Samedi 28 mars 6 28 /03 /Mars 17:29

Un homme d'affaires, Franck, rencontre une jeune femme très belle et provocante, Amélie. Pour le moment, ses yeux sont cachés par des lunettes de soleil.

Il la fait venir dans son hôtel.

 

Ils poussèrent la porte d’un hôtel qui ne ressemblait pas de l’extérieur à un palace, mais ses couloirs dégorgeaient de luxe. On marchait sur des tapis rouges à motifs dorés, dans une lumière ambrée que réfléchissaient des piliers de marbre. Il n’était pas possible de rencontrer des vacanciers en tee-shirt. Tout le monde y était aussi bien habillé que Franck et Amélie.

Ils prirent un ascenseur qui les fit monter au quatrième étage, parcourent quelques mètres dans un couloir plus étroit que celui du rez-de-chaussée et s’arrêtèrent devant une porte que Franck ouvrit grâce à une clé magnétique.

Ils passèrent ainsi de la pénombre à la lumière, car la suite était orientée au sud. Derrière les longs rideaux blancs de toutes ses pièces, on apercevait la mer.

« Le soleil est atténué, déclara Franck. J’espère qu’il l’est suffisamment pour vous. Les gens sont prêts à payer très cher pour avoir une telle vue.

— Ça ira. »

Amélie traversa le salon en posant son sac sur une table. Elle s’approcha d’une porte-fenêtre jusqu’à faire monter les rayons du soleil jusqu’à sa ceinture, puis elle s’arrêta.

Franck resta près de la porte en attendant cet événement dont il rêvait depuis ce qui lui semblait une éternité : qu’elle enlève enfin ses lunettes.

Elle le fit mais elle continua à lui tourner le dos. Il la rejoignit alors, en marchant sur une épaisse moquette qui absorbait le bruit de ses pas, puis il poussa doucement une main sur son épaule droite. Elle se retourna lentement et le regarda.

Il en eut la respiration coupée. Les yeux d’Amélie, surmontés de longs cils noirs, étaient d’un bleu inimitable, plus profond et rayonnant que l’azur du ciel. Ils étaient comme des bijoux dans l’écrin d’albâtre de son visage. Cette femme était d’une beauté inouïe.

Un sourire se dessina au coin de ses lèvres.

« Eh bien, vous avez avalé votre langue ? murmura-t-elle.

— C’est que... Vous êtes...

— Jolie ?

— Plus que cela.

— Alors qu’attendez-vous ? La beauté est faite pour être profanée. Arrachez mes vêtements, sortez votre bite et enfoncez-la dans mon cul. Défoncez-moi et faites gicler votre sperme. »

Joignant le geste à la parole, Amélie posa une main sur l’entrecuisse de Franck et fit aussitôt durcir son sexe à travers son pantalon. Elle le palpa pendant une dizaine de secondes avant de s’agenouiller de défaire la ceinture de son compagnon, de déboutonner son pantalon et d’ouvrir sa braguette. Elle sortit de son boxer une longue tige de chair à la peau souple sous laquelle couraient quelques veines où le sang pulsait.

« Je crois que nous sommes faits pour notre entendre, jugea-t-elle. Tu as la bite qu’il me faut. »

Elle la décalotta et en suça doucement le gland. Franck la laissa faire, en plongeant les mains dans la masse veloutée de ses cheveux. Il crut qu’elle allait continuer sa fellation, mais elle s’arrêta et leva les yeux vers son compagnon.

« Alors ? fit-elle. Tu restes comme ça sans rien faire ?

— Qu’est-ce que tu veux que je fasse ?

— Arrache mes vêtements ! Déchire-les !

— Mais...

— J’aime me faire brutaliser. Je me fous du reste. »

Franck s’agenouilla à son tour, empoigna la blouse d’Amélie et l’ouvrit d’un coup sec. Le tissu cria quand il fut écartelé. Une délicieuse poitrine apparut, dont la double colline était cachée par le soutien-gorge blanc. Franck l’abaissa pour découvrir ces trésors : des tendres rondeurs de chair surmontées de gros boutons roses qu’il pinça et fit tourner entre ses doigts. Amélie émit des halètements sonores témoignant du plaisir qu’elle ressentait. Les mains de Franck coururent également sur ses épaules, ses bras, sa taille, ivres de leur douceur, puis elles dégrafèrent son soutien-gorge, qui tomba sur les restes de sa blouse.

Il plaqua Amélie contre lui pour donner sur la bouche un baiser profond et humide auquel elle répondit avec fougue. Sa langue s’enfonça dans la cavité buccale de la jeune femme tandis qu’elle prenait son sexe à pleine main et le rendait dur comme de la pierre par ses caresses vigoureuses. Elle œuvra si bien que Franck sentit déjà son éjaculation se préparer. Il faut dire qu’il n’avait pas goûté à une femme depuis presque deux semaines.

Il dut mettre fin à ce baiser, obligea Amélie à se retourner et la poussa en avant. Elle se retrouva à quatre pattes. Déchirer sa jupe pour l’enlever aurait été stupide, car il suffisait d’ouvrir une fermeture éclair. Le déshabillage de la jeune femme se poursuivit donc d’une manière civilisée mais se termina plus brutalement, quand Franck s’attaqua à sa culotte échancrée. Un seul geste rageur suffit à la transformer en un déchet inutilisable.

Amélie ne portait désormais plus que ses sandales et offrait aux yeux éblouis de son amant une paire de fesses aussi blanches que tout le reste de son corps, entre lesquelles se nichait une fissure rouge où il mit son index. Le doigt écarta les petites lèvres et commença à explorer l’intimité moite d’Amélie. Elle émit des « Ah ! » en se trémoussant. Il se rendit vite compte que le moindre mouvement de son doigt avait un puissant effet sur la jeune femme, dont le vagin était apparemment très sensible, et il ne pouvait que s’en réjouir.

« Enfonce-moi ! » cria-t-elle.

Il se débarrassa de ses vêtements, qui contenaient un préservatif à utiliser en cas de copulation urgente. Pour le séducteur qu’il était, ce genre d’accident pouvait survenir à n’importe quel moment et il en avait l’illustration. Il le déroula sur sa lance avant de la planter dans la chair d’Amélie. Très vite, il effectua d’amples et rapides va-et-vient, frappant la croupe de son amante avec son bassin et maltraitant ses muqueuses secrètes. Elle ondula au rythme de ses coups en poussant des hurlements inarticulés, entre lesquels émergeaient par moments des paroles compréhensibles : « Plus fort ! Plus fort ! ».

Mais Franck était déjà au maximum de ses capacités et il ne pouvait continuer ainsi sans précipiter son orgasme, d’autant plus que le vagin d’Amélie serrait son membre de plus en plus fort. L’inéluctable se produisit très vite. Tout en poussant un rugissement, il expulsa une ondée de sperme. Son extase fut presque insoutenable.

Il se tint un bref instant immobile, planté en elle, puis il retira un pénis recouvert d’un latex fripé que les secrétions féminines avaient rendu aussi glissant qu’une anguille. Il jeta son préservatif puis il revint auprès d’Amélie, ses fesses posées sur ses talons et son pénis reposant entre ses cuisses. Son amante s’était effondrée sur cette épaisse moquette où ils venaient de faire l’amour comme des sauvages. Sa « profanation » ne l’avait rendue que plus désirable. S’il l’avait pu, il l’aurait prise encore et encore. Il posa une main sur sa jambe droite et se mit à la caresser, d’une manière très douce, commençant par son pied et remontant vers son genoux. Elle ne réagit pas mais une lumière brilla dans ses yeux, qu’elle tourna vers lui. 


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Par Erika Sauw - Communauté : Récits Erotiques X
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