers un salon éclairé par de nombreuses ampoules encastrées dans son plafond blanc. C’était un endroit luxueux, assez vaste mais qui donnait une impression d’intimité. Le sol était recouvert d’un plancher en bois et les cloisons de lambris. Deux longs canapés et plusieurs fauteuils étaient disposés autour d’une table de verre surchargée de bouteilles d’alcool. Plus loin, se trouvait une table plus grande entourée de chaises, où des plats froids et des pâtisseries avaient été placés. Plusieurs personnes étaient en train de se servir à ce buffet, dont une brune entièrement nue, montée sur des hauts talons. Elle avait un compagnon qui lui parlait tout en lui caressant les fesses.

L’ambiance était celle d’une soirée déjà commencée. On arrivait à percevoir un fond musical noyé dans le bruit des conversations.

Une bonne dizaine de personnes étaient assises autour de la petite table, dont un homme assez corpulent, aux cheveux grisonnants, vers lequel Franck se dirigea. Il serrait contre lui une autre beauté entièrement nue, à la chevelure blonde plus courte que celle de Viki et à la poitrine tout aussi opulente. On aurait pu la juger un peu trop lourde, mais c’était une gourmandise pour les yeux et les mains des hommes.

« C’est Jérôme », glissa Franck dans l’oreille d’Amélie.

Des jambes se plièrent afin de le laisser passer. Il se pencha vers Jérôme pour lui serrer la main, tout en continuant à entraîner Amélie.

« Salut Franck ! dit le milliardaire. On n’attendait plus que toi. Et elle, c’est la pute que tu as ramenée ?

— Oui, c’est elle. »

Jérôme fit signe à la jeune femme de se placer devant lui.

« Je suis content que tu sois là, lui dit-il. Bon, je ne voulais pas faire venir énormément de filles, mais tu n’es pas de trop. Franchement, tu vaux le détour. Enlève ta culotte, que je voie ce qu’il y a dedans. »

Amélie acheva son déshabillage sous une dizaine d’yeux masculins, coincée entre les jambes de Jérôme et la petite table. Il n’y avait pas beaucoup de place, malgré la taille de ce salon.

Le grand patron parlait avec le sourire, affectant la bonhomie, mais sa voix transpirait d’autorité. Amélie savait très bien qu’il faudrait lui obéir au doigt et à l’œil. Elle n’était considérée que comme un objet de plaisir.

Quand elle fut déshabillée, Jérôme lui caressa un peu les cuisses, se pencha pour atteindre ses fesses, puis il inséra une main entre ses cuisses. Il enfonça un doigt dans son vagin en la faisant tressaillir.

« Une pute étroite, jugea-t-il. C’est rare. Tu baises souvent ?

— Ça dépend.

— C’est Jérôme qui te paie ?

— Oui. »

L’information selon laquelle elle était une libertine n’était pas passée, mais cela n’avait aucune importance.

Tout en lui parlant, il continuait à fouiller son vagin, puis il en retira un doigt humide.

« Et elle est chaude, en plus de ça. »

Amélie crut qu’il allait faire autre chose, peut-être la culbuter sur son canapé malgré l’absence de place, mais il lui conseilla de se rendre au buffet. Il s’occuperait d’elle plus tard. Franck l’entraîna immédiatement hors de cet espace exigu, en direction de la table. La brune était toujours en train d’y manger, avec un compagnon qui continuait à mettre les mains sur ses fesses et entre elles, pour essayer d’atteindre ses orifices intimes.

Oubliant ce dernier, elle se tourna vers Franck. C’était compréhensible car il était le plus bel homme de cette soirée, et un modèle d’élégance. D’autres hommes étaient agréables à regarder, mais aucun ne l’égalait.

« Salut, lui dit-elle. Tu t’appelles comment ?

— Franck.

— Moi, c’est Natacha. On pourra passer un moment ensemble ? Il y a plusieurs hommes pour chaque femme, de toute façon. »

Franck ne répondit que par un sourire et saisit un amuse-gueule surmonté d’une pincée de caviar.

« Sers-toi, dit-il à Amélie. Profite de ta liberté avant qu’on passe aux choses sérieuses.

— Les choses sérieuses ?

— Le défonçage. C’est le moment de voir si tu es résistante.

— Je le suis.

— Mais tu n’as pas l’habitude de recevoir plusieurs hommes d’un seul coup.

— Tu t’inquiètes pour moi ? Il ne le faut pas. »

À vrai dire, Franck ne savait pas très bien si c’était de l’inquiétude ou de nouveau de la jalousie. Natacha, qui comprenait mieux que lui-même ce qui se passait, jeta un regard torve à Amélie : ces deux-là étaient arrivés ensemble et ne semblaient pas être prêts à se séparer. Cette dernière l’ignora et avala plusieurs canapés.

« Si tu veux du whisky ou de la vodka, il y en a à profusion », ajouta Franck.

Tout en parlant, il se tourna vers la petite table où ces alcools s’amoncelaient. Amélie suivit son regard mais observa plutôt les hommes assis sur les canapés, tous susceptibles de s’introduire entre ses cuisses ou ses fesses, ou encore dans sa bouche. L’un d’eux alluma une cigarette et posa son briquet sur la table.

« Ce sont tous des businessmen ? s’enquit-elle.

— Des cadres. Il n’y a que trois patrons. Ils sont faciles à reconnaître : ce sont les plus âgés. Les autres hommes ont été choisis pour leur vigueur. Il ne faudrait pas qu’ils soient hors service dès le premier coup.

— Et ils doivent avoir des belles queues ?

— Oui, de préférence. Et ne pas être gênés de la montrer à tout le monde. »

Amélie se passa la langue sur les lèvres. Certains des hommes qu’elle regardait, encore jeunes, devaient être à son goût. Ils étaient vêtus comme des vacanciers, de manière très légère. Cela valait mieux pour eux, car il régnait une atmosphère étouffante. Ce yacht devait sûrement être muni d’une climatisation, mais une telle chaleur préparait les corps à l’orgie qui se préparait.

Pendant qu’elle avait le dos tourné, une autre prostituée était apparue, aussi nue et avenante que les autres. Amélie apprit qu’elle s’appelait Iris et la considéra comme la plus belle de toutes les femmes présentes – hormis elle-même. Son avantage était d’avoir une chevelure auburn longue et bouclée, dont les reflets cuivrés brillaient sous les multiples lampes du plafond. Même pour un homme comme Jérôme Guyot, il ne devait pas être facile de trouver des créatures semblables, tellement attirantes et prêtes à supporter toutes les frasques sexuelles de leurs partenaires. Dès qu’elle fut assise, les deux hommes qui l’entouraient se mirent à la caresser de la poitrine aux genoux.

Jérôme lutinait de plus en plus énergiquement sa voisine, dont le nom était Estrella. Une jambe de la femme était posée sur ses genoux, de sorte que son sexe était entrouvert et que toutes les personnes assises en face d’elle pouvaient le voir. De temps en temps, le grand patron glissait un doigt dedans. Elle réagissait en inclinant la tête en arrière, la bouche entrouverte. Un bout de langue rose en sortait.

Comme l’attention d’Amélie s’était détournée de Franck pour se fixer sur le milliardaire, Natacha en avait profité pour s’approcher de son compagnon et s’agripper à lui. Amélie ne resta pas seule plus d’une minute, car l’un des jeunes cadres qu’elle avait repérés se leva pour lui tenir compagnie.

« Tu t’appelles Amélie ? demanda-t-il.

— Oui.

— Moi, c’est Rémi. »

Il la pressa immédiatement contre lui et lui caressa les seins.

« Tu as de superbes nichons... bien fermes. »

Il fit rouler ses mamelons entre ses doigts et tira légèrement dessus, tandis que son autre main partait à la conquête des fesses d’Amélie.

« On sort un peu ? » fit-il.

Il la conduisit dehors en la prenant par la taille.

Viki avait retiré son string et s’était mise à l’ouvrage. Accroupie devant Thierry, elle était en train de lui faire une fellation avec des bruits de succion exagérés. Le quinquagénaire, privé de tout vêtement sous la ceinture, émettait des halètements de bonheur. Amélie s’arrêta pour tenter d’apercevoir son phallus, mais Rémi la poussa en avant.

Ils se mirent à l’écart en gagnant la proue du yacht et s’arrêtèrent contre le bastingage, tournés vers la mer. Le crépuscule déclinait, cédant la place à un tapis d’étoiles et à une longue traîne laiteuse. Les lumières de Cannes et des villes voisines se devinaient, loin au nord. Cette vue était si belle que Rémi en oublia un moment sa partenaire pour lever les yeux vers la voûte céleste.

« Tu rêves de voyager dans les étoiles ? dit Amélie.

— Je ne sais pas... Elles sont inaccessibles. Je les connais bien, tu sais ? Je pourrais te parler d’elles, mais ça ferait un peu con.

— Pourquoi con ?

— Tu connais le film qui s’appelle La Plage, avec Leonardo DiCaprio et Virginie Ledoyen ? Ils regardent ensemble le ciel et le mec se met à parler d’astronomie. La fille lui dit alors que quand un Américain veut faire l’amour à une Française, il commence toujours par lui parler de ça. C’est pourquoi je ne vais pas le faire.

— Je n’y vois pas d’inconvénient. J’aime l’astronomie.

— Ah bon ?

— Tu crois que les putes ne s’intéressent à rien ?

— Non, mais j’espère qu’elles aiment surtout le sexe. Il vaut mieux être très chaude pour faire ce boulot, non ?

— Il vaut mieux aimer les hommes. C’est mon cas. »

Amélie dévisagea son futur nouvel amant, plutôt sexy. Il avait tout à fait le profil d’un... disons d’un jeune cadre dynamique. On devinait qu’il faisait un peu de sport pour sculpter son corps, dont la silhouette était idéale, ni mince ni épaisse.

Les choses se présentaient donc plutôt bien pour Amélie. Elle mit une main sur son entrejambe et sentit une bosse à la grosseur alléchante, demandant à être libérée. Aussitôt, elle défit le bermuda, baissa le boxer de Rémi et prit en main un membre bien dilaté par le désir qui s’allongea très vite. C’était un plaisir indicible que de tenir un tel instrument. Amélie commença aussitôt à y faire courir sa main.

« Attends », fit Rémi.

Il se déshabilla entièrement et sortit un préservatif d’une poche de son bermuda pour le mettre sur son phallus.

« Tourne-toi ! » ordonna-t-il.

Amélie lui présenta ses fesses. Avant de la pénétrer, il l’enlaça par-derrière en prenant ses seins à pleines mains pour les pétrir avec force. Il tritura les mamelons. Ce n’était pas pour déplaire à Amélie, dont le corps réagit très bien à ces caresses et réclama de recevoir en lui le pénis de Rémi.

Ce désir fut très vite exaucé. Le jeune homme enfonça d’un coup sec son sexe dans celui de sa partenaire. Son va-et-vient effréné faisait claquer bruyamment son bassin contre les fesses d’Amélie, laquelle devait se cramponner au bastingage pour soutenir ces chocs répétés. Elle se cambrait pour mieux accueillir Rémi. Le limage de son vagin envoyait dans sa chair des ondes qui se répercutaient en échos multiples et incroyablement jouissifs. Une explosion orgasmique finit par se produire, tandis que Rémi continuait à donner ses coups de reins sans aucun signe de fatigue. Il avait manifestement l’habitude de défoncer des femmes, et tout comme Franck, il devait en avoir à volonté. Seul un emploi du temps surchargé l’empêchait de goûter à ces plaisirs autant qu’il le voulait.

Il ralentit son rythme, faisant se calmer la tempête en train de mugir dans le corps d’Amélie. C’était parce qu’il se sentait prêt à éjaculer et qu’il préférait retarder cela. Il se retira donc de sa partenaire et jeta son préservatif.

Il n’était nullement revenu au point de départ, puisque son sexe restait chauffé au rouge. Le moindre attouchement pouvait lui faire lâcher son sperme. Quant à Amélie, elle continuait à descendre avec lenteur des sommets où elle était montée, comme une plume ralentie par la résistance de l’air. Les mains toujours refermées sur le bastingage, elle se retourna pour regarder Rémi.

« Qu’est-ce que tu veux faire, maintenant ? demanda-t-elle.

— On va rejoindre les autres. »

Il reprit sa compagne par la taille et la raccompagna vers le salon, tout en lui murmurant :

« Tu as été super. Une fille comme toi, je n’en ai jamais rencontré. Tu as eu un orgasme ?

— Oui.

— Les putes n’en ont pas, généralement. »

 

 

Yacht-6.jpg

Par Erika Sauw - Communauté : Récits Erotiques X
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